
Canal+ Séries : Programme TV de la chaîne Canal+ Séries
En ce moment sur Canal+ Séries :
12h51 Engrenages
Rediffusion Série policière 52mn -10Saison : 7 - Épisode : 4 - Laure planque dans le quartier des entrepôts chinois d'Aubervilliers. Un coursier transportant l'argent sale de la drogue vient de déposer le cash chez un grossiste. Parallèlement, elle envisage de renoncer à son autorité parentale au profit de Brémont. Joséphine se prépare pour son audience chez le juge Wagner, mal disposé à son égard, et se rapproche de sa compagne de cellule, Lola. De son côté, Roban perquisitionne le bureau de madame Adler, directrice de l'hôpital qui emploie Catherine Micaleff... - Critique : Il est là, irascible comme on l’aime, grossier personnage dont les saisons précédentes nous ont enseigné les attachantes qualités. Le générique passé, c’en est pourtant fini d’Herville. Assassiné, l’adulé commissaire. Devenu commandant, Gilou s’empare de l’affaire ; échappée de la clinique où elle soigne une sévère dépression, Laure s’invite dans son équipe, presque indésirable. Mais qu’était donc venu faire Herville dans ce restaurant chinois braqué par des petits malfrats ? La fin de la saison 6 ayant laissé les protagonistes dans des états pitoyables, les voici de retour vieillis, fatigués. Berthaud, Escoffier, Karlsson et même Roban errent dans leurs propres existences, semblant trahir par leurs vacillements intimes le passage de relais entre deux équipes d’auteurs — la showrunneuse depuis 2010, Anne Landois, ayant choisi de passer la main. Cette impression de flottement ne dure pas : à mesure que s’installent les bases d’une enquête complexe (mais intellectuellement stimulante) sur le blanchiment d’argent, les personnages retrouvent de l’influx nerveux et remontent des limbes. Les ressorts intimes et les mécanismes police-justice s’engrènent alors délicieusement, dans un mouvement qui pourrait bien ramener nos héros vers eux-mêmes..
À suivre, dès 13h43 : Engrenages (Rediffusion)
Ce soir sur Canal+ Séries :
21h03 Téhéran : Atterrissage d'urgence à Téhéran
Inédit Série de suspense 48mn -10Saison : 1 - Épisode : 1 - Un vol provenant de Jordanie est à destination de l'Inde doit faire escale à Téhéran pour une raison technique. A bord, deux Israéliens ayant pris leurs billets en dernière minute s'inquiètent de cette halte imprévue. A l'aéroport, une femme voilée échange de costume avec une hôtesse de l'air. Elle croise l'Israélienne arrêtée, qui semble la reconnaitre. - Critique : « Once you’re in, there’s no way out » : « Une fois que tu es dedans, il n’y a aucune issue. » Le teaser de Téhéran a de quoi faire trembler. Trépidante et brûlante d’actualité, cette nouvelle série d’espionnage israélienne met en scène la première mission de Tamar Rabinyan, une hackeuse et agente du Mossad infiltrée dans la capitale iranienne pour empêcher un radar de détecter des avions israéliens venus bombarder un réacteur nucléaire. Évidemment, l’opération ne se déroule pas comme prévu. La jeune femme devient hors la loi au pays des mollahs… Créée par Moshe Zonder – scénariste à succès de la très musclée Fauda, sur des soldats israéliens infiltrés dans les territoires occupés –, Téhéran adopte un point de vue féminin inédit sur les relations explosives entre l’État hébreu et l’Iran autour du nucléaire. Si la série brille par sa réalisation virtuose, menée tambour battant, et un casting de choix international, la complexité de son récit fascine. Il déploie une intrigue tentaculaire mêlant quête identitaire, tragédies migratoires et enjeux géopolitiques, sur fond de divisions profondes de la société iranienne. L’ennemi à visage humain Interprétée par la