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Canal+ Séries : Programme TV de la chaîne Canal+ Séries

En ce moment sur Canal+ Séries :

21h45 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10
Trigger Point

Saison : 2 - Épisode : 5 - Lana livre des informations sur les membres de la Vague à la section anti-terroriste. Le commandant Francis est hors de lui quand il apprend qu'elle n'a pas placé Alex en garde à vue lorsqu'il lui a rendu visite chez elle la veille. Le capitaine Batra, de son côté, a obtenu la photo de la femme qui aurait poussé Thom dans la cage d'ascenseur... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

27min

À suivre, dès 22h31 : Trigger Point (Rediffusion)

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21h45 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10
Trigger Point

Saison : 2 - Épisode : 5 - Lana livre des informations sur les membres de la Vague à la section anti-terroriste. Le commandant Francis est hors de lui quand il apprend qu'elle n'a pas placé Alex en garde à vue lorsqu'il lui a rendu visite chez elle la veille. Le capitaine Batra, de son côté, a obtenu la photo de la femme qui aurait poussé Thom dans la cage d'ascenseur... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

27min

À suivre, dès 22h31 : Trigger Point (Rediffusion)

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21h45 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10
Trigger Point

Saison : 2 - Épisode : 5 - Lana livre des informations sur les membres de la Vague à la section anti-terroriste. Le commandant Francis est hors de lui quand il apprend qu'elle n'a pas placé Alex en garde à vue lorsqu'il lui a rendu visite chez elle la veille. Le capitaine Batra, de son côté, a obtenu la photo de la femme qui aurait poussé Thom dans la cage d'ascenseur... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

27min

À suivre, dès 22h31 : Trigger Point (Rediffusion)

Ce soir sur Canal+ Séries :

21h03 Trigger Point

Rediffusion Série policière 42mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Alex prévient la police qu'un nouvel attentat va avoir lieu. Il pense que les bombes seront transportées par des drones. La police se rend dans le quartier des affaires de Londres, mais Lana comprend que les terroristes ont imaginé un tout autre scénario. Bientôt, il apparaît de manière de plus en plus évidente que c'est le royaume d'Angleterre que les terroristes menacent de détruire... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

« Trigger Point » sur Canal+ Séries

21h45 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Lana livre des informations sur les membres de la Vague à la section anti-terroriste. Le commandant Francis est hors de lui quand il apprend qu'elle n'a pas placé Alex en garde à vue lorsqu'il lui a rendu visite chez elle la veille. Le capitaine Batra, de son côté, a obtenu la photo de la femme qui aurait poussé Thom dans la cage d'ascenseur... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

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Ce soir sur Canal+ Séries :

21h03 Trigger Point

Rediffusion Série policière 42mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Alex prévient la police qu'un nouvel attentat va avoir lieu. Il pense que les bombes seront transportées par des drones. La police se rend dans le quartier des affaires de Londres, mais Lana comprend que les terroristes ont imaginé un tout autre scénario. Bientôt, il apparaît de manière de plus en plus évidente que c'est le royaume d'Angleterre que les terroristes menacent de détruire... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

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Rediffusion Série policière 46mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Lana livre des informations sur les membres de la Vague à la section anti-terroriste. Le commandant Francis est hors de lui quand il apprend qu'elle n'a pas placé Alex en garde à vue lorsqu'il lui a rendu visite chez elle la veille. Le capitaine Batra, de son côté, a obtenu la photo de la femme qui aurait poussé Thom dans la cage d'ascenseur... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

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21h03 Trigger Point

Rediffusion Série policière 42mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Alex prévient la police qu'un nouvel attentat va avoir lieu. Il pense que les bombes seront transportées par des drones. La police se rend dans le quartier des affaires de Londres, mais Lana comprend que les terroristes ont imaginé un tout autre scénario. Bientôt, il apparaît de manière de plus en plus évidente que c'est le royaume d'Angleterre que les terroristes menacent de détruire... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

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Rediffusion Série policière 46mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Lana livre des informations sur les membres de la Vague à la section anti-terroriste. Le commandant Francis est hors de lui quand il apprend qu'elle n'a pas placé Alex en garde à vue lorsqu'il lui a rendu visite chez elle la veille. Le capitaine Batra, de son côté, a obtenu la photo de la femme qui aurait poussé Thom dans la cage d'ascenseur... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

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Programme Canal+ Séries de la journée d'aujourd'hui

Vendredi 20 Juin 2025

De 06h15 à 07h08 Profession : musicien.ne

Rediffusion Magazine de société 53mn Tout public

Antoine de Caunes accueille des musiciens et musiciennes pour les écouter alors qu'ils parlent de leur parcours, de leurs inspirations et de leur métier.

