TF1 France 2 France 3 Canal+ France 5 M6 Arte C8 W9 TMC TFX NRJ 12 La Chaîne Parlementaire Public Sénat (LCP) France 4 BFM TV CNEWS CSTAR Gulli Culturebox TF1 Séries Films L'Équipe 6ter RMC Story RMC Découverte Chérie 25 LCI Franceinfo IDF1 Téva RTL 9 TV Breizh Paris Première Canal+ Cinéma Canal+ Séries Canal+ Family Canal+ Sport Canal+ Décalé OCS Max OCS Géants OCS Choc OCS City beIN SPORTS 1 beIN SPORTS 2 beIN SPORTS 3

Canal+ Séries : Programme TV de la chaîne Canal+ Séries

En ce moment sur Canal+ Séries :

12h51 Engrenages

Rediffusion Série policière 52mn -10
Engrenages

Saison : 7 - Épisode : 4 - Laure planque dans le quartier des entrepôts chinois d'Aubervilliers. Un coursier transportant l'argent sale de la drogue vient de déposer le cash chez un grossiste. Parallèlement, elle envisage de renoncer à son autorité parentale au profit de Brémont. Joséphine se prépare pour son audience chez le juge Wagner, mal disposé à son égard, et se rapproche de sa compagne de cellule, Lola. De son côté, Roban perquisitionne le bureau de madame Adler, directrice de l'hôpital qui emploie Catherine Micaleff... - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

23min

À suivre, dès 13h43 : Engrenages (Rediffusion)

Ce soir sur Canal+ Séries :

21h03 Téhéran : Atterrissage d'urgence à Téhéran

Inédit Série de suspense 48mn -10

Saison : 1 - Épisode : 1 - Un vol provenant de Jordanie est à destination de l'Inde doit faire escale à Téhéran pour une raison technique. A bord, deux Israéliens ayant pris leurs billets en dernière minute s'inquiètent de cette halte imprévue. A l'aéroport, une femme voilée échange de costume avec une hôtesse de l'air. Elle croise l'Israélienne arrêtée, qui semble la reconnaitre. - Critique : « Once you’re in, there’s no way out » : « Une fois que tu es dedans, il n’y a aucune issue. » Le teaser de Téhéran a de quoi faire trembler. Trépidante et brûlante d’actualité, cette nouvelle série d’espionnage israélienne met en scène la première mission de Tamar Rabinyan, une hackeuse et agente du Mossad infiltrée dans la capitale iranienne pour empêcher un radar de détecter des avions israéliens venus bombarder un réacteur nucléaire. Évidemment, l’opération ne se déroule pas comme prévu. La jeune femme devient hors la loi au pays des mollahs… Créée par Moshe Zonder – scénariste à succès de la très musclée Fauda, sur des soldats israéliens infiltrés dans les territoires occupés –, Téhéran adopte un point de vue féminin inédit sur les relations explosives entre l’État hébreu et l’Iran autour du nucléaire. Si la série brille par sa réalisation virtuose, menée tambour battant, et un casting de choix international, la complexité de son récit fascine. Il déploie une intrigue tentaculaire mêlant quête identitaire, tragédies migratoires et enjeux géopolitiques, sur fond de divisions profondes de la société iranienne. L’ennemi à visage humain Interprétée par la renversante actrice israélienne Niv Sultan, l’héroïne a vu le jour à Téhéran avant d’émigrer à l’âge de 5 ans en Israël. Comme tant d’autres juifs après la révolution islamique... Tamar va bientôt trouver refuge auprès de jeunes opposants politiques. Un microcosme clandestin où le voile est proscrit, filles et garçons conjurent la fatalité à grands coups de techno et d’ecstasy… quand ils ne manifestent pas dans la rue leur soif inextinguible de liberté. C’était compter sans l’acharnement de l’officier de sécurité Faraz Kamali (l’acteur américano-iranien Shaun Toub qui incarnait, déjà, le chef des services secrets iraniens dans la saison 3 de Homeland)… Passage à tabac, kidnapping, meurtre : il ne recule devant rien pour stopper la mission de cette « ennemie sioniste ». Mais comme Fauda, Téhéran n’oublie jamais de donner un visage humain à ses personnages les plus cruels, les plus sombres. C’est toute sa force : éviter l’écueil du manichéisme. Son créateur a même fait le vœu (pieux) que la série contribue à pacifier les liens diplomatiques entre Israël et l’Iran…

