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Canal+ Séries : Programme TV de la chaîne Canal+ Séries

En ce moment sur Canal+ Séries :

06h53 Fin des programmes

Fin 2h42 Tout public
Fin des programmes

Nos programmes se terminent pour cette journée, en attendant ceux de demain.

1h 32min

À suivre, dès 09h35 : L'hebd'Hollywood (Rediffusion)

Ce soir sur Canal+ Séries :

21h03 Hippocrate

Rediffusion Série hospitalière 52mn -10

Saison : 1 - Épisode : 1 - Alyson, étudiante en médecine, découvre son nouveau lieu de travail, un hôpital public de périphérie, en compagnie des deux autres internes affectés au service, Hugo et Chloé. Tous les titulaires sont confinés chez eux à la suite de mesures sanitaires : un risque de contagion a été établi après la mort d'un patient atteint d'un méningocoque. En leur absence, les internes doivent gérer seuls le service et les malades. Alyson n'est pas confiante, contrairement à Chloé, qui entretient une relation secrète avec le médecin en charge du service... - Critique : Pour son premier jour de stage à l’hôpital de Garches, Alyson Lévêque rate son train, court comme si elle avait la mort à ses trousses, déboule dans un service privé de médecins titulaires pour cause de quarantaine. Première chambre, premier trépassé. « T’oublieras pas de faire un certificat de décès », lui intime une infirmière, avant qu’une autre ne la somme d’accélérer le soin d’une escarre dorsale… Avec Chloé, brillante prochaine diplômée, Hugo, un « fils de » aussi inexpérimenté qu’elle, et bientôt Arben, un Franco-Albanais « faisant office d’interne », la jeune interne va devoir incarner sa fonction, composer avec la pénurie de moyens et surmonter son manque de confiance en elle. Cinéaste de la trilogie médicale Hippocrate, Médecin de campagne et Première Année, Thomas Lilti réussit haut la main son passage à la série. À l’acuité de son regard sur l’hôpital, ce médecin de formation ajoute un sens de la dramaturgie et une gestion de la tension épous­touflants. Chaque rencontre avec les patients s’imprime dans la ­rétine du téléspectateur comme, sans doute, elle marque l’existence des jeunes soignants… Emballements cardiaques plurifactoriels à prévoir.

« Hippocrate » sur Canal+ Séries

21h55 Hippocrate

Rediffusion Série hospitalière 52mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 2 - La mise à l'écart des médecins a été prolongée jusqu'à nouvel ordre, un agent pathogène non identifié ayant été détecté au cours de l'autopsie du patient décédé. Arben Bascha est aussitôt détaché de son service pour rejoindre les maigres effectifs de médecine interne, gagnés par la fatigue et la panique, à l'exception de Chloé. Un patient, pris en charge à la sortie d'une boîte de nuit, intègre le service déjà débordé... - Critique : Pour son premier jour de stage à l’hôpital de Garches, Alyson Lévêque rate son train, court comme si elle avait la mort à ses trousses, déboule dans un service privé de médecins titulaires pour cause de quarantaine. Première chambre, premier trépassé. « T’oublieras pas de faire un certificat de décès », lui intime une infirmière, avant qu’une autre ne la somme d’accélérer le soin d’une escarre dorsale… Avec Chloé, brillante prochaine diplômée, Hugo, un « fils de » aussi inexpérimenté qu’elle, et bientôt Arben, un Franco-Albanais « faisant office d’interne », la jeune interne va devoir incarner sa fonction, composer avec la pénurie de moyens et surmonter son manque de confiance en elle. Cinéaste de la trilogie médicale Hippocrate, Médecin de campagne et Première Année, Thomas Lilti réussit haut la main son passage à la série. À l’acuité de son regard sur l’hôpital, ce médecin de formation ajoute un sens de la dramaturgie et une gestion de la tension épous­touflants. Chaque rencontre avec les patients s’imprime dans la ­rétine du téléspectateur comme, sans doute, elle marque l’existence des jeunes soignants… Emballements cardiaques plurifactoriels à prévoir.

« Hippocrate » sur Canal+ Séries

Programme Canal+ Séries de la journée d'aujourd'hui

Samedi 27 Juillet 2024

De 06h05 à 06h27 Groland le replait

Rediffusion Divertissement-humour 22mn -10

Le très flegmatique Jules-Edouard Moustic présente les meilleurs moments des émissions diffusées sur le bouquet satellite grolandais, d'après une sélection méticuleusement réalisée par Benoît Delépine, Gustave Kervern et Francis Kuntz. Ensemble, les experts débattent et commentent leur choix.

Sur Canal Plus Series dès 06h05 : Groland le replait

De 06h27 à 06h53 Groland le replait

Rediffusion Divertissement-humour 26mn -10

Le très flegmatique Jules-Edouard Moustic présente les meilleurs moments des émissions diffusées sur le bouquet satellite grolandais, d'après une sélection méticuleusement réalisée par Benoît Delépine, Gustave Kervern et Francis Kuntz. Ensemble, les experts débattent et commentent leur choix.

Sur Canal Plus Series dès 06h27 : Groland le replait

De 06h53 à 09h35 Fin des programmes

Fin 2h42 Tout public

Nos programmes se terminent pour cette journée, en attendant ceux de demain.

Sur Canal Plus Series dès 06h53 : Fin des programmes

De 09h35 à 09h49 L'hebd'Hollywood : Spécial Séries

Rediffusion Magazine du cinéma 14mn -10

Le magazine trace la chronique de la vie à Hollywood, des grands studios aux indépendants, des stars aux étoiles montantes. Entre événements, indiscrétions et exclusivités, le journaliste Didier Allouch propose depuis Los Angeles un décryptage très personnel de l'actualité du cinéma américain. News sur les tournages, tendances, films en salles, stars : la cité des Anges livre tous ses secrets.

Sur Canal Plus Series dès 09h35 : L'hebd'Hollywood

De 09h49 à 09h59 Neuf meufs : Sylvia

Rediffusion Série dramatique 10mn -10

Saison : 1 - Épisode : 1 - De l'ado qui se pose des questions sur les mystères de l'orgasme à la célibataire qui carbure aux applis de rencontre, en passant par la grande amoureuse un peu sorcière, voici les courts portraites de neuf femmes qui vivent dans le même immeuble parisien sans forcément se connaître. Au petit matin, Sylvia rentre chez elle après une éprouvante nuit de garde. Avant de prendre du repos, elle décide de laisser déborder son amour. - Critique : Après une longue nuit de garde, Sylvia, une infirmière, rentre chez elle. Le bain qu’elle se fait couler cache ses intentions charnelles envers son voisin… Quelques étages plus haut, dans un vaste Airbnb, Charlie, une touriste anglaise, vient de rompre avec son compagnon. Elle est réconfortée par le voisin venu récupérer les clefs. À quelques portes de là, la jeune Lola vit un chagrin d’amour. Elle en parle avec son père… Emma de Caunes développe son court métrage Violette, où une ado bombarde sa mère de questions sur sa vie sexuelle, en une suite de neuf saynètes autour de femmes. Instantanés qui n’ont pour point commun qu’une unité de lieu, le même immeuble. On y croise un beau casting avec des histoires parfois surprenantes, voire troublantes (Yumi, où la danseuse Kaori Ito s’entraîne dans son salon, entre inquiétude et désir), parfois plus convenues. Neuf Meufs, qui met en scène une belle diversité de personnages féminins — et quelques hommes étonnants —, se parcourt agréablement. Mais ses épisodes, inégaux, se picorent individuellement, quand on aurait aimé les voir se répondre. On sent, dans les plus réussis d’entre eux (Charly, diffusé ce soir à 23h15), que la scénariste et réalisatrice avait de quoi aller plus loin dans l’originalité et l’émotion.

