
OCS Max : Programme TV de la chaîne OCS Max
En ce moment sur OCS Max :
04h10 Les Dames : Dame de feu
Rediffusion Série policière 1h55 Tout publicSaison : 1 - Épisode : 8 - Sept personnes sont assassinées sans motif apparent dans un autobus parisien : parmi les victimes figurerait Marion, la mère du fils du commissaire Martin. Cet élément à caractère personnel exclut l'officier de l'enquête. Avec soulagement, il réalise rapidement qu'il s'agit d'une méprise. Entamant les investigations, Martin est convaincu que le tueur est sur le point de récidiver. Parallèlement, dans la campagne du Vexin, à l'autre bout de la région parisienne, Aurélien souffre de solitude. Rien n'est simple, quand on a 17 ans. De plus, un terrible secret semble relier ce lycéen au massacre du bus. C'est à la seule condition de le découvrir que Martin pourra empêcher un autre massacre. Mais à quel prix ? - Critique : En plein jour, à Paris, sept personnes sont froidement assassinées dans un bus. La vidéo révèle que le tueur, masqué, a utilisé un pistolet avec silencieux et n'a eu besoin que d'une balle pour chaque victime. Parmi elles, Marion, la compagne de Martin, chef de groupe à la brigade criminelle de la PJ.... Pendant ce temps-là, dans la campagne du Vexin, Aurélien, 17 ans, mène une vie d'adolescent sans histoire. Pourtant, un terrible secret le lie au massacre du bus. Avec son montage sobre et ses dialogues dépouillés, la série de téléfilms Les Dames ambitionne un ton sec et réaliste, proche du quotidien des inspecteurs de la police judiciaire. Elle ne parvient qu'à agacer. Trop long, peuplé de personnages ectoplasmiques, cet épisode fastidieux aligne les poncifs et s'achève dans le ridicule. — Pierre Ancery
À suivre, dès 06h05 : The Operative
Ce soir sur OCS Max :
21h00 Jeune & golri : Les belles gosses
Série humoristique 30mn -10Saison : 2 - Épisode : 1 - 8 ans après leur première rencontre, Prune a développé une vraie relation fusionnelle avec Alma, mais Francis la largue. Alors que Prune est dans le déni et qu'elle pense le récupérer, elle découvre qu'il a une nouvelle copine. - Critique : Huit ans après une rencontre belle-mère/belle-fille pétaradante, Prune – stand-uppeuse sur le déclin – et Alma – jadis enfant tyrannique, fan de Napoléon et désormais millénial aussi forte en escrime qu’en drague – s’aiment inconditionnellement. Alors, lorsque Prune et le père d’Alma (ado campée à la perfection par Saül Benchetrit, décidément douée) se séparent, que peut-il advenir de cette relation précieuse, mais sans existence juridique ni même sociale ? Un tel bond dans le temps ne permet pas toujours à Agnès Hurstel (également dans le rôle de Prune) de donner une nouvelle impulsion à sa création, dont la fraîcheur créait la surprise dans une première saison charmante. Mais il vient questionner sous un angle nouveau la relation qui lie ses deux héroïnes, bigrement attachantes. L’on découvre ainsi une vision tendre et renouvelée de la « belle maternité ». Où la belle-mère n’est pas l’affreuse marâtre négligente, mais la confidente, l’alliée qui aime, qui console – et qui se plante, comme une vraie mère… Une représentation alternative comme a pu en esquisser Rebecca Zlotowksi dans son film Les Enfants des autres, mais ici dans un registre plus loufoque, quitte parfois à en devenir déroutant.

21h30 Jeune & golri : Des seins sublimes
Série humoristique 30mn -10Saison : 2 - Épisode : 2 - Amorphe et sous le choc depuis qu'elle a vu Francis avec sa nouvelle copine et Alma, Prune refuse de leur parler. Autour, les amis ne comprennent pas sa léthargie et essayent de la réveiller. En parallèle, Alma rencontre Michka, un séduisant escrimeur : c'est le coup de foudre. - Critique : Huit ans après une rencontre belle-mère/belle-fille pétaradante, Prune – stand-uppeuse sur le déclin – et Alma – jadis enfant tyrannique, fan de Napoléon et désormais millénial aussi forte en escrime qu’en drague – s’aiment inconditionnellement. Alors, lorsque Prune et le père d’Alma (ado campée à la perfection par Saül Benchetrit, décidément douée) se séparent, que peut-il advenir de cette relation précieuse, mais sans existence juridique ni même sociale ? Un tel bond dans le temps ne permet pas toujours à Agnès Hurstel (également dans le rôle de Prune) de donner une nouvelle impulsion à sa création, dont la fraîcheur créait la surprise dans une première saison charmante. Mais il vient questionner sous un angle nouveau la relation qui lie ses deux héroïnes, bigrement attachantes. L’on découvre ainsi une vision tendre et renouvelée de la « belle maternité ». Où la belle-mère n’est pas l’affreuse marâtre négligente, mais la confidente, l’alliée qui aime, qui console – et qui se plante, comme une vraie mère… Une représentation alternative comme a pu en esquisser Rebecca Zlotowksi dans son film Les Enfants des autres, mais ici dans un registre plus loufoque, quitte parfois à en devenir déroutant.