« Téhéran » sur Canal+ Séries

21h51 Téhéran : Du sang sur les mains

Inédit Série de suspense 43mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Victime d'une agression, Tamar a dû se défendre mais tient néanmoins à poursuivre sa mission. Elle peut compter sur l'aide de Tabrizi, un agent infiltré du Mossad mais est traquée par Faraz, qui travaille pour les Gardiens de la Révolution. - Critique : « Once you’re in, there’s no way out » : « Une fois que tu es dedans, il n’y a aucune issue. » Le teaser de Téhéran a de quoi faire trembler. Trépidante et brûlante d’actualité, cette nouvelle série d’espionnage israélienne met en scène la première mission de Tamar Rabinyan, une hackeuse et agente du Mossad infiltrée dans la capitale iranienne pour empêcher un radar de détecter des avions israéliens venus bombarder un réacteur nucléaire. Évidemment, l’opération ne se déroule pas comme prévu. La jeune femme devient hors la loi au pays des mollahs… Créée par Moshe Zonder – scénariste à succès de la très musclée Fauda, sur des soldats israéliens infiltrés dans les territoires occupés –, Téhéran adopte un point de vue féminin inédit sur les relations explosives entre l’État hébreu et l’Iran autour du nucléaire. Si la série brille par sa réalisation virtuose, menée tambour battant, et un casting de choix international, la complexité de son récit fascine. Il déploie une intrigue tentaculaire mêlant quête identitaire, tragédies migratoires et enjeux géopolitiques, sur fond de divisions profondes de la société iranienne. L’ennemi à visage humain Interprétée par la renversante actrice israélienne Niv Sultan, l’héroïne a vu le jour à Téhéran avant d’émigrer à l’âge de 5 ans en Israël. Comme tant d’autres juifs après la révolution islamique... Tamar va bientôt trouver refuge auprès de jeunes opposants politiques. Un microcosme clandestin où le voile est proscrit, filles et garçons conjurent la fatalité à grands coups de techno et d’ecstasy… quand ils ne manifestent pas dans la rue leur soif inextinguible de liberté. C’était compter sans l’acharnement de l’officier de sécurité Faraz Kamali (l’acteur américano-iranien Shaun Toub qui incarnait, déjà, le chef des services secrets iraniens dans la saison 3 de Homeland)… Passage à tabac, kidnapping, meurtre : il ne recule devant rien pour stopper la mission de cette « ennemie sioniste ». Mais comme Fauda, Téhéran n’oublie jamais de donner un visage humain à ses personnages les plus cruels, les plus sombres. C’est toute sa force : éviter l’écueil du manichéisme. Son créateur a même fait le vœu (pieux) que la série contribue à pacifier les liens diplomatiques entre Israël et l’Iran…

« Téhéran » sur Canal+ Séries

Programme Canal+ Séries de la journée d'aujourd'hui

Mardi 03 Octobre 2023

De 06h02 à 06h15 Calls : Le dernier message

Série dramatique 13mn Tout public

Saison : 2 - Épisode : 7 - Elodie reçoit sur son téléphone un message vocal de son mari qui lui annonce que l'avion dans lequel il se trouve est en train de se crasher et qu'il va mourir. La jeune femme alerte immédiatement les autorités, mais on lui explique qu'aucun appareil n'a disparu ces dernières heures... - Critique : Dans la saison 1, Calls déployait un captivant récit d’épouvante où une galerie de personnages se confrontait à une mystérieuse apocalypse. Situé plusieurs années avant ces événements, et toujours construit à partir de documents sonores inventifs, ce chapitre 2 présente les mêmes qualités immersives. Mais, cette fois, la science-fiction cède le pas à des angoisses plus quotidiennes : violences sexuelles, débâcles conjugales, secrets de famille… Quoique inégaux, ces nouveaux épisodes font constamment naître le suspense en multipliant les points de vue et les effets de brouillage. Avec son casting de voix toujours impeccable, Calls n’en finit pas de montrer la puissance du médium sonore et joue ouvertement avec les émotions de l’auditeur. Au risque de donner, il est vrai, l’impression de l’escroquer, tant ses attentes se font déjouer, et ces intrigues en queue de poisson puisent dans un répertoire de procédés proches du cliché (ainsi de l’ épisode 2, aux accents très soap, qui retrace la trajectoire amoureuse d’un couple). C’est peut-être cela, l’intelligence de la série : avoir tout saisi des pouvoirs de la fiction, et en manier les ressorts élémentaires avec aisance et roublardise.