Sur Canal Plus Series dès 09h49 : Neuf meufs

De 09h59 à 10h12 Neuf meufs : Charlie

Rediffusion Série dramatique 13mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Charlie est Anglaise et voit son histoire d'amour arriver à son terme. Elle a choisi de venir rompre à Paris, la ville des amoureux par excellence. - Critique : Après une longue nuit de garde, Sylvia, une infirmière, rentre chez elle. Le bain qu’elle se fait couler cache ses intentions charnelles envers son voisin… Quelques étages plus haut, dans un vaste Airbnb, Charlie, une touriste anglaise, vient de rompre avec son compagnon. Elle est réconfortée par le voisin venu récupérer les clefs. À quelques portes de là, la jeune Lola vit un chagrin d’amour. Elle en parle avec son père… Emma de Caunes développe son court métrage Violette, où une ado bombarde sa mère de questions sur sa vie sexuelle, en une suite de neuf saynètes autour de femmes. Instantanés qui n’ont pour point commun qu’une unité de lieu, le même immeuble. On y croise un beau casting avec des histoires parfois surprenantes, voire troublantes (Yumi, où la danseuse Kaori Ito s’entraîne dans son salon, entre inquiétude et désir), parfois plus convenues. Neuf Meufs, qui met en scène une belle diversité de personnages féminins — et quelques hommes étonnants —, se parcourt agréablement. Mais ses épisodes, inégaux, se picorent individuellement, quand on aurait aimé les voir se répondre. On sent, dans les plus réussis d’entre eux (Charly, diffusé ce soir à 23h15), que la scénariste et réalisatrice avait de quoi aller plus loin dans l’originalité et l’émotion.

Sur Canal Plus Series dès 09h59 : Neuf meufs

De 10h12 à 10h21 Neuf meufs : Lola

Rediffusion Série dramatique 9mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 3 - Lola a un chagrin d'amour. Elle s'est réfugiée chez son père le temps de retrouver sa sérénité. La voilà auprès de cet homme vraiment pas comme les autres. - Critique : Après une longue nuit de garde, Sylvia, une infirmière, rentre chez elle. Le bain qu’elle se fait couler cache ses intentions charnelles envers son voisin… Quelques étages plus haut, dans un vaste Airbnb, Charlie, une touriste anglaise, vient de rompre avec son compagnon. Elle est réconfortée par le voisin venu récupérer les clefs. À quelques portes de là, la jeune Lola vit un chagrin d’amour. Elle en parle avec son père… Emma de Caunes développe son court métrage Violette, où une ado bombarde sa mère de questions sur sa vie sexuelle, en une suite de neuf saynètes autour de femmes. Instantanés qui n’ont pour point commun qu’une unité de lieu, le même immeuble. On y croise un beau casting avec des histoires parfois surprenantes, voire troublantes (Yumi, où la danseuse Kaori Ito s’entraîne dans son salon, entre inquiétude et désir), parfois plus convenues. Neuf Meufs, qui met en scène une belle diversité de personnages féminins — et quelques hommes étonnants —, se parcourt agréablement. Mais ses épisodes, inégaux, se picorent individuellement, quand on aurait aimé les voir se répondre. On sent, dans les plus réussis d’entre eux (Charly, diffusé ce soir à 23h15), que la scénariste et réalisatrice avait de quoi aller plus loin dans l’originalité et l’émotion.

Sur Canal Plus Series dès 10h12 : Neuf meufs

De 10h21 à 10h32 Neuf meufs : Anna

Rediffusion Série dramatique 11mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Dans un immeuble parisien vivent neuf femmes qui ne se connaissent pas forcément. De l'adolescente qui s'interroge sur la sexualité à la grande amoureuse un peu sorcière, chacune représente un moment dans la vie d'une femme. Anna est l'une d'elles. Jeune femme indépendante, elle a beaucoup d'amis, un certain nombre de principes, mais aussi quelques contradictions qu'il lui faudra apprendre à résoudre. - Critique : Après une longue nuit de garde, Sylvia, une infirmière, rentre chez elle. Le bain qu’elle se fait couler cache ses intentions charnelles envers son voisin… Quelques étages plus haut, dans un vaste Airbnb, Charlie, une touriste anglaise, vient de rompre avec son compagnon. Elle est réconfortée par le voisin venu récupérer les clefs. À quelques portes de là, la jeune Lola vit un chagrin d’amour. Elle en parle avec son père… Emma de Caunes développe son court métrage Violette, où une ado bombarde sa mère de questions sur sa vie sexuelle, en une suite de neuf saynètes autour de femmes. Instantanés qui n’ont pour point commun qu’une unité de lieu, le même immeuble. On y croise un beau casting avec des histoires parfois surprenantes, voire troublantes (Yumi, où la danseuse Kaori Ito s’entraîne dans son salon, entre inquiétude et désir), parfois plus convenues. Neuf Meufs, qui met en scène une belle diversité de personnages féminins — et quelques hommes étonnants —, se parcourt agréablement. Mais ses épisodes, inégaux, se picorent individuellement, quand on aurait aimé les voir se répondre. On sent, dans les plus réussis d’entre eux (Charly, diffusé ce soir à 23h15), que la scénariste et réalisatrice avait de quoi aller plus loin dans l’originalité et l’émotion.

Sur Canal Plus Series dès 10h21 : Neuf meufs

De 10h32 à 10h40 Neuf meufs : Violette

Rediffusion Série dramatique 8mn -10

Saison : 1 - Épisode : 5 - Un appartement parisien. Pendant que Violette déballe ses cartons, sa fille déballe ses questions de plus en plus embarrassantes sur la sexualité. - Critique : Après une longue nuit de garde, Sylvia, une infirmière, rentre chez elle. Le bain qu’elle se fait couler cache ses intentions charnelles envers son voisin… Quelques étages plus haut, dans un vaste Airbnb, Charlie, une touriste anglaise, vient de rompre avec son compagnon. Elle est réconfortée par le voisin venu récupérer les clefs. À quelques portes de là, la jeune Lola vit un chagrin d’amour. Elle en parle avec son père… Emma de Caunes développe son court métrage Violette, où une ado bombarde sa mère de questions sur sa vie sexuelle, en une suite de neuf saynètes autour de femmes. Instantanés qui n’ont pour point commun qu’une unité de lieu, le même immeuble. On y croise un beau casting avec des histoires parfois surprenantes, voire troublantes (Yumi, où la danseuse Kaori Ito s’entraîne dans son salon, entre inquiétude et désir), parfois plus convenues. Neuf Meufs, qui met en scène une belle diversité de personnages féminins — et quelques hommes étonnants —, se parcourt agréablement. Mais ses épisodes, inégaux, se picorent individuellement, quand on aurait aimé les voir se répondre. On sent, dans les plus réussis d’entre eux (Charly, diffusé ce soir à 23h15), que la scénariste et réalisatrice avait de quoi aller plus loin dans l’originalité et l’émotion.