Sur Canal Plus Series dès 06h15 : Profession : musicien.ne

De 07h08 à 08h00 Profession : cavalier.e

Rediffusion Magazine de société 52mn Tout public

Entouré de certains des plus éminents représentants d'une profession, Antoine de Caunes les écoute raconter leur passion, comment ils ont découvert leur vocation et envisagent leur métier. Après les acteurs, les photographes et les pâtissiers, des cavaliers et cavalières sont les invités de l'émission.

Sur Canal Plus Series dès 07h08 : Profession : cavalier.e

De 08h00 à 08h59 Fin des programmes

Fin 59mn Tout public

Nos programmes se terminent pour cette journée, en attendant ceux de demain.

Sur Canal Plus Series dès 08h00 : Fin des programmes

De 08h59 à 10h30 Les aventures de Guirec & Monique : 130 jours dans les glaces

Rediffusion Documentaire aventures 1h31 Tout public

Guirec, la vingtaine, a grandi en Bretagne. Avide d'aventures, il décide de faire le tour du monde en voilier, bien qu'il n'y connaisse rien à la navigation. Mais le jeune homme ne part pas seul, il a embarqué avec lui son coup de foudre, Monique, une poule pondeuse. Depuis le départ, il filme son expédition. Son périple a bien sûr été semé de mille dangers, notamment lors des mois d'hivernage au Groenland, coincé sur la banquise.

Sur Canal Plus Series dès 08h59 : Les aventures de Guirec & Monique

De 10h30 à 11h26 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 56mn -12

Saison : 1 - Épisode : 1 - 1941, la Seconde Guerre mondiale fait rage. Les armées du Commonwealth, engagées en Afrique du Nord, affrontent des forces de l'Axe dominatrices. Coincé au Caire au lieu de combattre à Tobrouk, le lieutenant David Stirling s'impatiente et dénonce la piètre gestion de la guerre de ses supérieurs. Insubordination, insolence, beuveries : il faut dire que le jeune officier britannique n'a rien du simple soldat, c'est un commando, entraîné pour tuer l'ennemi. A Tobrouk, le lieutenant John "Jock" Lewes perd lui aussi patience en attendant les renforts. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal Plus Series dès 10h30 : Rogue Heroes

De 11h26 à 12h24 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Blessé, Stirling doit être opéré d'urgence. Sur son lit d'hôpital, il peaufine le plan de Lewes et veut recruter une poignée de soldats pour les seconder, au premier rang desquels le lieutenant Robert Blair ''Paddy'' Mayne du 11e Commando, une vraie tête brûlée. Il va aussi falloir convaincre le commandement général de la pertinence de monter cette escouade. De son côté, le colonel Dudley Clarke, agent secret de sa majesté au Moyen-Orient, reçoit une proposition de la Résistance française. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal Plus Series dès 11h26 : Rogue Heroes

De 12h24 à 13h22 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 58mn -12

Saison : 1 - Épisode : 3 - Les membres nouvellement recrutés des SAS effectuent une première mission désastreuse et dévastatrice. Déterminés à prouver que leur stratégie fonctionnera, ils se préparent à réessayer. Le lieutenant David Stirling et son commando ne veulent pas baisser les bras et souhaitent repartir au combat mais cette fois-ci avec une meilleure stratégie afin d'infliger aux forces de l'Axe des dégâts ciblés, et le tout sans prendre de risques pour la vie de l'escouade. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal Plus Series dès 12h24 : Rogue Heroes

De 13h22 à 14h20 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 58mn -12

Saison : 1 - Épisode : 4 - Installés sur leur camp de base en plein désert, les hommes du SAS préparent leur prochain assaut. Stirling compte bien prendre sa revanche sur Paddy Mayne revenu vainqueur de Tamet. Les deux hommes rivalisent sur le terrain, au grand dam du lieutenant "Jock" Lewes qui parle d'enfantillages. Pour Stirling, seuls les cibles ennemies comptent, mais cette fois, ils vont devoir se frotter à une sécurité accrue. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal Plus Series dès 13h22 : Rogue Heroes