Sur Canal Plus Series dès 06h02 : Calls

De 06h15 à 06h22 "Calls", chapitre 2, le making of : Episode 7

Documentaire culture 7mn Tout public

Saison : 2 - Épisode : 7 - Dans les coulisses de la seconde saison de "Calls", qui transporte le spectateur dans un univers angoissant fait de troublantes expériences auditives.

Sur Canal Plus Series dès 06h15 :

De 06h22 à 06h34 Calls : Better Call Satan

Série dramatique 12mn Tout public

Saison : 2 - Épisode : 8 - Un exorciste se présente au domicile d'un couple qui est persuadé que leur fille est possédée. - Critique : Dans la saison 1, Calls déployait un captivant récit d’épouvante où une galerie de personnages se confrontait à une mystérieuse apocalypse. Situé plusieurs années avant ces événements, et toujours construit à partir de documents sonores inventifs, ce chapitre 2 présente les mêmes qualités immersives. Mais, cette fois, la science-fiction cède le pas à des angoisses plus quotidiennes : violences sexuelles, débâcles conjugales, secrets de famille… Quoique inégaux, ces nouveaux épisodes font constamment naître le suspense en multipliant les points de vue et les effets de brouillage. Avec son casting de voix toujours impeccable, Calls n’en finit pas de montrer la puissance du médium sonore et joue ouvertement avec les émotions de l’auditeur. Au risque de donner, il est vrai, l’impression de l’escroquer, tant ses attentes se font déjouer, et ces intrigues en queue de poisson puisent dans un répertoire de procédés proches du cliché (ainsi de l’ épisode 2, aux accents très soap, qui retrace la trajectoire amoureuse d’un couple). C’est peut-être cela, l’intelligence de la série : avoir tout saisi des pouvoirs de la fiction, et en manier les ressorts élémentaires avec aisance et roublardise.

Sur Canal Plus Series dès 06h22 : Calls

De 06h34 à 06h40 "Calls", chapitre 2, le making of : Episode 8

Documentaire culture 6mn Tout public

Saison : 2 - Épisode : 8 - Dans les coulisses de la seconde saison de "Calls", qui transporte le spectateur dans un univers angoissant fait de troublantes expériences auditives.

Sur Canal Plus Series dès 06h34 :

De 06h40 à 06h51 Calls : La route

Série dramatique 11mn Tout public

Saison : 2 - Épisode : 9 - Alors qu'un incendie d'une rare violence se déclare, qui ravage les environs et menace sa fille, Olivier voit sa vie personnelle s'effondrer... - Critique : Dans la saison 1, Calls déployait un captivant récit d’épouvante où une galerie de personnages se confrontait à une mystérieuse apocalypse. Situé plusieurs années avant ces événements, et toujours construit à partir de documents sonores inventifs, ce chapitre 2 présente les mêmes qualités immersives. Mais, cette fois, la science-fiction cède le pas à des angoisses plus quotidiennes : violences sexuelles, débâcles conjugales, secrets de famille… Quoique inégaux, ces nouveaux épisodes font constamment naître le suspense en multipliant les points de vue et les effets de brouillage. Avec son casting de voix toujours impeccable, Calls n’en finit pas de montrer la puissance du médium sonore et joue ouvertement avec les émotions de l’auditeur. Au risque de donner, il est vrai, l’impression de l’escroquer, tant ses attentes se font déjouer, et ces intrigues en queue de poisson puisent dans un répertoire de procédés proches du cliché (ainsi de l’ épisode 2, aux accents très soap, qui retrace la trajectoire amoureuse d’un couple). C’est peut-être cela, l’intelligence de la série : avoir tout saisi des pouvoirs de la fiction, et en manier les ressorts élémentaires avec aisance et roublardise.

Sur Canal Plus Series dès 06h40 : Calls

De 06h51 à 06h58 "Calls", chapitre 2, le making of : Episode 9

Documentaire culture 7mn Tout public

Saison : 2 - Épisode : 9 - Dans les coulisses de la seconde saison de "Calls", qui transporte le spectateur dans un univers angoissant fait de troublantes expériences auditives.

