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Canal+ Séries : Programme TV de la chaîne Canal+ Séries

En ce moment sur Canal+ Séries :

09h47 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 58mn -10
Ridley Road

Saison : 1 - Épisode : 2 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

23min

À suivre, dès 10h45 : Ridley Road (Rediffusion)

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09h47 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 58mn -10
Ridley Road

Saison : 1 - Épisode : 2 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

23min

À suivre, dès 10h45 : Ridley Road (Rediffusion)

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09h47 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 58mn -10
Ridley Road

Saison : 1 - Épisode : 2 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

23min

À suivre, dès 10h45 : Ridley Road (Rediffusion)

Ce soir sur Canal+ Séries :

21h03 The English : Les vautours à la frontière

Rediffusion Série western 49mn -12

Saison : 1 - Épisode : 3 - A Hoxem, dans le Wyoming, Billy et Martha Myers, des fermiers, ont maille à partir avec Lord Trafford et ses hommes, qui se sont emparés de leur bétail. Dans le Kansas, Cornelia, elle, poursuit sa route pour retrouver la famille des deux orphelines. Elle croise la route de Mog aux Yeux Pochés et de ses deux fils, tandis qu'Eli tombe dans un piège qui pourrait lui coûter la vie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

« The English » sur Canal+ Séries

21h52 The English : Le loup blessé

Rediffusion Série western 52mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Eli est aux mains de celui qui se fait appeler Meurtres sur l'Eau, depuis le massacre de Chalk River en 1875. C'est à cette époque que Lord Trafford, fraichement débarqué d'Angleterre en compagnie de son employé David Melmont, venait faire fortune dans l'élevage. L'aristocrate anglais avait alors compris combien le sol américain pouvait engendrer de barbarie et de félonie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

« The English » sur Canal+ Séries

Ce soir sur Canal+ Séries :

21h03 The English : Les vautours à la frontière

Rediffusion Série western 49mn -12

Saison : 1 - Épisode : 3 - A Hoxem, dans le Wyoming, Billy et Martha Myers, des fermiers, ont maille à partir avec Lord Trafford et ses hommes, qui se sont emparés de leur bétail. Dans le Kansas, Cornelia, elle, poursuit sa route pour retrouver la famille des deux orphelines. Elle croise la route de Mog aux Yeux Pochés et de ses deux fils, tandis qu'Eli tombe dans un piège qui pourrait lui coûter la vie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

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21h52 The English : Le loup blessé

Rediffusion Série western 52mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Eli est aux mains de celui qui se fait appeler Meurtres sur l'Eau, depuis le massacre de Chalk River en 1875. C'est à cette époque que Lord Trafford, fraichement débarqué d'Angleterre en compagnie de son employé David Melmont, venait faire fortune dans l'élevage. L'aristocrate anglais avait alors compris combien le sol américain pouvait engendrer de barbarie et de félonie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

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Ce soir sur Canal+ Séries :

21h03 The English : Les vautours à la frontière

Rediffusion Série western 49mn -12

Saison : 1 - Épisode : 3 - A Hoxem, dans le Wyoming, Billy et Martha Myers, des fermiers, ont maille à partir avec Lord Trafford et ses hommes, qui se sont emparés de leur bétail. Dans le Kansas, Cornelia, elle, poursuit sa route pour retrouver la famille des deux orphelines. Elle croise la route de Mog aux Yeux Pochés et de ses deux fils, tandis qu'Eli tombe dans un piège qui pourrait lui coûter la vie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

« The English » sur Canal+ Séries

21h52 The English : Le loup blessé

Rediffusion Série western 52mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Eli est aux mains de celui qui se fait appeler Meurtres sur l'Eau, depuis le massacre de Chalk River en 1875. C'est à cette époque que Lord Trafford, fraichement débarqué d'Angleterre en compagnie de son employé David Melmont, venait faire fortune dans l'élevage. L'aristocrate anglais avait alors compris combien le sol américain pouvait engendrer de barbarie et de félonie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

« The English » sur Canal+ Séries

Programme Canal+ Séries de la journée d'aujourd'hui

Mercredi 19 Février 2025

De 06h21 à 07h07 Magistral.e : Fianso

Rediffusion Magazine culturel 46mn Tout public

De son vrai nom Sofiane Zermani, Fianso joue dans la mini-série "Alger confidentiel" en 2022. En tant que rappeur, il est déjà l'auteur de trois albums.

Sur Canal Plus Series dès 06h21 : Magistral.e

De 07h07 à 08h49 Fin des programmes

Fin 1h42 Tout public

Nos programmes se terminent pour cette journée, en attendant ceux de demain.