De 14h20 à 15h18 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 5 - Dans le cadre des opérations que mènent les forces spéciales britanniques en Afrique, Paddy Mayne initie des soldats français libres à des méthodes d'entraînement peu orthodoxes. Cette méthodologie va-t-elle produire des résultats ? Pendant ce temps, David Stirling dirige un raid sur Benghazi en compagnie du fils du Premier ministre anglais, Randolph Churchill. Cette mission sera-t-elle un succès pour les hommes de l'escouade de Stirling ? - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal Plus Series dès 14h20 : Rogue Heroes

De 15h18 à 16h17 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 59mn -12

Saison : 1 - Épisode : 6 - Tobrouk est tombé, et Rommel approche dangereusement d'Alexandrie. Après une rencontre avec le Premier ministre anglais Winston Churchill, les SAS se lancent dans leur opération la plus audacieuse à ce jour. Alors que le succès leur permet d'obtenir enfin un statut officiel au sein des forces alliées, David Stirling reçoit une terrible nouvelle qui va le bouleverser. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal Plus Series dès 15h18 : Rogue Heroes

De 16h17 à 16h39 VTC

Rediffusion Série dramatique 22mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 1 - Chauffeuse de VTC, Nora est dans une situation ultra précaire : accro aux amphétamines, elle dort dans sa voiture en attendant d'avoir réuni assez d'argent pour se payer un petit appartement et obtenir la garde alternée de sa fille. Quand son frère Ben, lui-même chauffeur, a un accident, Nora propose de livrer un colis à sa place. Sans le savoir, elle vient de se mettre au service d'un dangereux réseau… et elle va vivre la nuit la plus intense de sa vie.

Sur Canal Plus Series dès 16h17 : VTC

De 16h39 à 16h59 VTC

Rediffusion Série dramatique 20mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Nora, qui a besoin d'argent, accepte d'effectuer une autre livraison. Mais la situation tourne au cauchemar. Echange de tirs, course-poursuite. Nora se retrouve avec le cadavre d'un inconnu sur sa banquette arrière.

Sur Canal Plus Series dès 16h39 : VTC

De 16h59 à 17h14 VTC

Rediffusion Série dramatique 15mn -10

Saison : 1 - Épisode : 3 - Avec l'aide de son frère, Nora va se débarrasser du cadavre qu'elle a sur les bras. Elle questionne Ben sur le réseau, et il l'avertit : elle doit impérativement livrer son colis, sinon...

Sur Canal Plus Series dès 16h59 : VTC

De 17h14 à 17h29 VTC

Rediffusion Série dramatique 15mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Nora livre ce qu'elle pense être son dernier colis et annonce clairement qu'elle arrête. Mais quelques heures plus tard un étrange client monte dans sa voiture et lui fait comprendre que ce n'est pas elle qui décide...

Sur Canal Plus Series dès 17h14 : VTC

De 17h29 à 17h54 VTC

Rediffusion Série dramatique 25mn -10

Saison : 1 - Épisode : 5 - Nora va comprendre que son frère Ben, qu'elle récupère à moitié mort, a tenté d'escroquer le réseau. Pour s'en sortir, elle n'a pas d'autre choix : elle doit affronter sa tête pensante, la Pieuvre...

Sur Canal Plus Series dès 17h29 : VTC

De 17h54 à 19h26 L'amour sans

Rediffusion Série sentimentale 1h32 -10

Épisode : 9 - Un homme, une femme, une rencontre. Eternelle formule de la surprise et du désordre. Viviane et Libero vont la dynamiter en y ajoutant un élément très expérimental : ils vont vivre une relation sans jamais se voir. Mais les lois de la chimie amoureuse, elles, n'ont rien d'un jeu. Quand l'érotique de l'évitement devient insoutenable qui joue encore ? Qui triche ? Qui est le plus aveugle des deux amants et à qui profite vraiment la nuit ? La scénariste Maria Pourchet signe une audio-fiction captivante sur le potentiel érotique des mots et de la distance.