Sur Canal Plus Series dès 10h32 : Neuf meufs

De 10h40 à 10h50 Neuf meufs : Yumi

Rediffusion Série dramatique 10mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 6 - Yumi est danseuse, installée à Paris. Elle a été traumatisée par un événement récent. Un regard va l'aider à se réapproprier lentement son corps. - Critique : Après une longue nuit de garde, Sylvia, une infirmière, rentre chez elle. Le bain qu’elle se fait couler cache ses intentions charnelles envers son voisin… Quelques étages plus haut, dans un vaste Airbnb, Charlie, une touriste anglaise, vient de rompre avec son compagnon. Elle est réconfortée par le voisin venu récupérer les clefs. À quelques portes de là, la jeune Lola vit un chagrin d’amour. Elle en parle avec son père… Emma de Caunes développe son court métrage Violette, où une ado bombarde sa mère de questions sur sa vie sexuelle, en une suite de neuf saynètes autour de femmes. Instantanés qui n’ont pour point commun qu’une unité de lieu, le même immeuble. On y croise un beau casting avec des histoires parfois surprenantes, voire troublantes (Yumi, où la danseuse Kaori Ito s’entraîne dans son salon, entre inquiétude et désir), parfois plus convenues. Neuf Meufs, qui met en scène une belle diversité de personnages féminins — et quelques hommes étonnants —, se parcourt agréablement. Mais ses épisodes, inégaux, se picorent individuellement, quand on aurait aimé les voir se répondre. On sent, dans les plus réussis d’entre eux (Charly, diffusé ce soir à 23h15), que la scénariste et réalisatrice avait de quoi aller plus loin dans l’originalité et l’émotion.

Sur Canal Plus Series dès 10h40 : Neuf meufs

De 10h50 à 11h00 Neuf meufs : Framboise

Rediffusion Série dramatique 10mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 7 - Zoé et sa colocataire font le ménage de leur appartement et le tri parmi les souvenirs confus de la fête qu'elles avaient organisée la veille. - Critique : Après une longue nuit de garde, Sylvia, une infirmière, rentre chez elle. Le bain qu’elle se fait couler cache ses intentions charnelles envers son voisin… Quelques étages plus haut, dans un vaste Airbnb, Charlie, une touriste anglaise, vient de rompre avec son compagnon. Elle est réconfortée par le voisin venu récupérer les clefs. À quelques portes de là, la jeune Lola vit un chagrin d’amour. Elle en parle avec son père… Emma de Caunes développe son court métrage Violette, où une ado bombarde sa mère de questions sur sa vie sexuelle, en une suite de neuf saynètes autour de femmes. Instantanés qui n’ont pour point commun qu’une unité de lieu, le même immeuble. On y croise un beau casting avec des histoires parfois surprenantes, voire troublantes (Yumi, où la danseuse Kaori Ito s’entraîne dans son salon, entre inquiétude et désir), parfois plus convenues. Neuf Meufs, qui met en scène une belle diversité de personnages féminins — et quelques hommes étonnants —, se parcourt agréablement. Mais ses épisodes, inégaux, se picorent individuellement, quand on aurait aimé les voir se répondre. On sent, dans les plus réussis d’entre eux (Charly, diffusé ce soir à 23h15), que la scénariste et réalisatrice avait de quoi aller plus loin dans l’originalité et l’émotion.

Sur Canal Plus Series dès 10h50 : Neuf meufs

De 11h00 à 11h09 Neuf meufs : Agathe

Rediffusion Série dramatique 9mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 8 - Agathe est en pleine réunion de travail. Son mari, en revanche, est en plein trip. Cela n'est pas pour l'aider à conserver toute sa concentration. - Critique : Après une longue nuit de garde, Sylvia, une infirmière, rentre chez elle. Le bain qu’elle se fait couler cache ses intentions charnelles envers son voisin… Quelques étages plus haut, dans un vaste Airbnb, Charlie, une touriste anglaise, vient de rompre avec son compagnon. Elle est réconfortée par le voisin venu récupérer les clefs. À quelques portes de là, la jeune Lola vit un chagrin d’amour. Elle en parle avec son père… Emma de Caunes développe son court métrage Violette, où une ado bombarde sa mère de questions sur sa vie sexuelle, en une suite de neuf saynètes autour de femmes. Instantanés qui n’ont pour point commun qu’une unité de lieu, le même immeuble. On y croise un beau casting avec des histoires parfois surprenantes, voire troublantes (Yumi, où la danseuse Kaori Ito s’entraîne dans son salon, entre inquiétude et désir), parfois plus convenues. Neuf Meufs, qui met en scène une belle diversité de personnages féminins — et quelques hommes étonnants —, se parcourt agréablement. Mais ses épisodes, inégaux, se picorent individuellement, quand on aurait aimé les voir se répondre. On sent, dans les plus réussis d’entre eux (Charly, diffusé ce soir à 23h15), que la scénariste et réalisatrice avait de quoi aller plus loin dans l’originalité et l’émotion.

Sur Canal Plus Series dès 11h00 : Neuf meufs

De 11h09 à 11h18 Neuf meufs : Zoé

Rediffusion Série dramatique 9mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 9 - Zoé et sa colocataire font le ménage de leur appartement et le tri parmi les souvenirs confus de la fête qu'elles avaient organisée la veille. - Critique : Après une longue nuit de garde, Sylvia, une infirmière, rentre chez elle. Le bain qu’elle se fait couler cache ses intentions charnelles envers son voisin… Quelques étages plus haut, dans un vaste Airbnb, Charlie, une touriste anglaise, vient de rompre avec son compagnon. Elle est réconfortée par le voisin venu récupérer les clefs. À quelques portes de là, la jeune Lola vit un chagrin d’amour. Elle en parle avec son père… Emma de Caunes développe son court métrage Violette, où une ado bombarde sa mère de questions sur sa vie sexuelle, en une suite de neuf saynètes autour de femmes. Instantanés qui n’ont pour point commun qu’une unité de lieu, le même immeuble. On y croise un beau casting avec des histoires parfois surprenantes, voire troublantes (Yumi, où la danseuse Kaori Ito s’entraîne dans son salon, entre inquiétude et désir), parfois plus convenues. Neuf Meufs, qui met en scène une belle diversité de personnages féminins — et quelques hommes étonnants —, se parcourt agréablement. Mais ses épisodes, inégaux, se picorent individuellement, quand on aurait aimé les voir se répondre. On sent, dans les plus réussis d’entre eux (Charly, diffusé ce soir à 23h15), que la scénariste et réalisatrice avait de quoi aller plus loin dans l’originalité et l’émotion.