Sur Canal Plus Series dès 07h07 : Fin des programmes

De 08h49 à 09h47 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 1 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

Sur Canal Plus Series dès 08h49 : Ridley Road

De 09h47 à 10h45 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

Sur Canal Plus Series dès 09h47 : Ridley Road

De 10h45 à 11h41 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 56mn -10

Saison : 1 - Épisode : 3 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

Sur Canal Plus Series dès 10h45 : Ridley Road

De 11h41 à 12h39 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

Sur Canal Plus Series dès 11h41 : Ridley Road

De 12h39 à 13h35 Bloodlands

Rediffusion Série policière 56mn -10

Saison : 2 - Épisode : 1 - Irlande du Nord, sur les rives de Strangford Lough. Le corps de Collin Foyle, comptable au passé trouble, vient d'être retrouvé criblé de balles. Les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern, sa coéquipière, arrivent sur les lieux. Le lendemain, Tom et Niamh interrogent la veuve, Olivia Foyle. Tom garde pour lui le fait qu'il connaissait la victime... - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal Plus Series dès 12h39 : Bloodlands

De 13h35 à 14h32 Bloodlands

Rediffusion Série policière 57mn -10

Saison : 2 - Épisode : 2 - Tom et Niamh sont toujours sur les traces de Robert Dardis. Leur traque mène les deux inspecteurs et une section d'assaut dans une maison abandonnée. Tom en profite pour subtiliser une pièce à conviction. Il est contraint de se dévoiler un peu plus quand Olivia lui fait lire un sms qu'elle vient de recevoir et où il est question d'or. - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal Plus Series dès 13h35 : Bloodlands

De 14h32 à 15h28 Bloodlands

Rediffusion Série policière 56mn -10

Saison : 2 - Épisode : 3 - L'inspecteur Tom Brannick et Olivia Foyle cherchent par tous les moyens à retrouver l'or, avant que la police ne mette la main dessus. Olivia partage certaines informations avec Tom grâce auxquelles Niamh McGovern et lui font une avancée majeure dans l'enquête. Tom entend parler d'Olivia par d'autres sources et doute de plus en plus de sa sincérité. - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal Plus Series dès 14h32 : Bloodlands

De 15h28 à 16h25 Bloodlands

Rediffusion Série policière 57mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Ryan Savage, un gangster américain, débarque à Dunfolan pour récupérer ce qui appartient à sa famille. Izzy file le parfait amour avec Birdy et fait pression sur lui pour qu'ils révèlent leur relation à Tom, mais son petit ami fait alors une découverte capitale. Tom et Olivia sont plus près que jamais de l'or ; Niamh et Birdy s'approchent, eux, de la vérité. - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal Plus Series dès 15h28 : Bloodlands

De 16h25 à 17h22 Bloodlands

Rediffusion Série policière 57mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Tom ne parvient pas à réprimer sa rage et décide de mettre Olivia en état d'arrestation. Mais cette dernière joue sur la corde sensible pour le faire changer d'avis et qu'il dissimule les preuves capables de l'incriminer. De son côté, Izzy fait une révélation à son père qui le bouleverse. Tom, Olivia et Savage poursuivent leur quête de l'or... - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal Plus Series dès 16h25 : Bloodlands

De 17h22 à 18h19 Bloodlands

Rediffusion Série policière 57mn -10

Saison : 2 - Épisode : 6 - Ryan Savage exerce une pression de plus en plus forte sur Olivia. Niamh avance dans son enquête et fait une découverte qui pourrait mettre Tom en mauvaise posture. De son côté, Izzy reçoit la visite surprise de Savage. L'étau se resserre autour de l'inspecteur qui est poussé dans ses derniers retranchements... - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal Plus Series dès 17h22 : Bloodlands

De 18h19 à 18h41 VTC

Rediffusion Série dramatique 22mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 1 - Chauffeuse de VTC, Nora est dans une situation ultra précaire : accro aux amphétamines, elle dort dans sa voiture en attendant d'avoir réuni assez d'argent pour se payer un petit appartement et obtenir la garde alternée de sa fille. Quand son frère Ben, lui-même chauffeur, a un accident, Nora propose de livrer un colis à sa place. Sans le savoir, elle vient de se mettre au service d'un dangereux réseau… et elle va vivre la nuit la plus intense de sa vie.

Sur Canal Plus Series dès 18h19 : VTC

De 18h41 à 19h01 VTC

Rediffusion Série dramatique 20mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Nora, qui a besoin d'argent, accepte d'effectuer une autre livraison. Mais la situation tourne au cauchemar. Echange de tirs, course-poursuite. Nora se retrouve avec le cadavre d'un inconnu sur sa banquette arrière.