Sur Canal Plus Series dès 17h54 : L'amour sans

De 19h26 à 19h41 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 15mn -10

Saison : 2 - Épisode : 1 - Romain n'est pas satisfait par le résultat de son film "Amour sexuel". Il faut dire que le tournage n'a pas été des plus simples, et que son jeune âge interroge ses partenaires comme les producteurs. Romain a dû composer avec un assistant pas très futé, un acteur qui se défile, et une équipe de tournage de l'émission "Chacun ses secrets" qui débarque au beau milieu d'une scène... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal Plus Series dès 19h26 : Des gens bien ordinaires

De 19h41 à 19h50 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 9mn -10

Saison : 2 - Épisode : 2 - Invité dans l'émission "Face à face", Romain répond aux questions de Marise mais s'impatiente en découvrant les propos caricaturaux de la journaliste. Isaure et Andrée l'encouragent à s'affranchir des techniciens et à filmer lui-même... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal Plus Series dès 19h41 : Des gens bien ordinaires

De 19h50 à 20h01 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 11mn -10

Saison : 2 - Épisode : 3 - Grâce à Andrée, Romain a trouvé un lieu de tournage dans la propriété de Melissa. Avant de commencer, il fait le point avec son équipe sur les limites de chacun. Le jeune réalisateur n'est pas convaincu par les premières images... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal Plus Series dès 19h50 : Des gens bien ordinaires

De 20h01 à 20h10 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 9mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Romain est convoqué par la banque, qui compte clôturer non seulement le compte de l'association mais également son compte personnel. Des affiches du jeune acteur sont placardés sur les murs de son domicile. Il se voit proposer l'opportunité d'une carte blanche... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal Plus Series dès 20h01 : Des gens bien ordinaires

De 20h10 à 20h19 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 9mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Sur les conseils de Henriette, Romain rencontre Sharon, une cheffe opératrice avec qui il envisage de tourner. Avant d'entamer les castings, il lit le projet de son scénario à Isaure et Andrée, qui ne cachent pas leur scepticisme... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal Plus Series dès 20h10 : Des gens bien ordinaires

De 20h19 à 20h30 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 11mn -10

Saison : 2 - Épisode : 6 - Après avoir passé la nuit avec Sharon, Romain est mal à l'aise devant Isaure. Il a rendez-vous avec Thérèse, une photographe de mode qui prépare une exposition d'ampleur avec des modèles venus du milieu pornographique... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal Plus Series dès 20h19 : Des gens bien ordinaires

De 20h30 à 20h39 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 9mn -10

Saison : 2 - Épisode : 7 - Romain organise son troisième et dernier tournage. Andrée n'est pas indifférente à son partenaire de jeu, Falco. Un début de relation semble naître entre eux. Intimidés, ils se révèlent soudainement pudiques et incapables de tourner ensemble. Très vite la tension monte entre Sharon et Isaure qui n'approuve pas la relation qu'elle entretient avec Romain. Dans un moment d'énervement, Isaure finit par quitter le tournage en claquant la porte... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal Plus Series dès 20h30 : Des gens bien ordinaires

De 20h39 à 21h03 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 24mn -10

Saison : 2 - Épisode : 8 - Andrée se retrouve confrontée à un dilemme. Sharon et Romain se rendent chez Stéphan, qui leur fait écouter ce qu'il a composé pour le film. Le résultat déconcerte totalement le néo-réalisateur... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal Plus Series dès 20h39 : Des gens bien ordinaires

De 21h03 à 21h45 Trigger Point

Rediffusion Série policière 42mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Alex prévient la police qu'un nouvel attentat va avoir lieu. Il pense que les bombes seront transportées par des drones. La police se rend dans le quartier des affaires de Londres, mais Lana comprend que les terroristes ont imaginé un tout autre scénario. Bientôt, il apparaît de manière de plus en plus évidente que c'est le royaume d'Angleterre que les terroristes menacent de détruire... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal Plus Series dès 21h03 : Trigger Point

De 21h45 à 22h31 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Lana livre des informations sur les membres de la Vague à la section anti-terroriste. Le commandant Francis est hors de lui quand il apprend qu'elle n'a pas placé Alex en garde à vue lorsqu'il lui a rendu visite chez elle la veille. Le capitaine Batra, de son côté, a obtenu la photo de la femme qui aurait poussé Thom dans la cage d'ascenseur... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal Plus Series dès 21h45 : Trigger Point