Sur Canal Plus Series dès 11h09 : Neuf meufs

De 11h18 à 12h05 Trigger Point

Rediffusion Série policière 47mn -10

Saison : 2 - Épisode : 1 - Après six mois passés en détachement en dehors du Royaume-Uni, la démineuse Lana Washington réintègre la police de Londres. Peu de temps après, un attentat a lieu dans une centrale électrique. Elle est appelée sur les lieux pour sécuriser un portail afin que les pompiers puissent éteindre le feu qui ravage le bâtiment. Il semblerait que des terroristes sèment le chaos dans le pays. Ces ennemis narguent la police et préviennent qu'ils vont bientôt reprendre le pouvoir. Qui sont ces hommes et quel est le niveau de cette nouvelle menace au coeur de Londres ?... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal Plus Series dès 11h18 : Trigger Point

De 12h05 à 12h50 Trigger Point

Rediffusion Série policière 45mn -12

Saison : 2 - Épisode : 2 - Un collier d'explosifs, fixé au cou d'une femme, oblige Lana et son équipe de démineurs à tenter un sauvetage délicat. Pendant ce temps, les indices mènent à un certain Nick Hood, soupçonné d'avoir piloté le drone utilisé pour l'attentat contre le transformateur électrique. La femme visée aurait un lien avec l'un des techniciens de la centrale... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal Plus Series dès 12h05 : Trigger Point

De 12h50 à 13h36 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10

Saison : 2 - Épisode : 3 - Le commandant John Francis reprend les rênes de l'enquête. Helen Morgan tente de soutirer des informations à Nick Hood, le principal suspect des attentats. Pendant ce temps, un informateur prend contact avec la brigade anti-gang et demande à parler à un agent. Lana et Helen vont à sa rencontre. L'homme, un journaliste, a reçu un colis qui semble suspect. Lana veut exploiter cette piste afin d'en savoir plus sur la menace qui pèse sur la ville et sur les autorités. Elle alerte son équipe de l'avancée des investigations... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal Plus Series dès 12h50 : Trigger Point

De 13h36 à 14h19 Trigger Point

Rediffusion Série policière 43mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Alex prévient la police qu'un nouvel attentat va avoir lieu. Il pense que les bombes seront transportées par des drones. La police se rend dans le quartier des affaires de Londres, mais Lana comprend que les terroristes ont imaginé un tout autre scénario. Bientôt, il apparaît de manière de plus en plus évidente que c'est le royaume d'Angleterre que les terroristes menacent de détruire... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal Plus Series dès 13h36 : Trigger Point

De 14h19 à 15h05 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Lana livre des informations sur les membres de la Vague à la section anti-terroriste. Le commandant Francis est hors de lui quand il apprend qu'elle n'a pas placé Alex en garde à vue lorsqu'il lui a rendu visite chez elle la veille. Le capitaine Batra, de son côté, a obtenu la photo de la femme qui aurait poussé Thom dans la cage d'ascenseur... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal Plus Series dès 14h19 : Trigger Point

De 15h05 à 15h51 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10

Saison : 2 - Épisode : 6 - Kidnappée par Hope, Lana apprend de la bouche de cette dernière que le but de la Vague est de renverser le gouvernement. La première cible du groupe terroriste est le ministre de l'Intérieur. Après avoir expliqué à la démineuse que la maison de ses parents a été truffée d'explosifs, Hope est persuadée que Lana n'aura pas d'autre choix que de prendre part à l'attentat... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal Plus Series dès 15h05 : Trigger Point

De 15h51 à 15h57 Mini Canalissime : Terminal

Rediffusion Divertissement 6mn -10
Sur Canal Plus Series dès 15h51 : Mini Canalissime

De 15h57 à 16h20 Terminal : Good Cop Bad Cop

Rediffusion Série humoristique 23mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 1 - Jack est arrêté à la sécurité par Cathy, au flair imparable, en possession d'un petit bout de haschich. Max, le chef de la sécurité, au taser un peu nerveux, l'embarque et le soumet à son application détectrice de mensonge qui révèle que la drogue n'est pas à Jack. Le duo décide de mettre en place la célèbre technique d'interrogatoire dite du "Good Cop-Bad Cop" pour démasquer le coupable. Dans l'avion, Armelle se fait aider de Nelly pour gérer un homme profondément endormi. Quand un passager est un peu embêtant, Armelle n'hésite pas à verser en douce un peu de somnifère dans son verre, sauf que cette fois elle y est allée un peu fort sur le dosage. - Critique : La sitcom est un genre mal-aimé en France, délaissé depuis le succès de H au début des années 2000. Vingt ans plus tard, deux des piliers de la comédie médicale de Canal+, Jamel et Ramzy, remettent ça en s’amusant du quotidien d’une compagnie aérienne low cost. Chez Flywingz, tout le monde est incompétent, du capitaine simplet à l’hôtesse syndicaliste qui demande des baisses des salaires. C’est dans cette galère que déboule Charlie, une nouvelle copilote... Sur le papier, on ne peut que se réjouir de voir la sitcom, genre aussi populaire qu’exigeant à concevoir, faire son retour sous nos latitudes. Terminal, tournée en public, c’est une avalanche de blagues… dont seulement une infime partie fait mouche. Bombardé de répliques volontairement foireuses, assommé par les gesticulations excessives des interprètes, on lâche parfois un éclat de rire. C’est trop peu pour un projet porté par une armée de scénaristes et comiques de qualité, habituellement drôles. Même le côté rétro de la mise en scène, qui aurait pu rendre la série attachante, se retourne contre elle. Terminal aurait pu être le futur de la sitcom made in France. Elle frôle la sortie de piste…

Sur Canal Plus Series dès 15h57 : Terminal

De 16h20 à 16h43 Terminal : Le boulon

Rediffusion Série humoristique 23mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 2 - Comme avant chaque vol, Jack, commandant de la compagnie Flywingz, inspecte l'avion à sa manière, c'est-à-dire à l'arrache. Charlie, la nouvelle copilote fraichement arrivée, remarque la présence d'un boulon au sol qui semble être tombé de la carlingue. Hors de question de décoller tant qu'ils n'auront pas déterminé l'origine de ce boulon, il en va de la sécurité des passagers. Charlie se lance alors dans une grande inspection de l'appareil tandis que Tristan et son équipe de PNC tentent tant bien que mal de faire patienter les passagers. - Critique : La sitcom est un genre mal-aimé en France, délaissé depuis le succès de H au début des années 2000. Vingt ans plus tard, deux des piliers de la comédie médicale de Canal+, Jamel et Ramzy, remettent ça en s’amusant du quotidien d’une compagnie aérienne low cost. Chez Flywingz, tout le monde est incompétent, du capitaine simplet à l’hôtesse syndicaliste qui demande des baisses des salaires. C’est dans cette galère que déboule Charlie, une nouvelle copilote... Sur le papier, on ne peut que se réjouir de voir la sitcom, genre aussi populaire qu’exigeant à concevoir, faire son retour sous nos latitudes. Terminal, tournée en public, c’est une avalanche de blagues… dont seulement une infime partie fait mouche. Bombardé de répliques volontairement foireuses, assommé par les gesticulations excessives des interprètes, on lâche parfois un éclat de rire. C’est trop peu pour un projet porté par une armée de scénaristes et comiques de qualité, habituellement drôles. Même le côté rétro de la mise en scène, qui aurait pu rendre la série attachante, se retourne contre elle. Terminal aurait pu être le futur de la sitcom made in France. Elle frôle la sortie de piste…

