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Chloé Soldani, jeune inspectrice de police, a choisi d'être détachée temporairement en Provence afin de se rapprocher de sa mère, qu'elle pense inconsolable depuis la mort de son père. En binôme avec Lino Perrin, capitaine bonhomme qui l'a connue quand elle était enfant, sur l'assassinat d'un entrepreneur en BTP, poussé du haut d'un viaduc. Marc Valenci, architecte du Patrimoine, est le principal témoin du meurtre. Chloé va rapidement découvrir que Marc est aussi l'amoureux de sa mère et qu'il en sait bien plus qu'il ne veut bien le dire au sujet de ce premier mort, bientôt suivi d'un second. Que cache Marc ? Est-il coupable ou protège-t-il son fils, le beau Diego, auquel Chloé n'est pas indifférente ?

Saison:2 - Episode:5 - A l'occasion des obsèques de son oncle, Alexia Méjean, dite Alex, retourne dans son village natal, où elle suscite la méfiance. Elle est pressée de vendre la belle propriété dont elle hérite, avec ses truffières qui ont fait la richesse de son oncle et qui sont l'objet de toutes les convoitises. Vingt-cinq ans plus tôt, Alex alors adolescente s'était publiquement rebellée contre les superstitions locales liées au Drac, un dragon maléfique qui se cacherait dans les eaux d'une source voisine. Le lendemain matin, sa meilleure amie était retrouvée morte, le visage lacéré. Alex, accusée d'avoir défié le Drac, avait été éloignée du village par ses parents... - Critique : La série de téléfilms policiers Meurtres à... a beau faire intervenir à chaque épisode de nouveaux acteurs (Bruno Wolkowitch, Adriana Karembeu...) dans un nouveau décor (Guérande, Rocamadour, Carcassonne...), le résultat est toujours à peu près le même, c'est-à-dire moyennement excitant, même si un ou deux épisodes sortent du lot. Ce soir, c'est Ingrid Chauvin qui s'y colle. Son personnage, Alex Mejean, revient dans son village natal à l'occasion des obsèques de son oncle, dont elle apprend bientôt que la mort n'était pas naturelle. Son décès semble avoir un lien avec une vieille légende locale, celle du Drac, un dragon maléfique qui se cacherait dans les eaux d'une source voisine... Pas grand-chose à sauver dans cet épisode en altitude, dont le niveau ne dépasse pas celui de la mer. La faute à des dialogues qui frisent le ridicule et à une interprétation si hasardeuse qu'elle empêche totalement d'adhérer à l'intrigue. — Pierre Ancery