De 22h31 à 23h17 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10

Saison : 2 - Épisode : 6 - Kidnappée par Hope, Lana apprend de la bouche de cette dernière que le but de la Vague est de renverser le gouvernement. La première cible du groupe terroriste est le ministre de l'Intérieur. Après avoir expliqué à la démineuse que la maison de ses parents a été truffée d'explosifs, Hope est persuadée que Lana n'aura pas d'autre choix que de prendre part à l'attentat... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal Plus Series dès 22h31 : Trigger Point

De 23h17 à 23h39 Money Shot

Rediffusion Série humoristique 22mn -12

Saison : 1 - Épisode : 1 - Ancienne vedette de porno, Sari tombe des nues lorsqu'elle est licencié sans préavis. Son chemin croise celui de Linnea, une jeune féministe. Les deux femmes ont une idée révolutionnaire : produire des films érotiques à destination du public féminin... - Critique : C’est probablement la meilleure scène des premiers épisodes de cette série finlandaise : lors d’un stage de recherche d’emploi, Sari, ex-actrice porno, et Linnea, aspirante réalisatrice, dénoncent l’un de leurs congénères qui vient de coller une main aux fesses à la première. Loin de les soutenir, la responsable du stage les sermonne : « Tenez-vous tranquilles toutes les deux. » Injonction que celles-ci s’appliqueront, comme de bien entendu, à ne pas suivre. Histoire d’une émancipation commune rendue possible par l’amitié, cette dramédie au ton résolument optimiste vaut pour son attachant duo d’héroïnes. Ensemble, Sari et Linnea s’affranchissent d’une société qui les assigne à un rôle déterminé comme de leurs propres empêchements, en se lançant dans la production de films X féministes. Leur ambition ? Faire toute sa place au désir et au plaisir féminins. Et quand le chef-opérateur râle de ne pas mettre en boîte l’incontournable scène d’éjaculation masculine censée être l’aboutissement de tout script pornographique — ce « money shot » qui donne son titre à la série —, Linnea lui rappelle la colonisation des imaginaires par le patriarcat et lui enjoint de s’en libérer à son tour. Entièrement tournée vers la mise en scène de l’« empowerment » féminin, la série voit son élan malheureusement ralenti par une narration trop linéaire et un humour dont le burlesque affirmé confine à la gaucherie.

Sur Canal Plus Series dès 23h17 : Money Shot

De 23h39 à 00h03 Money Shot

Rediffusion Série humoristique 24mn -12

Saison : 1 - Épisode : 2 - Le duo cherche à composer une équipe. A cet effet, Sari embauche Keke comme directeur de la photo. Cela tombe bien, car le personnage est un photographe spécialisé dans le porno. De son côté, Linnea subit une petite baisse de motivation avant de découvrir, grâce à son petit copain Ville, la perle rare. - Critique : C’est probablement la meilleure scène des premiers épisodes de cette série finlandaise : lors d’un stage de recherche d’emploi, Sari, ex-actrice porno, et Linnea, aspirante réalisatrice, dénoncent l’un de leurs congénères qui vient de coller une main aux fesses à la première. Loin de les soutenir, la responsable du stage les sermonne : « Tenez-vous tranquilles toutes les deux. » Injonction que celles-ci s’appliqueront, comme de bien entendu, à ne pas suivre. Histoire d’une émancipation commune rendue possible par l’amitié, cette dramédie au ton résolument optimiste vaut pour son attachant duo d’héroïnes. Ensemble, Sari et Linnea s’affranchissent d’une société qui les assigne à un rôle déterminé comme de leurs propres empêchements, en se lançant dans la production de films X féministes. Leur ambition ? Faire toute sa place au désir et au plaisir féminins. Et quand le chef-opérateur râle de ne pas mettre en boîte l’incontournable scène d’éjaculation masculine censée être l’aboutissement de tout script pornographique — ce « money shot » qui donne son titre à la série —, Linnea lui rappelle la colonisation des imaginaires par le patriarcat et lui enjoint de s’en libérer à son tour. Entièrement tournée vers la mise en scène de l’« empowerment » féminin, la série voit son élan malheureusement ralenti par une narration trop linéaire et un humour dont le burlesque affirmé confine à la gaucherie.