Sur Canal Plus Series dès 06h51 :

De 06h58 à 07h13 Calls : Chasseur de fantômes

Série dramatique 15mn Tout public

Saison : 2 - Épisode : 10 - Un animateur de radio qui s'autoproclame chasseur de fantômes tourne une émission qui, comme d'habitude, est truquée. Soudain il est confronté à un évènement inexplicable dans ce lieu auquel il est étrangement connecté... - Critique : Dans la saison 1, Calls déployait un captivant récit d’épouvante où une galerie de personnages se confrontait à une mystérieuse apocalypse. Situé plusieurs années avant ces événements, et toujours construit à partir de documents sonores inventifs, ce chapitre 2 présente les mêmes qualités immersives. Mais, cette fois, la science-fiction cède le pas à des angoisses plus quotidiennes : violences sexuelles, débâcles conjugales, secrets de famille… Quoique inégaux, ces nouveaux épisodes font constamment naître le suspense en multipliant les points de vue et les effets de brouillage. Avec son casting de voix toujours impeccable, Calls n’en finit pas de montrer la puissance du médium sonore et joue ouvertement avec les émotions de l’auditeur. Au risque de donner, il est vrai, l’impression de l’escroquer, tant ses attentes se font déjouer, et ces intrigues en queue de poisson puisent dans un répertoire de procédés proches du cliché (ainsi de l’ épisode 2, aux accents très soap, qui retrace la trajectoire amoureuse d’un couple). C’est peut-être cela, l’intelligence de la série : avoir tout saisi des pouvoirs de la fiction, et en manier les ressorts élémentaires avec aisance et roublardise.

Sur Canal Plus Series dès 06h58 : Calls

De 07h13 à 07h20 "Calls", chapitre 2, le making of : Episode 10

Documentaire culture 7mn Tout public

Saison : 2 - Épisode : 10 - Dans les coulisses de la seconde saison de "Calls", qui transporte le spectateur dans un univers angoissant fait de troublantes expériences auditives.

Sur Canal Plus Series dès 07h13 :

De 07h20 à 08h55 Fin des programmes

Fin 1h35 Tout public

Nos programmes se terminent pour cette journée, en attendant ceux de demain.

Sur Canal Plus Series dès 07h20 : Fin des programmes

De 08h55 à 09h59 Les frères Pétoux

Série humoristique 1h4 Tout public

Saison : 1 - Quelque part dans une contrée française, sur une route départementale isolée, Patrick et Wilfried Pétoux vaquent à leurs occupations quotidiennes dans leur ferme. Alors que Patrick devient obsédé par un gala musical qui doit avoir lieu la semaine suivante, Wilfried, lui, fait tout pour garder l'ordre et le calme chez eux, malgré des visiteurs de plus en plus étranges, sans même se rendre compte que l'Apocalypse est imminente.

Sur Canal Plus Series dès 08h55 : Les frères Pétoux

De 09h59 à 11h01 Engrenages

Rediffusion Série policière 1h2 -10

Saison : 7 - Épisode : 1 - Le commissaire Herville est retrouvé mort dans un restaurant chinois du XIIIe arrondissement. Désormais chef de groupe, Gilou démarre l'enquête avec Ali, un jeune commissaire. De son côté, Laure, dépressive, est suivie dans un centre de repos des forces de l'ordre. Proche de la retraite, Roban réussit néanmoins à obtenir l'affaire. De son côté, et dans l'attente de son procès, Joséphine vit difficilement sa détention... - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

Sur Canal Plus Series dès 09h59 : Engrenages

De 11h01 à 11h53 Engrenages

Rediffusion Série policière 52mn -10

Saison : 7 - Épisode : 2 - Laure, choquée par la mort d'Herville, sort de son apathie pour reprendre du service. Gilou, qui forme un bon tandem avec Ali, accepte de retravailler avec elle. L'équipe se concentre sur les quatre jeunes soupçonnés d'avoir commis le braquage, pris en chasse par ceux à qui devait revenir le magot. De son côté, Edelman doit faire sortir Joséphine de prison... - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

Sur Canal Plus Series dès 11h01 : Engrenages

De 11h53 à 12h51 Engrenages

Rediffusion Série policière 58mn -10

Saison : 7 - Épisode : 3 - L'équipe compte les billets trouvés dans le restaurant chinois : plus de 300 000 euros. Selon toute vraisemblance, l'établissement servait de nourrice à des dealers. Les jeunes auraient volé la recette aux criminels. Rayan Khelfa, qui refuse de parler, est mis en examen par Roban. Gilou essaie d'interroger l'adolescent avant qu'il ne soit déferré. De son côté, Laure découvre que Wang était l'indic d'Herville. Pendant qu'Edelman fait jouer ses contacts au barreau, Joséphine, en détention provisoire depuis trois mois, essaie tant bien que mal de ne pas se mêler aux trafics en cours, menés par Lola... - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

