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En ce moment sur OCS Choc :
21h00 L'accusé
Film : thriller 1h50 -10Adrian, riche et célèbre homme d'affaires, est accusé du meurtre de Laura, sa maîtresse. Le corps de cette dernière a été retrouvé dans la salle de bain d'une chambre d'hôtel de montagne. Conseillé par son ami Félix, Adrian fait appel à Virginia Goodman, une avocate renommée. Peu convaincue par le récit de la dernière nuit d'Adrian avec sa maîtresse, Virginia lui demande de revenir sur toute son histoire avec Laura...
À suivre, dès 22h50 : Zodiac (Rediffusion)
Ce soir sur OCS Choc :
21h00 L'accusé
Film : thriller 1h50 -10Adrian, riche et célèbre homme d'affaires, est accusé du meurtre de Laura, sa maîtresse. Le corps de cette dernière a été retrouvé dans la salle de bain d'une chambre d'hôtel de montagne. Conseillé par son ami Félix, Adrian fait appel à Virginia Goodman, une avocate renommée. Peu convaincue par le récit de la dernière nuit d'Adrian avec sa maîtresse, Virginia lui demande de revenir sur toute son histoire avec Laura...

22h50 Zodiac
Rediffusion Film : thriller 2h40 -12Depuis 1966, la ville de San Francisco est sous la menace constante d'un tueur en série qui se fait appeler "le zodiaque". L'homme, insaisissable, laisse des messages cryptés aux journaux de la région. Robert Graysmith, illustrateur dans l'un de ces journaux, semble avoir décodé les messages... - Critique : Pour raconter comment, à la fin des années 1970, un flic de San Francisco et un journaliste ont pisté un tueur en série, le Zodiac, Fincher tourne le dos aux architectures narratives complexes qui jusque-là étaient sa signature. À la manière d’un rapport de police que l’on compulserait page après page, il collecte des faits, rien que des faits, et les met bout à bout. Des meurtres, d’abord — filmés avec une sécheresse terrifiante —, et d’éventuels survivants. Et puis la longue et tortueuse enquête pour déchiffrer les indices que laisse volontairement l’assassin : conjectures, interrogatoires, perquisitions. Pas une séquence sans repères, lieu, date et heure. La dramatisation naît de l’accumulation. David Fincher s’appuie aussi sur la puissance évocatrice du cinéma hollywoodien, sur le sens de la composition des acteurs américains, sur une mise en scène fluide, jamais tape-à-l’œil, qui transforme l’épais dossier en objet de cinéma. Même éclaté, émietté, le récit finit par prendre corps. La structure est toujours plus forte que le chaos de la vie, semble dire le cinéaste…