renversante actrice israélienne Niv Sultan, l’héroïne a vu le jour à Téhéran avant d’émigrer à l’âge de 5 ans en Israël. Comme tant d’autres juifs après la révolution islamique... Tamar va bientôt trouver refuge auprès de jeunes opposants politiques. Un microcosme clandestin où le voile est proscrit, filles et garçons conjurent la fatalité à grands coups de techno et d’ecstasy… quand ils ne manifestent pas dans la rue leur soif inextinguible de liberté. C’était compter sans l’acharnement de l’officier de sécurité Faraz Kamali (l’acteur américano-iranien Shaun Toub qui incarnait, déjà, le chef des services secrets iraniens dans la saison 3 de Homeland)… Passage à tabac, kidnapping, meurtre : il ne recule devant rien pour stopper la mission de cette « ennemie sioniste ». Mais comme Fauda, Téhéran n’oublie jamais de donner un visage humain à ses personnages les plus cruels, les plus sombres. C’est toute sa force : éviter l’écueil du manichéisme. Son créateur a même fait le vœu (pieux) que la série contribue à pacifier les liens diplomatiques entre Israël et l’Iran…

21h51 Téhéran : Du sang sur les mains
Inédit Série de suspense 43mn -10Saison : 1 - Épisode : 2 - Victime d'une agression, Tamar a dû se défendre mais tient néanmoins à poursuivre sa mission. Elle peut compter sur l'aide de Tabrizi, un agent infiltré du Mossad mais est traquée par Faraz, qui travaille pour les Gardiens de la Révolution. - Critique : « Once you’re in, there’s no way out » : « Une fois que tu es dedans, il n’y a aucune issue. » Le teaser de Téhéran a de quoi faire trembler. Trépidante et brûlante d’actualité, cette nouvelle série d’espionnage israélienne met en scène la première mission de Tamar Rabinyan, une hackeuse et agente du Mossad infiltrée dans la capitale iranienne pour empêcher un radar de détecter des avions israéliens venus bombarder un réacteur nucléaire. Évidemment, l’opération ne se déroule pas comme prévu. La jeune femme devient hors la loi au pays des mollahs… Créée par Moshe Zonder – scénariste à succès de la très musclée Fauda, sur des soldats israéliens infiltrés dans les territoires occupés –, Téhéran adopte un point de vue féminin inédit sur les relations explosives entre l’État hébreu et l’Iran autour du nucléaire. Si la série brille par sa réalisation virtuose, menée tambour battant, et un casting de choix international, la complexité de son récit fascine. Il déploie une intrigue tentaculaire mêlant quête identitaire, tragédies migratoires et enjeux géopolitiques, sur fond de divisions profondes de la société iranienne. L’ennemi à visage humain Interprétée par la renversante actrice israélienne Niv Sultan, l’héroïne a vu le jour à Téhéran avant d’émigrer à l’âge de 5 ans en Israël. Comme tant d’autres juifs après la révolution islamique... Tamar va bientôt trouver refuge auprès de jeunes opposants politiques. Un microcosme clandestin où le voile est proscrit, filles et garçons conjurent la fatalité à grands coups de techno et d’ecstasy… quand ils ne manifestent pas dans la rue leur soif inextinguible de liberté. C’était compter sans l’acharnement de l’officier de sécurité Faraz Kamali (l’acteur américano-iranien Shaun Toub qui incarnait, déjà, le chef des services secrets iraniens dans la saison 3 de Homeland)… Passage à tabac, kidnapping, meurtre : il ne recule devant rien pour stopper la mission de cette « ennemie sioniste ». Mais comme Fauda, Téhéran n’oublie jamais de donner un visage humain à ses personnages les plus cruels, les plus sombres. C’est toute sa force : éviter l’écueil du manichéisme. Son créateur a même fait le vœu (pieux) que la série contribue à pacifier les liens diplomatiques entre Israël et l’Iran…