Sur Canal Plus Series dès 18h41 : VTC

De 19h01 à 19h17 VTC

Rediffusion Série dramatique 16mn -10

Saison : 1 - Épisode : 3 - Avec l'aide de son frère, Nora va se débarrasser du cadavre qu'elle a sur les bras. Elle questionne Ben sur le réseau, et il l'avertit : elle doit impérativement livrer son colis, sinon...

Sur Canal Plus Series dès 19h01 : VTC

De 19h17 à 19h31 VTC

Rediffusion Série dramatique 14mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Nora livre ce qu'elle pense être son dernier colis et annonce clairement qu'elle arrête. Mais quelques heures plus tard un étrange client monte dans sa voiture et lui fait comprendre que ce n'est pas elle qui décide...

Sur Canal Plus Series dès 19h17 : VTC

De 19h31 à 19h56 VTC

Rediffusion Série dramatique 25mn -10

Saison : 1 - Épisode : 5 - Nora va comprendre que son frère Ben, qu'elle récupère à moitié mort, a tenté d'escroquer le réseau. Pour s'en sortir, elle n'a pas d'autre choix : elle doit affronter sa tête pensante, la Pieuvre...

Sur Canal Plus Series dès 19h31 : VTC

De 19h56 à 21h03 Dans 5 ans

Rediffusion Téléfilm humoristique 1h7 Tout public

A cause d'une faute de frappe, Hakim Jemili a été embarqué par une mystérieuse organisation pour effectuer un voyage dans le temps. Mais si ses collègues sont allés jusqu'en 2510 et 2115, Hakim, bien que programmé pour explorer l'an 2300, est projeté dans 5 ans. Il a fait un si petit voyage dans le temps que "l'organisation" ne peut effacer de sa mémoire le souvenir de ce déplacement temporel, ce qui est pourtant obligatoire pour chaque "voyageur". Afin de déterminer si "l'organisation" peut laisser Hakim rentrer chez lui ou s'il doit être supprimé, une scientifique est chargée de le débriefer sur ce qu'il a vu. - Critique : Propulsé par erreur dans le futur par une mystérieuse agence, Hakim Jemili débarque en 2028 (la faute à une overdose de mloukhliya tunisienne !) pour rendre compte de l’évolution de notre société. Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, Dans 5 ans (titre de la série), notre pays a bien changé. On retrouve donc l’humoriste, dans une suite de situations rocambolesques (bien que parfois un peu courtes) où il doit composer avec cette France dans laquelle les amis sont imposés par des algorithmes ; les relations sexuelles, validées par des applications ; les stars du foot ne sont plus les joueurs mais les supporters et les flics ne commettent plus de violences policières mais se font désormais appeler les P.O.U.L.E.T. (Personnes en or, utiles, loyales et tolérantes). Écrite et imaginée par Hakim Jemili (en collaboration avec Mikail Yildiz, Wary Nichen et Arielle Saracco), cette dystopie originale à la réalisation léchée tient surtout grâce à la personnalité attachante de Jemili himself, pilier du stand-up français et étoile montante du petit (Validé, Clique sur Canal +) et grand écran (le très bon Docteur ? de Tristan Séguéla, 2019). L’humoriste est entouré d’une foule de stars de la blague (Fadily Camara, Roman Frayssinet, Laura Felpin, Thomas VDB, Bertrand Usclat, Alex Ramirès ou Melha Bedia parmi tant d’autres), et son flegme joyeux, son humour potache et bon enfant font mouche face à l’absurdité de ce futur imaginaire. Bien vu.

Sur Canal Plus Series dès 19h56 : Dans 5 ans

De 21h03 à 21h52 The English : Les vautours à la frontière

Rediffusion Série western 49mn -12

Saison : 1 - Épisode : 3 - A Hoxem, dans le Wyoming, Billy et Martha Myers, des fermiers, ont maille à partir avec Lord Trafford et ses hommes, qui se sont emparés de leur bétail. Dans le Kansas, Cornelia, elle, poursuit sa route pour retrouver la famille des deux orphelines. Elle croise la route de Mog aux Yeux Pochés et de ses deux fils, tandis qu'Eli tombe dans un piège qui pourrait lui coûter la vie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

Sur Canal Plus Series dès 21h03 : The English

De 21h52 à 22h44 The English : Le loup blessé

Rediffusion Série western 52mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Eli est aux mains de celui qui se fait appeler Meurtres sur l'Eau, depuis le massacre de Chalk River en 1875. C'est à cette époque que Lord Trafford, fraichement débarqué d'Angleterre en compagnie de son employé David Melmont, venait faire fortune dans l'élevage. L'aristocrate anglais avait alors compris combien le sol américain pouvait engendrer de barbarie et de félonie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

Sur Canal Plus Series dès 21h52 : The English

De 22h44 à 01h15 Saturday Night Live : Les 50 ans du SNL

Divertissement 2h31 Tout public

"SNL 50 : The Anniversary Special" est un épisode spécial du show proposé dès le lendemain de sa diffusion US, avec des sketchs, des invités et tout le casting actuel de l'émission réuni pour près de 2H30 de célébration et d'humour made in SNL ! Le show de la télévision américaine est considéré comme le père de tous les shows TV.