Sur Canal Plus Series dès 16h20 : Terminal

De 16h43 à 17h09 Terminal : La tempête

Rediffusion Série humoristique 26mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 3 - Une tempête de neige paralyse tout l'aéroport. Jack veut profiter de ce moment de creux pour renégocier son salaire à la hausse avec Nikki. Jack est payé 1500 euros par mois. Armelle est outrée et propose de l'accompagner sous sa casquette de déléguée syndicale. Jack n'imagine pas qu'Armelle va en fait vouloir l'embarquer dans son combat pour la décroissance. Dans la salle de repos débarque Chris, l'ancien commandant de Flywingz, un homme arrogant et lourd, qui propose de passer le temps en remettant son titre de meilleur joueur de ping-pong en jeu face à Charlie, qui ne résiste pas au défi. - Critique : La sitcom est un genre mal-aimé en France, délaissé depuis le succès de H au début des années 2000. Vingt ans plus tard, deux des piliers de la comédie médicale de Canal+, Jamel et Ramzy, remettent ça en s’amusant du quotidien d’une compagnie aérienne low cost. Chez Flywingz, tout le monde est incompétent, du capitaine simplet à l’hôtesse syndicaliste qui demande des baisses des salaires. C’est dans cette galère que déboule Charlie, une nouvelle copilote... Sur le papier, on ne peut que se réjouir de voir la sitcom, genre aussi populaire qu’exigeant à concevoir, faire son retour sous nos latitudes. Terminal, tournée en public, c’est une avalanche de blagues… dont seulement une infime partie fait mouche. Bombardé de répliques volontairement foireuses, assommé par les gesticulations excessives des interprètes, on lâche parfois un éclat de rire. C’est trop peu pour un projet porté par une armée de scénaristes et comiques de qualité, habituellement drôles. Même le côté rétro de la mise en scène, qui aurait pu rendre la série attachante, se retourne contre elle. Terminal aurait pu être le futur de la sitcom made in France. Elle frôle la sortie de piste…

Sur Canal Plus Series dès 16h43 : Terminal

De 17h09 à 17h33 Terminal : Le stagiaire

Rediffusion Série humoristique 24mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 4 - Le fils du grand patron, Louis, est en stage d'observation chez Flywingz. Jack, qui rêve d'être père plus que tout au monde, le prend sous son aile et l'embarque sur le vol. A bord de l'avion, Tristan est aux petits soins avec leur jeune recrue qui s'avère être une véritable tête à claque méprisant le travail des PNC. Ce qui l'intéresse vraiment, c'est de rentrer dans le cockpit. Evidemment Jack cède tout de suite. Du haut de ses 13 ans, Louis corrige Charlie sur sa façon de piloter. Cette dernière est exaspérée par son nouvel "ennemi". - Critique : La sitcom est un genre mal-aimé en France, délaissé depuis le succès de H au début des années 2000. Vingt ans plus tard, deux des piliers de la comédie médicale de Canal+, Jamel et Ramzy, remettent ça en s’amusant du quotidien d’une compagnie aérienne low cost. Chez Flywingz, tout le monde est incompétent, du capitaine simplet à l’hôtesse syndicaliste qui demande des baisses des salaires. C’est dans cette galère que déboule Charlie, une nouvelle copilote... Sur le papier, on ne peut que se réjouir de voir la sitcom, genre aussi populaire qu’exigeant à concevoir, faire son retour sous nos latitudes. Terminal, tournée en public, c’est une avalanche de blagues… dont seulement une infime partie fait mouche. Bombardé de répliques volontairement foireuses, assommé par les gesticulations excessives des interprètes, on lâche parfois un éclat de rire. C’est trop peu pour un projet porté par une armée de scénaristes et comiques de qualité, habituellement drôles. Même le côté rétro de la mise en scène, qui aurait pu rendre la série attachante, se retourne contre elle. Terminal aurait pu être le futur de la sitcom made in France. Elle frôle la sortie de piste…

Sur Canal Plus Series dès 17h09 : Terminal

De 17h33 à 18h00 Terminal : Conduite accompagnée

Rediffusion Série humoristique 27mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 5 - Jack doit repasser son agrément de pilote, sauf que ce jour-là, ça n'est pas Jean-Claude l'instructeur habituel mais une nouvelle "Virginie" dont Jack tombe instantanément amoureux. Perdant tous ses moyens, il crashe le simulateur de vol. Après cet échec, Jack ne peut plus piloter et Chris doit le remplacer dans le cockpit aux côtés de Charlie, bien résolue à tricher pour que Jack retrouve sa place de commandant. Dans la salle de repos, Armelle débarque en pantalon contre l'avis de Nikki qui lui rappelle que le règlement vestimentaire de Flywingz leur impose jupe et chignon. - Critique : La sitcom est un genre mal-aimé en France, délaissé depuis le succès de H au début des années 2000. Vingt ans plus tard, deux des piliers de la comédie médicale de Canal+, Jamel et Ramzy, remettent ça en s’amusant du quotidien d’une compagnie aérienne low cost. Chez Flywingz, tout le monde est incompétent, du capitaine simplet à l’hôtesse syndicaliste qui demande des baisses des salaires. C’est dans cette galère que déboule Charlie, une nouvelle copilote... Sur le papier, on ne peut que se réjouir de voir la sitcom, genre aussi populaire qu’exigeant à concevoir, faire son retour sous nos latitudes. Terminal, tournée en public, c’est une avalanche de blagues… dont seulement une infime partie fait mouche. Bombardé de répliques volontairement foireuses, assommé par les gesticulations excessives des interprètes, on lâche parfois un éclat de rire. C’est trop peu pour un projet porté par une armée de scénaristes et comiques de qualité, habituellement drôles. Même le côté rétro de la mise en scène, qui aurait pu rendre la série attachante, se retourne contre elle. Terminal aurait pu être le futur de la sitcom made in France. Elle frôle la sortie de piste…