Sur Canal Plus Series dès 23h39 : Money Shot

De 06h15 à 07h08 Profession : musicien.ne

Rediffusion Magazine de société 53mn Tout public

Antoine de Caunes accueille des musiciens et musiciennes pour les écouter alors qu'ils parlent de leur parcours, de leurs inspirations et de leur métier.

Sur Canal+ Séries dès 06h15 : Profession : musicien.ne

De 07h08 à 08h00 Profession : cavalier.e

Rediffusion Magazine de société 52mn Tout public

Entouré de certains des plus éminents représentants d'une profession, Antoine de Caunes les écoute raconter leur passion, comment ils ont découvert leur vocation et envisagent leur métier. Après les acteurs, les photographes et les pâtissiers, des cavaliers et cavalières sont les invités de l'émission.

Sur Canal+ Séries dès 07h08 : Profession : cavalier.e

De 08h00 à 08h59 Fin des programmes

Fin 59mn Tout public

Nos programmes se terminent pour cette journée, en attendant ceux de demain.

Sur Canal+ Séries dès 08h00 : Fin des programmes

De 08h59 à 10h30 Les aventures de Guirec & Monique : 130 jours dans les glaces

Rediffusion Documentaire aventures 1h31 Tout public

Guirec, la vingtaine, a grandi en Bretagne. Avide d'aventures, il décide de faire le tour du monde en voilier, bien qu'il n'y connaisse rien à la navigation. Mais le jeune homme ne part pas seul, il a embarqué avec lui son coup de foudre, Monique, une poule pondeuse. Depuis le départ, il filme son expédition. Son périple a bien sûr été semé de mille dangers, notamment lors des mois d'hivernage au Groenland, coincé sur la banquise.

Sur Canal+ Séries dès 08h59 : Les aventures de Guirec & Monique

De 10h30 à 11h26 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 56mn -12

Saison : 1 - Épisode : 1 - 1941, la Seconde Guerre mondiale fait rage. Les armées du Commonwealth, engagées en Afrique du Nord, affrontent des forces de l'Axe dominatrices. Coincé au Caire au lieu de combattre à Tobrouk, le lieutenant David Stirling s'impatiente et dénonce la piètre gestion de la guerre de ses supérieurs. Insubordination, insolence, beuveries : il faut dire que le jeune officier britannique n'a rien du simple soldat, c'est un commando, entraîné pour tuer l'ennemi. A Tobrouk, le lieutenant John "Jock" Lewes perd lui aussi patience en attendant les renforts. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal+ Séries dès 10h30 : Rogue Heroes

De 11h26 à 12h24 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Blessé, Stirling doit être opéré d'urgence. Sur son lit d'hôpital, il peaufine le plan de Lewes et veut recruter une poignée de soldats pour les seconder, au premier rang desquels le lieutenant Robert Blair ''Paddy'' Mayne du 11e Commando, une vraie tête brûlée. Il va aussi falloir convaincre le commandement général de la pertinence de monter cette escouade. De son côté, le colonel Dudley Clarke, agent secret de sa majesté au Moyen-Orient, reçoit une proposition de la Résistance française. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal+ Séries dès 11h26 : Rogue Heroes

De 12h24 à 13h22 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 58mn -12

Saison : 1 - Épisode : 3 - Les membres nouvellement recrutés des SAS effectuent une première mission désastreuse et dévastatrice. Déterminés à prouver que leur stratégie fonctionnera, ils se préparent à réessayer. Le lieutenant David Stirling et son commando ne veulent pas baisser les bras et souhaitent repartir au combat mais cette fois-ci avec une meilleure stratégie afin d'infliger aux forces de l'Axe des dégâts ciblés, et le tout sans prendre de risques pour la vie de l'escouade. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal+ Séries dès 12h24 : Rogue Heroes

De 13h22 à 14h20 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 58mn -12

Saison : 1 - Épisode : 4 - Installés sur leur camp de base en plein désert, les hommes du SAS préparent leur prochain assaut. Stirling compte bien prendre sa revanche sur Paddy Mayne revenu vainqueur de Tamet. Les deux hommes rivalisent sur le terrain, au grand dam du lieutenant "Jock" Lewes qui parle d'enfantillages. Pour Stirling, seuls les cibles ennemies comptent, mais cette fois, ils vont devoir se frotter à une sécurité accrue. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal+ Séries dès 13h22 : Rogue Heroes