Sur Canal Plus Series dès 22h44 : Saturday Night Live

De 06h21 à 07h07 Magistral.e : Fianso

Rediffusion Magazine culturel 46mn Tout public

De son vrai nom Sofiane Zermani, Fianso joue dans la mini-série "Alger confidentiel" en 2022. En tant que rappeur, il est déjà l'auteur de trois albums.

Sur Canal+ Séries dès 06h21 : Magistral.e

De 07h07 à 08h49 Fin des programmes

Fin 1h42 Tout public

Nos programmes se terminent pour cette journée, en attendant ceux de demain.

Sur Canal+ Séries dès 07h07 : Fin des programmes

De 08h49 à 09h47 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 1 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

Sur Canal+ Séries dès 08h49 : Ridley Road

De 09h47 à 10h45 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

Sur Canal+ Séries dès 09h47 : Ridley Road

De 10h45 à 11h41 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 56mn -10

Saison : 1 - Épisode : 3 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

Sur Canal+ Séries dès 10h45 : Ridley Road

De 11h41 à 12h39 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

Sur Canal+ Séries dès 11h41 : Ridley Road

De 12h39 à 13h35 Bloodlands

Rediffusion Série policière 56mn -10

Saison : 2 - Épisode : 1 - Irlande du Nord, sur les rives de Strangford Lough. Le corps de Collin Foyle, comptable au passé trouble, vient d'être retrouvé criblé de balles. Les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern, sa coéquipière, arrivent sur les lieux. Le lendemain, Tom et Niamh interrogent la veuve, Olivia Foyle. Tom garde pour lui le fait qu'il connaissait la victime... - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal+ Séries dès 12h39 : Bloodlands

De 13h35 à 14h32 Bloodlands

Rediffusion Série policière 57mn -10

Saison : 2 - Épisode : 2 - Tom et Niamh sont toujours sur les traces de Robert Dardis. Leur traque mène les deux inspecteurs et une section d'assaut dans une maison abandonnée. Tom en profite pour subtiliser une pièce à conviction. Il est contraint de se dévoiler un peu plus quand Olivia lui fait lire un sms qu'elle vient de recevoir et où il est question d'or. - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal+ Séries dès 13h35 : Bloodlands

De 14h32 à 15h28 Bloodlands

Rediffusion Série policière 56mn -10

Saison : 2 - Épisode : 3 - L'inspecteur Tom Brannick et Olivia Foyle cherchent par tous les moyens à retrouver l'or, avant que la police ne mette la main dessus. Olivia partage certaines informations avec Tom grâce auxquelles Niamh McGovern et lui font une avancée majeure dans l'enquête. Tom entend parler d'Olivia par d'autres sources et doute de plus en plus de sa sincérité. - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal+ Séries dès 14h32 : Bloodlands

De 15h28 à 16h25 Bloodlands

Rediffusion Série policière 57mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Ryan Savage, un gangster américain, débarque à Dunfolan pour récupérer ce qui appartient à sa famille. Izzy file le parfait amour avec Birdy et fait pression sur lui pour qu'ils révèlent leur relation à Tom, mais son petit ami fait alors une découverte capitale. Tom et Olivia sont plus près que jamais de l'or ; Niamh et Birdy s'approchent, eux, de la vérité. - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal+ Séries dès 15h28 : Bloodlands

De 16h25 à 17h22 Bloodlands

Rediffusion Série policière 57mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Tom ne parvient pas à réprimer sa rage et décide de mettre Olivia en état d'arrestation. Mais cette dernière joue sur la corde sensible pour le faire changer d'avis et qu'il dissimule les preuves capables de l'incriminer. De son côté, Izzy fait une révélation à son père qui le bouleverse. Tom, Olivia et Savage poursuivent leur quête de l'or... - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal+ Séries dès 16h25 : Bloodlands