Sur Canal Plus Series dès 17h33 : Terminal

De 18h00 à 18h25 Terminal : La première classe

Rediffusion Série humoristique 25mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 6 - Tristan a une idée pour renflouer les caisses de Flywingz : créer une classe business à bord de leur avion. Avec l'aide de Nabil, il improvise une première classe low-cost avec vin blanc gazeux en guise de champagne, mélange tarama-olive à la place du caviar et "Les Tuches" en allemand pour tout divertissement. Armelle est outrée par cette initiative, car pour elle la beauté de Flywingz c'est justement qu'il y ait une classe unique. Reléguée de fait en seconde avec Nelly, c'est zéro service. Pendant ce temps, Jack entreprend des démarches d'adoption tandis que Charlie, qui a loupé son test psy, tente d'amadouer l'équipe qui doit noter son comportement. - Critique : La sitcom est un genre mal-aimé en France, délaissé depuis le succès de H au début des années 2000. Vingt ans plus tard, deux des piliers de la comédie médicale de Canal+, Jamel et Ramzy, remettent ça en s’amusant du quotidien d’une compagnie aérienne low cost. Chez Flywingz, tout le monde est incompétent, du capitaine simplet à l’hôtesse syndicaliste qui demande des baisses des salaires. C’est dans cette galère que déboule Charlie, une nouvelle copilote... Sur le papier, on ne peut que se réjouir de voir la sitcom, genre aussi populaire qu’exigeant à concevoir, faire son retour sous nos latitudes. Terminal, tournée en public, c’est une avalanche de blagues… dont seulement une infime partie fait mouche. Bombardé de répliques volontairement foireuses, assommé par les gesticulations excessives des interprètes, on lâche parfois un éclat de rire. C’est trop peu pour un projet porté par une armée de scénaristes et comiques de qualité, habituellement drôles. Même le côté rétro de la mise en scène, qui aurait pu rendre la série attachante, se retourne contre elle. Terminal aurait pu être le futur de la sitcom made in France. Elle frôle la sortie de piste…

Sur Canal Plus Series dès 18h00 : Terminal

De 18h25 à 18h51 Terminal : Le Bad Buzz

Rediffusion Série humoristique 26mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 7 - Au cours d'un vol, Armelle s'énerve contre un passager et le traite de "sale homme blanc hétéro". Malheureusement, la scène a été filmée et fait le tour du web. La compagnie est accusée de racisme anti-blanc. Le lendemain, Tristan découvre que Nabil, en voulant arranger les choses, a créé une file spéciale réservée aux blancs. C'est le scandale, les passagers dénoncent un nouvel apartheid. Le bad buzz autour de Flywingz est encore pire que la veille. Nikki missionne Tristan pour qu'il éteigne complètement cette polémique en faisant un vol ultra inclusif... - Critique : La sitcom est un genre mal-aimé en France, délaissé depuis le succès de H au début des années 2000. Vingt ans plus tard, deux des piliers de la comédie médicale de Canal+, Jamel et Ramzy, remettent ça en s’amusant du quotidien d’une compagnie aérienne low cost. Chez Flywingz, tout le monde est incompétent, du capitaine simplet à l’hôtesse syndicaliste qui demande des baisses des salaires. C’est dans cette galère que déboule Charlie, une nouvelle copilote... Sur le papier, on ne peut que se réjouir de voir la sitcom, genre aussi populaire qu’exigeant à concevoir, faire son retour sous nos latitudes. Terminal, tournée en public, c’est une avalanche de blagues… dont seulement une infime partie fait mouche. Bombardé de répliques volontairement foireuses, assommé par les gesticulations excessives des interprètes, on lâche parfois un éclat de rire. C’est trop peu pour un projet porté par une armée de scénaristes et comiques de qualité, habituellement drôles. Même le côté rétro de la mise en scène, qui aurait pu rendre la série attachante, se retourne contre elle. Terminal aurait pu être le futur de la sitcom made in France. Elle frôle la sortie de piste…

Sur Canal Plus Series dès 18h25 : Terminal

De 18h51 à 19h16 Terminal : L'inspection

Rediffusion Série humoristique 25mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 8 - Jack trouve Nabil complètement déprimé à l'enregistrement, il a encore échoué à son concours de pilote. Jack lui propose de réaliser son rêve et lui prête son costume de commandant en échange de son uniforme de steward. Pile à ce moment, un inspecteur de l'aviation civile débarque pour un contrôle. Trop tard pour faire marche arrière, Nabil et Jack vont devoir inverser leur rôle le temps d'un vol... - Critique : La sitcom est un genre mal-aimé en France, délaissé depuis le succès de H au début des années 2000. Vingt ans plus tard, deux des piliers de la comédie médicale de Canal+, Jamel et Ramzy, remettent ça en s’amusant du quotidien d’une compagnie aérienne low cost. Chez Flywingz, tout le monde est incompétent, du capitaine simplet à l’hôtesse syndicaliste qui demande des baisses des salaires. C’est dans cette galère que déboule Charlie, une nouvelle copilote... Sur le papier, on ne peut que se réjouir de voir la sitcom, genre aussi populaire qu’exigeant à concevoir, faire son retour sous nos latitudes. Terminal, tournée en public, c’est une avalanche de blagues… dont seulement une infime partie fait mouche. Bombardé de répliques volontairement foireuses, assommé par les gesticulations excessives des interprètes, on lâche parfois un éclat de rire. C’est trop peu pour un projet porté par une armée de scénaristes et comiques de qualité, habituellement drôles. Même le côté rétro de la mise en scène, qui aurait pu rendre la série attachante, se retourne contre elle. Terminal aurait pu être le futur de la sitcom made in France. Elle frôle la sortie de piste…

Sur Canal Plus Series dès 18h51 : Terminal

De 19h16 à 19h41 Terminal : La peur

Rediffusion Série humoristique 25mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 9 - Nikki doit proposer aux clients un stage pour vaincre la peur en avion, comme toutes les compagnies aériennes le font. Elle en confie l'organisation à Charlie et accepte que Jack joue le rôle d'un ancien stagiaire. Il ne trouve pas meilleure idée que de débarquer avec chemise en daim et santiags aux pieds, ultime survivant d'un crash ayant mangé les autres passagers. Côté équipe PNC, on se serre les coudes : avec l'aide de Tristan, Nelly décide de participer au casting organisé par Flywingz pour devenir égérie de la compagnie, quand Armelle défend Nabil qui se fait martyriser par Cathy, l'agente de sécurité à la douane. - Critique : La sitcom est un genre mal-aimé en France, délaissé depuis le succès de H au début des années 2000. Vingt ans plus tard, deux des piliers de la comédie médicale de Canal+, Jamel et Ramzy, remettent ça en s’amusant du quotidien d’une compagnie aérienne low cost. Chez Flywingz, tout le monde est incompétent, du capitaine simplet à l’hôtesse syndicaliste qui demande des baisses des salaires. C’est dans cette galère que déboule Charlie, une nouvelle copilote... Sur le papier, on ne peut que se réjouir de voir la sitcom, genre aussi populaire qu’exigeant à concevoir, faire son retour sous nos latitudes. Terminal, tournée en public, c’est une avalanche de blagues… dont seulement une infime partie fait mouche. Bombardé de répliques volontairement foireuses, assommé par les gesticulations excessives des interprètes, on lâche parfois un éclat de rire. C’est trop peu pour un projet porté par une armée de scénaristes et comiques de qualité, habituellement drôles. Même le côté rétro de la mise en scène, qui aurait pu rendre la série attachante, se retourne contre elle. Terminal aurait pu être le futur de la sitcom made in France. Elle frôle la sortie de piste…