Sur Canal Plus Series dès 11h53 : Engrenages

De 12h51 à 13h43 Engrenages

Rediffusion Série policière 52mn -10

Saison : 7 - Épisode : 4 - Laure planque dans le quartier des entrepôts chinois d'Aubervilliers. Un coursier transportant l'argent sale de la drogue vient de déposer le cash chez un grossiste. Parallèlement, elle envisage de renoncer à son autorité parentale au profit de Brémont. Joséphine se prépare pour son audience chez le juge Wagner, mal disposé à son égard, et se rapproche de sa compagne de cellule, Lola. De son côté, Roban perquisitionne le bureau de madame Adler, directrice de l'hôpital qui emploie Catherine Micaleff... - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

Sur Canal Plus Series dès 12h51 : Engrenages

De 13h43 à 14h41 Engrenages

Rediffusion Série policière 58mn Tout public

Saison : 7 - Épisode : 5 - Le deuxième DPJ essaie de comprendre le rôle que joue Fouad, le grand frère de Rayan, dans le réseau de blanchiment du trafic de drogue. Arnaud Beckriche fait appel à son ancien mentor de la Financière, Lebrion, qui semble disposé à les aider. Laure et Gilou interpellent un client qui s'est fait livrer du cash, Pierre Solignac, au risque d'alerter le réseau. En prison, Joséphine attend les résultats de la reconstitution. - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

Sur Canal Plus Series dès 13h43 : Engrenages

De 14h41 à 15h33 Engrenages

Rediffusion Série policière 52mn -10

Saison : 7 - Épisode : 6 - Alors que le réseau de blanchiment s'est refermé et que le 2e DPJ doit laisser la main à la Financière, le groupe tente un coup hors procédure en exploitant le portable de Fouad : ils parviennent ainsi à identifier un gestionnaire de fortune, David Cann. Sortie de prison, Joséphine travaille pour Eric Edelman qui lui présente l'un de ses vieux amis et client, qui n'est autre que David Cann. - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

Sur Canal Plus Series dès 14h41 : Engrenages

De 15h33 à 16h31 Engrenages

Rediffusion Série policière 58mn Tout public

Saison : 7 - Épisode : 7 - Après la mort de Fouad, le 2e DPJ est dessaisi de l'enquête au profit de la Crim', dirigée par le commissaire Brémont. Laure soupçonne Lebrion d'avoir volé un document dans l'enquête sur la mort d'Herville au moment de la transmission du dossier. Elle en vient à soupçonner Beckriche de les avoir trahis. Par ailleurs, Joséphine découvre par hasard qu'Edelman cherche à la garder sous sa coupe. - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

Sur Canal Plus Series dès 15h33 : Engrenages

De 16h31 à 17h17 Engrenages

Rediffusion Série policière 46mn Tout public

Saison : 7 - Épisode : 8 - Le juge Roban lance des perquisitions sur la base d'un faux listing, tombant ainsi dans le piège tendu par Joséphine et Edelman. De leur côté, Laure et Gilou découvrent qu'un des membres du réseau, Oury, est l'amant de Nadia, la mère de Rayan. Le commissaire Beckriche se range du côté de ses hommes et met au jour le mensonge de Lebrion, son ancien mentor à la Financière. - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

Sur Canal Plus Series dès 16h31 : Engrenages

De 17h17 à 18h17 Engrenages

Rediffusion Série policière 1h Tout public

Saison : 7 - Épisode : 9 - Roban ne peut plus instruire, empêtré dans un odieux chantage lié au faux listing. Le piège tendu par Joséphine, complice de Machard, se referme sur lui. Laure et Gilou lui apportent un coup de main efficace et musclé. Ils relancent par ailleurs le réseau de blanchiment qui ne bouge plus, grâce à un "coup d'achat " totalement illégal et très risqué. - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

Sur Canal Plus Series dès 17h17 : Engrenages

De 18h17 à 19h07 Engrenages

Rediffusion Série policière 50mn Tout public

Saison : 7 - Épisode : 10 - Laure et Gilou aggravent leur cas en faisant main basse sur l'argent de Solignac, seul moyen de pression dont ils disposent. Ils ignorent cependant que leur ancien collègue Tintin, qui travaille désormais à l'IGPN, les suit à la trace. Les manoeuvres du tandem sèment la zizanie dans le réseau de blanchiment : le beau-frère, Oury, est enlevé. - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