De 17h22 à 18h19 Bloodlands

Rediffusion Série policière 57mn -10

Saison : 2 - Épisode : 6 - Ryan Savage exerce une pression de plus en plus forte sur Olivia. Niamh avance dans son enquête et fait une découverte qui pourrait mettre Tom en mauvaise posture. De son côté, Izzy reçoit la visite surprise de Savage. L'étau se resserre autour de l'inspecteur qui est poussé dans ses derniers retranchements... - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal+ Séries dès 17h22 : Bloodlands

De 18h19 à 18h41 VTC

Rediffusion Série dramatique 22mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 1 - Chauffeuse de VTC, Nora est dans une situation ultra précaire : accro aux amphétamines, elle dort dans sa voiture en attendant d'avoir réuni assez d'argent pour se payer un petit appartement et obtenir la garde alternée de sa fille. Quand son frère Ben, lui-même chauffeur, a un accident, Nora propose de livrer un colis à sa place. Sans le savoir, elle vient de se mettre au service d'un dangereux réseau… et elle va vivre la nuit la plus intense de sa vie.

Sur Canal+ Séries dès 18h19 : VTC

De 18h41 à 19h01 VTC

Rediffusion Série dramatique 20mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Nora, qui a besoin d'argent, accepte d'effectuer une autre livraison. Mais la situation tourne au cauchemar. Echange de tirs, course-poursuite. Nora se retrouve avec le cadavre d'un inconnu sur sa banquette arrière.

Sur Canal+ Séries dès 18h41 : VTC

De 19h01 à 19h17 VTC

Rediffusion Série dramatique 16mn -10

Saison : 1 - Épisode : 3 - Avec l'aide de son frère, Nora va se débarrasser du cadavre qu'elle a sur les bras. Elle questionne Ben sur le réseau, et il l'avertit : elle doit impérativement livrer son colis, sinon...

Sur Canal+ Séries dès 19h01 : VTC

De 19h17 à 19h31 VTC

Rediffusion Série dramatique 14mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Nora livre ce qu'elle pense être son dernier colis et annonce clairement qu'elle arrête. Mais quelques heures plus tard un étrange client monte dans sa voiture et lui fait comprendre que ce n'est pas elle qui décide...

Sur Canal+ Séries dès 19h17 : VTC

De 19h31 à 19h56 VTC

Rediffusion Série dramatique 25mn -10

Saison : 1 - Épisode : 5 - Nora va comprendre que son frère Ben, qu'elle récupère à moitié mort, a tenté d'escroquer le réseau. Pour s'en sortir, elle n'a pas d'autre choix : elle doit affronter sa tête pensante, la Pieuvre...

Sur Canal+ Séries dès 19h31 : VTC

De 19h56 à 21h03 Dans 5 ans

Rediffusion Téléfilm humoristique 1h7 Tout public

A cause d'une faute de frappe, Hakim Jemili a été embarqué par une mystérieuse organisation pour effectuer un voyage dans le temps. Mais si ses collègues sont allés jusqu'en 2510 et 2115, Hakim, bien que programmé pour explorer l'an 2300, est projeté dans 5 ans. Il a fait un si petit voyage dans le temps que "l'organisation" ne peut effacer de sa mémoire le souvenir de ce déplacement temporel, ce qui est pourtant obligatoire pour chaque "voyageur". Afin de déterminer si "l'organisation" peut laisser Hakim rentrer chez lui ou s'il doit être supprimé, une scientifique est chargée de le débriefer sur ce qu'il a vu. - Critique : Propulsé par erreur dans le futur par une mystérieuse agence, Hakim Jemili débarque en 2028 (la faute à une overdose de mloukhliya tunisienne !) pour rendre compte de l’évolution de notre société. Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, Dans 5 ans (titre de la série), notre pays a bien changé. On retrouve donc l’humoriste, dans une suite de situations rocambolesques (bien que parfois un peu courtes) où il doit composer avec cette France dans laquelle les amis sont imposés par des algorithmes ; les relations sexuelles, validées par des applications ; les stars du foot ne sont plus les joueurs mais les supporters et les flics ne commettent plus de violences policières mais se font désormais appeler les P.O.U.L.E.T. (Personnes en or, utiles, loyales et tolérantes). Écrite et imaginée par Hakim Jemili (en collaboration avec Mikail Yildiz, Wary Nichen et Arielle Saracco), cette dystopie originale à la réalisation léchée tient surtout grâce à la personnalité attachante de Jemili himself, pilier du stand-up français et étoile montante du petit (Validé, Clique sur Canal +) et grand écran (le très bon Docteur ? de Tristan Séguéla, 2019). L’humoriste est entouré d’une foule de stars de la blague (Fadily Camara, Roman Frayssinet, Laura Felpin, Thomas VDB, Bertrand Usclat, Alex Ramirès ou Melha Bedia parmi tant d’autres), et son flegme joyeux, son humour potache et bon enfant font mouche face à l’absurdité de ce futur imaginaire. Bien vu.