Sur Canal Plus Series dès 19h16 : Terminal

De 19h41 à 20h05 Terminal : La formation de sécurité

Rediffusion Série humoristique 24mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 10 - Jack et Charlie sont convoqués par Nikki qui a la direction sur le dos : afin de vérifier si ce duo peut continuer à prendre les commandes d'un avion, ils doivent consulter un psychologue pour travailler sur leur relation. Nikki doit aussi gérer le reste de l'équipage et leur faire suivre une journée de contrôle sécurité, sous l'oeil attentif d'un formateur envoyé par le siège. Commence alors une démonstration rocambolesque de cette drôle d'équipe de bras cassés. Vont-ils passer le test avec succès ? - Critique : La sitcom est un genre mal-aimé en France, délaissé depuis le succès de H au début des années 2000. Vingt ans plus tard, deux des piliers de la comédie médicale de Canal+, Jamel et Ramzy, remettent ça en s’amusant du quotidien d’une compagnie aérienne low cost. Chez Flywingz, tout le monde est incompétent, du capitaine simplet à l’hôtesse syndicaliste qui demande des baisses des salaires. C’est dans cette galère que déboule Charlie, une nouvelle copilote... Sur le papier, on ne peut que se réjouir de voir la sitcom, genre aussi populaire qu’exigeant à concevoir, faire son retour sous nos latitudes. Terminal, tournée en public, c’est une avalanche de blagues… dont seulement une infime partie fait mouche. Bombardé de répliques volontairement foireuses, assommé par les gesticulations excessives des interprètes, on lâche parfois un éclat de rire. C’est trop peu pour un projet porté par une armée de scénaristes et comiques de qualité, habituellement drôles. Même le côté rétro de la mise en scène, qui aurait pu rendre la série attachante, se retourne contre elle. Terminal aurait pu être le futur de la sitcom made in France. Elle frôle la sortie de piste…

Sur Canal Plus Series dès 19h41 : Terminal

De 20h05 à 20h33 Terminal : La séduction

Rediffusion Série humoristique 28mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 11 - Dans le hall de l'aéroport, Jack bouscule une femme, Florence, qui tombe instantanément sous son charme. Sauf que depuis son divorce, Jack est complètement bloqué côté romance, il manque de répartie, incapable d'aligner deux mots. Coup de chance, Florence prend le même vol que Jack. Nelly, Nabil et Armelle mettent alors au point un plan pour aider Jack à la séduire. De son côté, Tristan quitte l'équipage pour rejoindre Nikki dans les bureaux. Consciencieux, il veut être force de proposition et soumet à la direction un algorithme qui va noter les employés de la compagnie. Mais Nikki qui ne voit pas cette initiative d'un bon oeil. Tristan aussi est au bout du rouleau, persuadé que son mec le trompe. - Critique : La sitcom est un genre mal-aimé en France, délaissé depuis le succès de H au début des années 2000. Vingt ans plus tard, deux des piliers de la comédie médicale de Canal+, Jamel et Ramzy, remettent ça en s’amusant du quotidien d’une compagnie aérienne low cost. Chez Flywingz, tout le monde est incompétent, du capitaine simplet à l’hôtesse syndicaliste qui demande des baisses des salaires. C’est dans cette galère que déboule Charlie, une nouvelle copilote... Sur le papier, on ne peut que se réjouir de voir la sitcom, genre aussi populaire qu’exigeant à concevoir, faire son retour sous nos latitudes. Terminal, tournée en public, c’est une avalanche de blagues… dont seulement une infime partie fait mouche. Bombardé de répliques volontairement foireuses, assommé par les gesticulations excessives des interprètes, on lâche parfois un éclat de rire. C’est trop peu pour un projet porté par une armée de scénaristes et comiques de qualité, habituellement drôles. Même le côté rétro de la mise en scène, qui aurait pu rendre la série attachante, se retourne contre elle. Terminal aurait pu être le futur de la sitcom made in France. Elle frôle la sortie de piste…

Sur Canal Plus Series dès 20h05 : Terminal

De 20h33 à 21h03 Terminal : Le Wingz Comedy Club

Rediffusion Série humoristique 30mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 12 - Dans le hall d'embarquement, Nelly et Armelle manifestent pour que Flywingz propose des plats végétariens. Elles organisent un "die in" et embarquent Nabil dans leur action, qui, bien décidé à déclarer sa flamme à Nelly, n'hésite pas à jouer l'activiste végétarien pour elle. Jack a lui aussi une nouvelle lubie : persuadé de son talent de comique, il veut se lancer dans le stand up. Il tente des vannes auprès des passagers du vol. Charlie commence sérieusement à envisager de quitter Flywingz pour rejoindre Royal Eagles qui lui propose un poste. - Critique : La sitcom est un genre mal-aimé en France, délaissé depuis le succès de H au début des années 2000. Vingt ans plus tard, deux des piliers de la comédie médicale de Canal+, Jamel et Ramzy, remettent ça en s’amusant du quotidien d’une compagnie aérienne low cost. Chez Flywingz, tout le monde est incompétent, du capitaine simplet à l’hôtesse syndicaliste qui demande des baisses des salaires. C’est dans cette galère que déboule Charlie, une nouvelle copilote... Sur le papier, on ne peut que se réjouir de voir la sitcom, genre aussi populaire qu’exigeant à concevoir, faire son retour sous nos latitudes. Terminal, tournée en public, c’est une avalanche de blagues… dont seulement une infime partie fait mouche. Bombardé de répliques volontairement foireuses, assommé par les gesticulations excessives des interprètes, on lâche parfois un éclat de rire. C’est trop peu pour un projet porté par une armée de scénaristes et comiques de qualité, habituellement drôles. Même le côté rétro de la mise en scène, qui aurait pu rendre la série attachante, se retourne contre elle. Terminal aurait pu être le futur de la sitcom made in France. Elle frôle la sortie de piste…

Sur Canal Plus Series dès 20h33 : Terminal

De 21h03 à 21h55 Hippocrate

Rediffusion Série hospitalière 52mn -10

Saison : 1 - Épisode : 1 - Alyson, étudiante en médecine, découvre son nouveau lieu de travail, un hôpital public de périphérie, en compagnie des deux autres internes affectés au service, Hugo et Chloé. Tous les titulaires sont confinés chez eux à la suite de mesures sanitaires : un risque de contagion a été établi après la mort d'un patient atteint d'un méningocoque. En leur absence, les internes doivent gérer seuls le service et les malades. Alyson n'est pas confiante, contrairement à Chloé, qui entretient une relation secrète avec le médecin en charge du service... - Critique : Pour son premier jour de stage à l’hôpital de Garches, Alyson Lévêque rate son train, court comme si elle avait la mort à ses trousses, déboule dans un service privé de médecins titulaires pour cause de quarantaine. Première chambre, premier trépassé. « T’oublieras pas de faire un certificat de décès », lui intime une infirmière, avant qu’une autre ne la somme d’accélérer le soin d’une escarre dorsale… Avec Chloé, brillante prochaine diplômée, Hugo, un « fils de » aussi inexpérimenté qu’elle, et bientôt Arben, un Franco-Albanais « faisant office d’interne », la jeune interne va devoir incarner sa fonction, composer avec la pénurie de moyens et surmonter son manque de confiance en elle. Cinéaste de la trilogie médicale Hippocrate, Médecin de campagne et Première Année, Thomas Lilti réussit haut la main son passage à la série. À l’acuité de son regard sur l’hôpital, ce médecin de formation ajoute un sens de la dramaturgie et une gestion de la tension épous­touflants. Chaque rencontre avec les patients s’imprime dans la ­rétine du téléspectateur comme, sans doute, elle marque l’existence des jeunes soignants… Emballements cardiaques plurifactoriels à prévoir.