Sur Canal Plus Series dès 18h17 : Engrenages

De 19h07 à 20h02 Engrenages

Rediffusion Série policière 55mn Tout public

Saison : 7 - Épisode : 11 - Visés par une enquête de l'IGPN, Laure et Gilou sont placés en garde à vue et interrogés sur leur lien avec Pierre Solignac. Déchiré entre sa mission et ses sentiments, habitué aux manoeuvres risquées du duo, Tintin peine à choisir son camp. L'équipe interroge des réfugiés syriens qui pourraient avoir vu l'auteur de l'enlèvement d'Oury. Elle a établi un lien entre le kidnapping et le double homicide... - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

Sur Canal Plus Series dès 19h07 : Engrenages

De 20h02 à 21h03 Engrenages

Rediffusion Série policière 1h1 -10

Saison : 7 - Épisode : 12 - David Cann, qui cherche à fuir vers Israël, cherche de l'aide auprès d'Edelman. Tous ses comptes ont été bloqués par la police. Nadia, la mère de Rayan, reçoit un appel d'Oury, qui lui donne un lieu de rendez-vous pour un transfert d'argent. L'équipe monte aussitôt un dispositif. Parallèlement, les policiers font une descente dans la boîte de nuit de Cann grâce à l'aide de Joséphine. L'IGPN convoque Soizic. Laure et Gilou, sur le point de clore l'enquête, risquent de tomber pour de bon... - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..

Sur Canal Plus Series dès 20h02 : Engrenages

De 21h03 à 21h51 Téhéran : Atterrissage d'urgence à Téhéran

Inédit Série de suspense 48mn -10

Saison : 1 - Épisode : 1 - Un vol provenant de Jordanie est à destination de l'Inde doit faire escale à Téhéran pour une raison technique. A bord, deux Israéliens ayant pris leurs billets en dernière minute s'inquiètent de cette halte imprévue. A l'aéroport, une femme voilée échange de costume avec une hôtesse de l'air. Elle croise l'Israélienne arrêtée, qui semble la reconnaitre. - Critique : « Once you’re in, there’s no way out » : « Une fois que tu es dedans, il n’y a aucune issue. » Le teaser de Téhéran a de quoi faire trembler. Trépidante et brûlante d’actualité, cette nouvelle série d’espionnage israélienne met en scène la première mission de Tamar Rabinyan, une hackeuse et agente du Mossad infiltrée dans la capitale iranienne pour empêcher un radar de détecter des avions israéliens venus bombarder un réacteur nucléaire. Évidemment, l’opération ne se déroule pas comme prévu. La jeune femme devient hors la loi au pays des mollahs… Créée par Moshe Zonder – scénariste à succès de la très musclée Fauda, sur des soldats israéliens infiltrés dans les territoires occupés –, Téhéran adopte un point de vue féminin inédit sur les relations explosives entre l’État hébreu et l’Iran autour du nucléaire. Si la série brille par sa réalisation virtuose, menée tambour battant, et un casting de choix international, la complexité de son récit fascine. Il déploie une intrigue tentaculaire mêlant quête identitaire, tragédies migratoires et enjeux géopolitiques, sur fond de divisions profondes de la société iranienne. L’ennemi à visage humain Interprétée par la renversante actrice israélienne Niv Sultan, l’héroïne a vu le jour à Téhéran avant d’émigrer à l’âge de 5 ans en Israël. Comme tant d’autres juifs après la révolution islamique... Tamar va bientôt trouver refuge auprès de jeunes opposants politiques. Un microcosme clandestin où le voile est proscrit, filles et garçons conjurent la fatalité à grands coups de techno et d’ecstasy… quand ils ne manifestent pas dans la rue leur soif inextinguible de liberté. C’était compter sans l’acharnement de l’officier de sécurité Faraz Kamali (l’acteur américano-iranien Shaun Toub qui incarnait, déjà, le chef des services secrets iraniens dans la saison 3 de Homeland)… Passage à tabac, kidnapping, meurtre : il ne recule devant rien pour stopper la mission de cette « ennemie sioniste ». Mais comme Fauda, Téhéran n’oublie jamais de donner un visage humain à ses personnages les plus cruels, les plus sombres. C’est toute sa force : éviter l’écueil du manichéisme. Son créateur a même fait le vœu (pieux) que la série contribue à pacifier les liens diplomatiques entre Israël et l’Iran…