Sur Canal+ Séries dès 19h56 : Dans 5 ans

De 21h03 à 21h52 The English : Les vautours à la frontière

Rediffusion Série western 49mn -12

Saison : 1 - Épisode : 3 - A Hoxem, dans le Wyoming, Billy et Martha Myers, des fermiers, ont maille à partir avec Lord Trafford et ses hommes, qui se sont emparés de leur bétail. Dans le Kansas, Cornelia, elle, poursuit sa route pour retrouver la famille des deux orphelines. Elle croise la route de Mog aux Yeux Pochés et de ses deux fils, tandis qu'Eli tombe dans un piège qui pourrait lui coûter la vie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

Sur Canal+ Séries dès 21h03 : The English

De 21h52 à 22h44 The English : Le loup blessé

Rediffusion Série western 52mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Eli est aux mains de celui qui se fait appeler Meurtres sur l'Eau, depuis le massacre de Chalk River en 1875. C'est à cette époque que Lord Trafford, fraichement débarqué d'Angleterre en compagnie de son employé David Melmont, venait faire fortune dans l'élevage. L'aristocrate anglais avait alors compris combien le sol américain pouvait engendrer de barbarie et de félonie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

Sur Canal+ Séries dès 21h52 : The English

De 22h44 à 01h15 Saturday Night Live : Les 50 ans du SNL

Divertissement 2h31 Tout public

"SNL 50 : The Anniversary Special" est un épisode spécial du show proposé dès le lendemain de sa diffusion US, avec des sketchs, des invités et tout le casting actuel de l'émission réuni pour près de 2H30 de célébration et d'humour made in SNL ! Le show de la télévision américaine est considéré comme le père de tous les shows TV.

Sur Canal+ Séries dès 22h44 : Saturday Night Live

De 06h21 à 07h07 Magistral.e : Fianso

Rediffusion Magazine culturel 46mn Tout public

De son vrai nom Sofiane Zermani, Fianso joue dans la mini-série "Alger confidentiel" en 2022. En tant que rappeur, il est déjà l'auteur de trois albums.

Sur Canal+ Séries dès 06h21 : Magistral.e

De 07h07 à 08h49 Fin des programmes

Fin 1h42 Tout public

Nos programmes se terminent pour cette journée, en attendant ceux de demain.

Sur Canal+ Séries dès 07h07 : Fin des programmes

De 08h49 à 09h47 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 1 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

Sur Canal+ Séries dès 08h49 : Ridley Road

De 09h47 à 10h45 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

Sur Canal+ Séries dès 09h47 : Ridley Road

De 10h45 à 11h41 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 56mn -10

Saison : 1 - Épisode : 3 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

Sur Canal+ Séries dès 10h45 : Ridley Road

De 11h41 à 12h39 Ridley Road

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.

Sur Canal+ Séries dès 11h41 : Ridley Road

De 12h39 à 13h35 Bloodlands

Rediffusion Série policière 56mn -10

Saison : 2 - Épisode : 1 - Irlande du Nord, sur les rives de Strangford Lough. Le corps de Collin Foyle, comptable au passé trouble, vient d'être retrouvé criblé de balles. Les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern, sa coéquipière, arrivent sur les lieux. Le lendemain, Tom et Niamh interrogent la veuve, Olivia Foyle. Tom garde pour lui le fait qu'il connaissait la victime... - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal+ Séries dès 12h39 : Bloodlands

De 13h35 à 14h32 Bloodlands

Rediffusion Série policière 57mn -10

Saison : 2 - Épisode : 2 - Tom et Niamh sont toujours sur les traces de Robert Dardis. Leur traque mène les deux inspecteurs et une section d'assaut dans une maison abandonnée. Tom en profite pour subtiliser une pièce à conviction. Il est contraint de se dévoiler un peu plus quand Olivia lui fait lire un sms qu'elle vient de recevoir et où il est question d'or. - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal+ Séries dès 13h35 : Bloodlands

De 14h32 à 15h28 Bloodlands

Rediffusion Série policière 56mn -10

Saison : 2 - Épisode : 3 - L'inspecteur Tom Brannick et Olivia Foyle cherchent par tous les moyens à retrouver l'or, avant que la police ne mette la main dessus. Olivia partage certaines informations avec Tom grâce auxquelles Niamh McGovern et lui font une avancée majeure dans l'enquête. Tom entend parler d'Olivia par d'autres sources et doute de plus en plus de sa sincérité. - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal+ Séries dès 14h32 : Bloodlands