De 14h20 à 15h18 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 5 - Dans le cadre des opérations que mènent les forces spéciales britanniques en Afrique, Paddy Mayne initie des soldats français libres à des méthodes d'entraînement peu orthodoxes. Cette méthodologie va-t-elle produire des résultats ? Pendant ce temps, David Stirling dirige un raid sur Benghazi en compagnie du fils du Premier ministre anglais, Randolph Churchill. Cette mission sera-t-elle un succès pour les hommes de l'escouade de Stirling ? - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal+ Séries dès 14h20 : Rogue Heroes

De 15h18 à 16h17 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 59mn -12

Saison : 1 - Épisode : 6 - Tobrouk est tombé, et Rommel approche dangereusement d'Alexandrie. Après une rencontre avec le Premier ministre anglais Winston Churchill, les SAS se lancent dans leur opération la plus audacieuse à ce jour. Alors que le succès leur permet d'obtenir enfin un statut officiel au sein des forces alliées, David Stirling reçoit une terrible nouvelle qui va le bouleverser. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal+ Séries dès 15h18 : Rogue Heroes

De 16h17 à 16h39 VTC

Rediffusion Série dramatique 22mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 1 - Chauffeuse de VTC, Nora est dans une situation ultra précaire : accro aux amphétamines, elle dort dans sa voiture en attendant d'avoir réuni assez d'argent pour se payer un petit appartement et obtenir la garde alternée de sa fille. Quand son frère Ben, lui-même chauffeur, a un accident, Nora propose de livrer un colis à sa place. Sans le savoir, elle vient de se mettre au service d'un dangereux réseau… et elle va vivre la nuit la plus intense de sa vie.

Sur Canal+ Séries dès 16h17 : VTC

De 16h39 à 16h59 VTC

Rediffusion Série dramatique 20mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Nora, qui a besoin d'argent, accepte d'effectuer une autre livraison. Mais la situation tourne au cauchemar. Echange de tirs, course-poursuite. Nora se retrouve avec le cadavre d'un inconnu sur sa banquette arrière.

Sur Canal+ Séries dès 16h39 : VTC

De 16h59 à 17h14 VTC

Rediffusion Série dramatique 15mn -10

Saison : 1 - Épisode : 3 - Avec l'aide de son frère, Nora va se débarrasser du cadavre qu'elle a sur les bras. Elle questionne Ben sur le réseau, et il l'avertit : elle doit impérativement livrer son colis, sinon...

Sur Canal+ Séries dès 16h59 : VTC

De 17h14 à 17h29 VTC

Rediffusion Série dramatique 15mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Nora livre ce qu'elle pense être son dernier colis et annonce clairement qu'elle arrête. Mais quelques heures plus tard un étrange client monte dans sa voiture et lui fait comprendre que ce n'est pas elle qui décide...

Sur Canal+ Séries dès 17h14 : VTC

De 17h29 à 17h54 VTC

Rediffusion Série dramatique 25mn -10

Saison : 1 - Épisode : 5 - Nora va comprendre que son frère Ben, qu'elle récupère à moitié mort, a tenté d'escroquer le réseau. Pour s'en sortir, elle n'a pas d'autre choix : elle doit affronter sa tête pensante, la Pieuvre...

Sur Canal+ Séries dès 17h29 : VTC

De 17h54 à 19h26 L'amour sans

Rediffusion Série sentimentale 1h32 -10

Épisode : 9 - Un homme, une femme, une rencontre. Eternelle formule de la surprise et du désordre. Viviane et Libero vont la dynamiter en y ajoutant un élément très expérimental : ils vont vivre une relation sans jamais se voir. Mais les lois de la chimie amoureuse, elles, n'ont rien d'un jeu. Quand l'érotique de l'évitement devient insoutenable qui joue encore ? Qui triche ? Qui est le plus aveugle des deux amants et à qui profite vraiment la nuit ? La scénariste Maria Pourchet signe une audio-fiction captivante sur le potentiel érotique des mots et de la distance.