Sur Canal Plus Series dès 21h03 : Hippocrate

De 21h55 à 22h47 Hippocrate

Rediffusion Série hospitalière 52mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 2 - La mise à l'écart des médecins a été prolongée jusqu'à nouvel ordre, un agent pathogène non identifié ayant été détecté au cours de l'autopsie du patient décédé. Arben Bascha est aussitôt détaché de son service pour rejoindre les maigres effectifs de médecine interne, gagnés par la fatigue et la panique, à l'exception de Chloé. Un patient, pris en charge à la sortie d'une boîte de nuit, intègre le service déjà débordé... - Critique : Pour son premier jour de stage à l’hôpital de Garches, Alyson Lévêque rate son train, court comme si elle avait la mort à ses trousses, déboule dans un service privé de médecins titulaires pour cause de quarantaine. Première chambre, premier trépassé. « T’oublieras pas de faire un certificat de décès », lui intime une infirmière, avant qu’une autre ne la somme d’accélérer le soin d’une escarre dorsale… Avec Chloé, brillante prochaine diplômée, Hugo, un « fils de » aussi inexpérimenté qu’elle, et bientôt Arben, un Franco-Albanais « faisant office d’interne », la jeune interne va devoir incarner sa fonction, composer avec la pénurie de moyens et surmonter son manque de confiance en elle. Cinéaste de la trilogie médicale Hippocrate, Médecin de campagne et Première Année, Thomas Lilti réussit haut la main son passage à la série. À l’acuité de son regard sur l’hôpital, ce médecin de formation ajoute un sens de la dramaturgie et une gestion de la tension épous­touflants. Chaque rencontre avec les patients s’imprime dans la ­rétine du téléspectateur comme, sans doute, elle marque l’existence des jeunes soignants… Emballements cardiaques plurifactoriels à prévoir.

Sur Canal Plus Series dès 21h55 : Hippocrate

De 22h47 à 23h47 Fellow Travelers : Merveilleux

Rediffusion Série dramatique 1h -12

Saison : 1 - Épisode : 1 - En 1986, alors qu'il organise une réception pour célébrer son prochain départ à Milan, où l'attend un poste de consul, Hawkins Fuller reçoit la visite de Marcus. Celui-ci vient lui apporter un souvenir d'un certain Tim. Ce cadeau replonge Hawk dans ses souvenirs. C'est en 1952 à Washington, au lendemain de l'élection d'Eisenhower et alors qu'il travaille au bureau des relations avec le Congrès, qu'il fait la connaissance de Tim Laughlin. - Critique : Quand on se rencontre lors d’une soirée d’élection, la romance flirte forcément avec la grande histoire. Cette nuit de 1952, alors qu’Eisenhower est élu président, Hawkins (Matt Bomer) et Tim (Jonathan Bailey) se plaisent au premier regard et tout s’embrase. Promesse de bonheur et de malheur mêlés, car, en ce temps-là, la chasse aux sorcières contre les communistes censés être infiltrés au sein de l’administration se double d’une autre entreprise de persécution contre les homosexuels. Fellow Travelers n’est jamais aussi passionnante que dans ses premiers épisodes sur ce pan mal connu du maccarthysme baptisé la « peur lavande » (lavender scare) en écho à la « peur rouge » (red scare). Au cœur de Washington (Hawkins et Tim sont tous deux des serviteurs de l’État), la passion des amants est cernée par l’homophobie triomphante et le climat de paranoïa qui en résulte. Face à l’idéologie déchaînée, mensonges et trahisons minent les existences de contradictions profondes. Le créateur Ron Nyswaner (scénariste du très culte Philadelphia) a fait le choix d’agrandir le cadre du roman éponyme de Thomas Mallon (éd. Pantheon, 2007, non traduit), dont il s’inspire, pour dérouler l’histoire de ses héros jusque dans les années sida. Ou comment des vies auront été meurtries de bout en bout, d’abord confrontées à la persécution d’État puis à l’abandon institué. Malgré la force du propos, on regrette que la narration perde en densité au fil du temps et que la complexité se dissolve dans un mélo un peu bâclé.

Sur Canal Plus Series dès 22h47 : Fellow Travelers

De 23h47 à 00h43 Fellow Travelers : À toute épreuve

Rediffusion Série dramatique 56mn -12

Saison : 1 - Épisode : 2 - Maggie, la soeur de Tim, retrouve Hawk dans un café et lui interdit de voir son frère. En 1953, Mary et Tim se montrent ensemble pour avoir une couverture. Hawk confie à Tim qu'il aimerait travailler cinq ans encore avant de s'exiler en Europe, où les moeurs sont plus libres. Au sein du département d'Etat, des convocations sont adressées à ceux qui sont soupçonnés d'homosexualité. Le poète Hughes est auditionné par McCarthy. - Critique : Quand on se rencontre lors d’une soirée d’élection, la romance flirte forcément avec la grande histoire. Cette nuit de 1952, alors qu’Eisenhower est élu président, Hawkins (Matt Bomer) et Tim (Jonathan Bailey) se plaisent au premier regard et tout s’embrase. Promesse de bonheur et de malheur mêlés, car, en ce temps-là, la chasse aux sorcières contre les communistes censés être infiltrés au sein de l’administration se double d’une autre entreprise de persécution contre les homosexuels. Fellow Travelers n’est jamais aussi passionnante que dans ses premiers épisodes sur ce pan mal connu du maccarthysme baptisé la « peur lavande » (lavender scare) en écho à la « peur rouge » (red scare). Au cœur de Washington (Hawkins et Tim sont tous deux des serviteurs de l’État), la passion des amants est cernée par l’homophobie triomphante et le climat de paranoïa qui en résulte. Face à l’idéologie déchaînée, mensonges et trahisons minent les existences de contradictions profondes. Le créateur Ron Nyswaner (scénariste du très culte Philadelphia) a fait le choix d’agrandir le cadre du roman éponyme de Thomas Mallon (éd. Pantheon, 2007, non traduit), dont il s’inspire, pour dérouler l’histoire de ses héros jusque dans les années sida. Ou comment des vies auront été meurtries de bout en bout, d’abord confrontées à la persécution d’État puis à l’abandon institué. Malgré la force du propos, on regrette que la narration perde en densité au fil du temps et que la complexité se dissolve dans un mélo un peu bâclé.

Sur Canal Plus Series dès 23h47 : Fellow Travelers