De 15h28 à 16h25 Bloodlands

Rediffusion Série policière 57mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Ryan Savage, un gangster américain, débarque à Dunfolan pour récupérer ce qui appartient à sa famille. Izzy file le parfait amour avec Birdy et fait pression sur lui pour qu'ils révèlent leur relation à Tom, mais son petit ami fait alors une découverte capitale. Tom et Olivia sont plus près que jamais de l'or ; Niamh et Birdy s'approchent, eux, de la vérité. - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal+ Séries dès 15h28 : Bloodlands

De 16h25 à 17h22 Bloodlands

Rediffusion Série policière 57mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Tom ne parvient pas à réprimer sa rage et décide de mettre Olivia en état d'arrestation. Mais cette dernière joue sur la corde sensible pour le faire changer d'avis et qu'il dissimule les preuves capables de l'incriminer. De son côté, Izzy fait une révélation à son père qui le bouleverse. Tom, Olivia et Savage poursuivent leur quête de l'or... - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal+ Séries dès 16h25 : Bloodlands

De 17h22 à 18h19 Bloodlands

Rediffusion Série policière 57mn -10

Saison : 2 - Épisode : 6 - Ryan Savage exerce une pression de plus en plus forte sur Olivia. Niamh avance dans son enquête et fait une découverte qui pourrait mettre Tom en mauvaise posture. De son côté, Izzy reçoit la visite surprise de Savage. L'étau se resserre autour de l'inspecteur qui est poussé dans ses derniers retranchements... - Critique : Irlande du Nord. Un corps criblé de balles est retrouvé sur une rive du Strangford Lough. Il s’agit de celui de Collin Foyle, un comptable au passé trouble. Dépêchés sur les lieux du crime, les inspecteurs Tom Brannick et Niamh McGovern se retrouvent en charge de l’enquête. Ils commencent par interroger sa nouvelle épouse. Débute alors un jeu du chat et de la souris entre une veuve manipulatrice et un flic rugueux qui a bien des choses à dissimuler.Bloodlands saison 1 avait réussi le difficile exercice du thriller politico-historique. Les événements d’Irlande du Nord et le trauma national ne servaient pas de prétexte mais, tout au contraire, donnaient corps à un récit aussi épais que captivant. Le mystère percé, revenir pour une saison 2 était encore plus ambitieux. Mais Chris Brandon ne parvient pas à relever le pari. Privée de l’effet de surprise initial, la série tombe à plat. Alors pour tenter de la réanimer, les acteurs en font des tonnes. Avec une certaine prédilection pour les regards très appuyés. James Nesbitt, dans la peau du flic au cuir tanné par des années de métier et hanté par ses fantômes, sombre dans la caricature… Sans âme, ni souffle, les épisodes déroulent une intrigue mécanique qui laisse vite indifférent. Reste la beauté des paysages. Insuffisant.

Sur Canal+ Séries dès 17h22 : Bloodlands

De 18h19 à 18h41 VTC

Rediffusion Série dramatique 22mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 1 - Chauffeuse de VTC, Nora est dans une situation ultra précaire : accro aux amphétamines, elle dort dans sa voiture en attendant d'avoir réuni assez d'argent pour se payer un petit appartement et obtenir la garde alternée de sa fille. Quand son frère Ben, lui-même chauffeur, a un accident, Nora propose de livrer un colis à sa place. Sans le savoir, elle vient de se mettre au service d'un dangereux réseau… et elle va vivre la nuit la plus intense de sa vie.

Sur Canal+ Séries dès 18h19 : VTC

De 18h41 à 19h01 VTC

Rediffusion Série dramatique 20mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Nora, qui a besoin d'argent, accepte d'effectuer une autre livraison. Mais la situation tourne au cauchemar. Echange de tirs, course-poursuite. Nora se retrouve avec le cadavre d'un inconnu sur sa banquette arrière.

Sur Canal+ Séries dès 18h41 : VTC

De 19h01 à 19h17 VTC

Rediffusion Série dramatique 16mn -10

Saison : 1 - Épisode : 3 - Avec l'aide de son frère, Nora va se débarrasser du cadavre qu'elle a sur les bras. Elle questionne Ben sur le réseau, et il l'avertit : elle doit impérativement livrer son colis, sinon...

Sur Canal+ Séries dès 19h01 : VTC

De 19h17 à 19h31 VTC

Rediffusion Série dramatique 14mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Nora livre ce qu'elle pense être son dernier colis et annonce clairement qu'elle arrête. Mais quelques heures plus tard un étrange client monte dans sa voiture et lui fait comprendre que ce n'est pas elle qui décide...