Sur Canal Plus Series dès 21h03 : Téhéran

De 21h51 à 22h34 Téhéran : Du sang sur les mains

Inédit Série de suspense 43mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Victime d'une agression, Tamar a dû se défendre mais tient néanmoins à poursuivre sa mission. Elle peut compter sur l'aide de Tabrizi, un agent infiltré du Mossad mais est traquée par Faraz, qui travaille pour les Gardiens de la Révolution. - Critique : « Once you’re in, there’s no way out » : « Une fois que tu es dedans, il n’y a aucune issue. » Le teaser de Téhéran a de quoi faire trembler. Trépidante et brûlante d’actualité, cette nouvelle série d’espionnage israélienne met en scène la première mission de Tamar Rabinyan, une hackeuse et agente du Mossad infiltrée dans la capitale iranienne pour empêcher un radar de détecter des avions israéliens venus bombarder un réacteur nucléaire. Évidemment, l’opération ne se déroule pas comme prévu. La jeune femme devient hors la loi au pays des mollahs… Créée par Moshe Zonder – scénariste à succès de la très musclée Fauda, sur des soldats israéliens infiltrés dans les territoires occupés –, Téhéran adopte un point de vue féminin inédit sur les relations explosives entre l’État hébreu et l’Iran autour du nucléaire. Si la série brille par sa réalisation virtuose, menée tambour battant, et un casting de choix international, la complexité de son récit fascine. Il déploie une intrigue tentaculaire mêlant quête identitaire, tragédies migratoires et enjeux géopolitiques, sur fond de divisions profondes de la société iranienne. L’ennemi à visage humain Interprétée par la renversante actrice israélienne Niv Sultan, l’héroïne a vu le jour à Téhéran avant d’émigrer à l’âge de 5 ans en Israël. Comme tant d’autres juifs après la révolution islamique... Tamar va bientôt trouver refuge auprès de jeunes opposants politiques. Un microcosme clandestin où le voile est proscrit, filles et garçons conjurent la fatalité à grands coups de techno et d’ecstasy… quand ils ne manifestent pas dans la rue leur soif inextinguible de liberté. C’était compter sans l’acharnement de l’officier de sécurité Faraz Kamali (l’acteur américano-iranien Shaun Toub qui incarnait, déjà, le chef des services secrets iraniens dans la saison 3 de Homeland)… Passage à tabac, kidnapping, meurtre : il ne recule devant rien pour stopper la mission de cette « ennemie sioniste ». Mais comme Fauda, Téhéran n’oublie jamais de donner un visage humain à ses personnages les plus cruels, les plus sombres. C’est toute sa force : éviter l’écueil du manichéisme. Son créateur a même fait le vœu (pieux) que la série contribue à pacifier les liens diplomatiques entre Israël et l’Iran…

Sur Canal Plus Series dès 21h51 : Téhéran

De 22h34 à 23h22 Fear the Walking Dead : Remember What They Took From You

Rediffusion Série d'horreur 48mn -12

Saison : 8 - Épisode : 1 - Sept ans se sont écoulés depuis que Morgan Jones et Madison Clark ont perdu tout espoir de sauver Mo du Padre. Aujourd'hui c'est le découragement qui prévaut sur l'île. Morgan, Madison et tous ceux qui vivent en leur compagnie se retrouvent désormais sous la coupe du cynique Padre. Et c'est sur Mo, âgée de 8 ans à peine, que repose maintenant la lourde responsabilité de faire renaître la foi en un monde meilleur. Difficile de formuler cet espoir, tant il est vrai que toutes les lumières semblent éteintes et qu'aucune lueur ne semble capable de déchirer l'obscurité qui bouche l'avenir des survivants...

Sur Canal Plus Series dès 22h34 : Fear the Walking Dead

De 23h22 à 00h05 Fear the Walking Dead : Blue Jay

Rediffusion Série d'horreur 43mn -12

Saison : 8 - Épisode : 2 - Après avoir fui le Padre, June se pense en sécurité jusqu'à l'arrivé d'un père désespéré, à la recherche de sa fille, et des retrouvailles inattendues.

Sur Canal Plus Series dès 23h22 : Fear the Walking Dead