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En ce moment sur Canal+ Séries :
09h47 Ridley Road
Rediffusion Série dramatique 58mn -10Saison : 1 - Épisode : 2 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.
À suivre, dès 10h45 : Ridley Road (Rediffusion)
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09h47 Ridley Road
Rediffusion Série dramatique 58mn -10Saison : 1 - Épisode : 2 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.
À suivre, dès 10h45 : Ridley Road (Rediffusion)
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09h47 Ridley Road
Rediffusion Série dramatique 58mn -10Saison : 1 - Épisode : 2 - Années 1960, quartier de Ridley Road à Londres. Le mouvement néonazi de Colin Jordan prend de l'ampleur et le groupe 62 milite pour les en empêcher. Vivien Epstein est une jeune femme élevée dans une famille juive traditionnelle de la banlieue de Manchester qui s'est enfuie à Londres pour retrouver son petit ami et échapper à un mariage arrangé. Vivien intègre le groupe 62 et infiltre le mouvement de Colin Jordan où elle retrouve son petit ami Jack Morris, également agent 62 sous couverture. Adapté par Sarah Solemani du roman de Jo Bloom, Ridley Road traite de la montée du fascisme au Royaume-Uni après la Seconde Guerre mondiale. - Critique : Manchester, 1960. L’Angleterre a triomphé de Hitler depuis quinze ans, mais pas de son idéologie. Des fascistes se fédèrent dans une milice qui travaille à faire tomber la démocratie. Leur ennemi obsessionnel : « le Juif ». C’est dans ce contexte que la jeune Vivien Epstein, fille d’un tailleur, décide de fuir le mariage arrangé par sa famille traditionaliste. Et de retrouver Jack, celui qui fait battre son cœur, à Londres. Mais rien ne se passe comme elle l’avait prévu. À l’occasion d’une manifestation, elle découvre son visage d’activiste néonazi... En se focalisant sur une dimension politique méconnue de l’après-guerre au Royaume-Uni, la minisérie avait tout pour intriguer. Richement produite et mise en scène tout en tension, elle commence par faire son petit effet. Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.
À suivre, dès 10h45 : Ridley Road (Rediffusion)
Ce soir sur Canal+ Séries :
21h03 The English : Les vautours à la frontière
Rediffusion Série western 49mn -12Saison : 1 - Épisode : 3 - A Hoxem, dans le Wyoming, Billy et Martha Myers, des fermiers, ont maille à partir avec Lord Trafford et ses hommes, qui se sont emparés de leur bétail. Dans le Kansas, Cornelia, elle, poursuit sa route pour retrouver la famille des deux orphelines. Elle croise la route de Mog aux Yeux Pochés et de ses deux fils, tandis qu'Eli tombe dans un piège qui pourrait lui coûter la vie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

21h52 The English : Le loup blessé
Rediffusion Série western 52mn -10Saison : 1 - Épisode : 4 - Eli est aux mains de celui qui se fait appeler Meurtres sur l'Eau, depuis le massacre de Chalk River en 1875. C'est à cette époque que Lord Trafford, fraichement débarqué d'Angleterre en compagnie de son employé David Melmont, venait faire fortune dans l'élevage. L'aristocrate anglais avait alors compris combien le sol américain pouvait engendrer de barbarie et de félonie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

Ce soir sur Canal+ Séries :
21h03 The English : Les vautours à la frontière
Rediffusion Série western 49mn -12Saison : 1 - Épisode : 3 - A Hoxem, dans le Wyoming, Billy et Martha Myers, des fermiers, ont maille à partir avec Lord Trafford et ses hommes, qui se sont emparés de leur bétail. Dans le Kansas, Cornelia, elle, poursuit sa route pour retrouver la famille des deux orphelines. Elle croise la route de Mog aux Yeux Pochés et de ses deux fils, tandis qu'Eli tombe dans un piège qui pourrait lui coûter la vie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

21h52 The English : Le loup blessé
Rediffusion Série western 52mn -10Saison : 1 - Épisode : 4 - Eli est aux mains de celui qui se fait appeler Meurtres sur l'Eau, depuis le massacre de Chalk River en 1875. C'est à cette époque que Lord Trafford, fraichement débarqué d'Angleterre en compagnie de son employé David Melmont, venait faire fortune dans l'élevage. L'aristocrate anglais avait alors compris combien le sol américain pouvait engendrer de barbarie et de félonie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

Ce soir sur Canal+ Séries :
21h03 The English : Les vautours à la frontière
Rediffusion Série western 49mn -12Saison : 1 - Épisode : 3 - A Hoxem, dans le Wyoming, Billy et Martha Myers, des fermiers, ont maille à partir avec Lord Trafford et ses hommes, qui se sont emparés de leur bétail. Dans le Kansas, Cornelia, elle, poursuit sa route pour retrouver la famille des deux orphelines. Elle croise la route de Mog aux Yeux Pochés et de ses deux fils, tandis qu'Eli tombe dans un piège qui pourrait lui coûter la vie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?

21h52 The English : Le loup blessé
Rediffusion Série western 52mn -10Saison : 1 - Épisode : 4 - Eli est aux mains de celui qui se fait appeler Meurtres sur l'Eau, depuis le massacre de Chalk River en 1875. C'est à cette époque que Lord Trafford, fraichement débarqué d'Angleterre en compagnie de son employé David Melmont, venait faire fortune dans l'élevage. L'aristocrate anglais avait alors compris combien le sol américain pouvait engendrer de barbarie et de félonie. - Critique : 1890 : Un soulier de satin se pose sur le sol poussiéreux du Nouveau Monde. Après Westworld et 1883, The English nous invite à revisiter le Far West en compagnie d’une femme, Cornelia Locke, lady débarquée d’Angleterre pour accomplir une vengeance. Aux confins d’une proto-nation où l’on tue et viole comme on respire, cette Alice au pays des horreurs croise la route d’Eli Whipp, un Pawnee ayant servi dans l’armée américaine. En mariant les points de vue de ces deux oubliés de l’Histoire, sublimés par Emily Blunt et Chaske Spencer, le Britannique Hugo Blick (The Honourable Woman) a moins en tête de rétablir une vérité que de déconstruire un genre fictionnel dominé par l’homme blanc et la manière dont il a infléchi nos inconscients. Assumant d’être un exercice de style, cette histoire d’amour et de mort évite ainsi les écueils du pensum, se déployant plutôt comme un bout d’imaginaire, à la fois collectif et individuel. Le western classique — humains tout petits sous le ciel immense — se pare ici de touches baroques : couleurs psychédéliques, musique électro, costumes de hipsters de l’Ouest, grand méchant cartoonesque… Ce que l’on voit ressemble moins à l’Amérique originelle qu’à l’idée que s’en ferait un ciné (séri) phile enfiévré par trop d’images. On peut trouver ce very bad trip mental excessivement méandreux. Mais n’est-ce pas le propre des cauchemars ?