Sur Canal+ Séries dès 19h17 : VTC

De 19h31 à 19h56 VTC

Rediffusion Série dramatique 25mn -10

Saison : 1 - Épisode : 5 - Nora va comprendre que son frère Ben, qu'elle récupère à moitié mort, a tenté d'escroquer le réseau. Pour s'en sortir, elle n'a pas d'autre choix : elle doit affronter sa tête pensante, la Pieuvre...

Sur Canal+ Séries dès 19h31 : VTC

De 19h56 à 21h03 Dans 5 ans

Rediffusion Téléfilm humoristique 1h7 Tout public

A cause d'une faute de frappe, Hakim Jemili a été embarqué par une mystérieuse organisation pour effectuer un voyage dans le temps. Mais si ses collègues sont allés jusqu'en 2510 et 2115, Hakim, bien que programmé pour explorer l'an 2300, est projeté dans 5 ans. Il a fait un si petit voyage dans le temps que "l'organisation" ne peut effacer de sa mémoire le souvenir de ce déplacement temporel, ce qui est pourtant obligatoire pour chaque "voyageur". Afin de déterminer si "l'organisation" peut laisser Hakim rentrer chez lui ou s'il doit être supprimé, une scientifique est chargée de le débriefer sur ce qu'il a vu. - Critique : Propulsé par erreur dans le futur par une mystérieuse agence, Hakim Jemili débarque en 2028 (la faute à une overdose de mloukhliya tunisienne !) pour rendre compte de l’évolution de notre société. Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, Dans 5 ans (titre de la série), notre pays a bien changé. On retrouve donc l’humoriste, dans une suite de situations rocambolesques (bien que parfois un peu courtes) où il doit composer avec cette France dans laquelle les amis sont imposés par des algorithmes ; les relations sexuelles, validées par des applications ; les stars du foot ne sont plus les joueurs mais les supporters et les flics ne commettent plus de violences policières mais se font désormais appeler les P.O.U.L.E.T. (Personnes en or, utiles, loyales et tolérantes). Écrite et imaginée par Hakim Jemili (en collaboration avec Mikail Yildiz, Wary Nichen et Arielle Saracco), cette dystopie originale à la réalisation léchée tient surtout grâce à la personnalité attachante de Jemili himself, pilier du stand-up français et étoile montante du petit (Validé, Clique sur Canal +) et grand écran (le très bon Docteur ? de Tristan Séguéla, 2019). L’humoriste est entouré d’une foule de stars de la blague (Fadily Camara, Roman Frayssinet, Laura Felpin, Thomas VDB, Bertrand Usclat, Alex Ramirès ou Melha Bedia parmi tant d’autres), et son flegme joyeux, son humour potache et bon enfant font mouche face à l’absurdité de ce futur imaginaire. Bien vu.

Sur Canal+ Séries dès 19h56 : Dans 5 ans

De 21h03 à 21h52 The English : Les vautours à la frontière

Rediffusion Série western 49mn -12

Saison : 1 - Épisode : 3 - A Hoxem, dans le Wyoming, Billy et Martha Myers, des fermiers, ont maille à partir avec Lord Trafford et ses hommes, qui se sont emparés de leur bétail. Dans le Kansas, Cornelia, elle, poursuit sa route pour retrouver la famille des deux orphelines. Elle croise la route de Mog aux Yeux Pochés et de ses deux fils, tandis qu'Eli tombe dans un piège qui pourrait lui coûter la vie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

Sur Canal+ Séries dès 21h03 : The English

De 21h52 à 22h44 The English : Le loup blessé

Rediffusion Série western 52mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Eli est aux mains de celui qui se fait appeler Meurtres sur l'Eau, depuis le massacre de Chalk River en 1875. C'est à cette époque que Lord Trafford, fraichement débarqué d'Angleterre en compagnie de son employé David Melmont, venait faire fortune dans l'élevage. L'aristocrate anglais avait alors compris combien le sol américain pouvait engendrer de barbarie et de félonie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

Sur Canal+ Séries dès 21h52 : The English

De 22h44 à 01h15 Saturday Night Live : Les 50 ans du SNL

Divertissement 2h31 Tout public

"SNL 50 : The Anniversary Special" est un épisode spécial du show proposé dès le lendemain de sa diffusion US, avec des sketchs, des invités et tout le casting actuel de l'émission réuni pour près de 2H30 de célébration et d'humour made in SNL ! Le show de la télévision américaine est considéré comme le père de tous les shows TV.

Sur Canal+ Séries dès 22h44 : Saturday Night Live