Sur Canal+ Séries dès 17h54 : L'amour sans

De 19h26 à 19h41 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 15mn -10

Saison : 2 - Épisode : 1 - Romain n'est pas satisfait par le résultat de son film "Amour sexuel". Il faut dire que le tournage n'a pas été des plus simples, et que son jeune âge interroge ses partenaires comme les producteurs. Romain a dû composer avec un assistant pas très futé, un acteur qui se défile, et une équipe de tournage de l'émission "Chacun ses secrets" qui débarque au beau milieu d'une scène... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 19h26 : Des gens bien ordinaires

De 19h41 à 19h50 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 9mn -10

Saison : 2 - Épisode : 2 - Invité dans l'émission "Face à face", Romain répond aux questions de Marise mais s'impatiente en découvrant les propos caricaturaux de la journaliste. Isaure et Andrée l'encouragent à s'affranchir des techniciens et à filmer lui-même... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 19h41 : Des gens bien ordinaires

De 19h50 à 20h01 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 11mn -10

Saison : 2 - Épisode : 3 - Grâce à Andrée, Romain a trouvé un lieu de tournage dans la propriété de Melissa. Avant de commencer, il fait le point avec son équipe sur les limites de chacun. Le jeune réalisateur n'est pas convaincu par les premières images... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 19h50 : Des gens bien ordinaires

De 20h01 à 20h10 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 9mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Romain est convoqué par la banque, qui compte clôturer non seulement le compte de l'association mais également son compte personnel. Des affiches du jeune acteur sont placardés sur les murs de son domicile. Il se voit proposer l'opportunité d'une carte blanche... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 20h01 : Des gens bien ordinaires

De 20h10 à 20h19 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 9mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Sur les conseils de Henriette, Romain rencontre Sharon, une cheffe opératrice avec qui il envisage de tourner. Avant d'entamer les castings, il lit le projet de son scénario à Isaure et Andrée, qui ne cachent pas leur scepticisme... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 20h10 : Des gens bien ordinaires

De 20h19 à 20h30 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 11mn -10

Saison : 2 - Épisode : 6 - Après avoir passé la nuit avec Sharon, Romain est mal à l'aise devant Isaure. Il a rendez-vous avec Thérèse, une photographe de mode qui prépare une exposition d'ampleur avec des modèles venus du milieu pornographique... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 20h19 : Des gens bien ordinaires

De 20h30 à 20h39 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 9mn -10

Saison : 2 - Épisode : 7 - Romain organise son troisième et dernier tournage. Andrée n'est pas indifférente à son partenaire de jeu, Falco. Un début de relation semble naître entre eux. Intimidés, ils se révèlent soudainement pudiques et incapables de tourner ensemble. Très vite la tension monte entre Sharon et Isaure qui n'approuve pas la relation qu'elle entretient avec Romain. Dans un moment d'énervement, Isaure finit par quitter le tournage en claquant la porte... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 20h30 : Des gens bien ordinaires

De 20h39 à 21h03 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 24mn -10

Saison : 2 - Épisode : 8 - Andrée se retrouve confrontée à un dilemme. Sharon et Romain se rendent chez Stéphan, qui leur fait écouter ce qu'il a composé pour le film. Le résultat déconcerte totalement le néo-réalisateur... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 20h39 : Des gens bien ordinaires

De 21h03 à 21h45 Trigger Point

Rediffusion Série policière 42mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Alex prévient la police qu'un nouvel attentat va avoir lieu. Il pense que les bombes seront transportées par des drones. La police se rend dans le quartier des affaires de Londres, mais Lana comprend que les terroristes ont imaginé un tout autre scénario. Bientôt, il apparaît de manière de plus en plus évidente que c'est le royaume d'Angleterre que les terroristes menacent de détruire... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal+ Séries dès 21h03 : Trigger Point

De 21h45 à 22h31 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Lana livre des informations sur les membres de la Vague à la section anti-terroriste. Le commandant Francis est hors de lui quand il apprend qu'elle n'a pas placé Alex en garde à vue lorsqu'il lui a rendu visite chez elle la veille. Le capitaine Batra, de son côté, a obtenu la photo de la femme qui aurait poussé Thom dans la cage d'ascenseur... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal+ Séries dès 21h45 : Trigger Point

De 22h31 à 23h17 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10

Saison : 2 - Épisode : 6 - Kidnappée par Hope, Lana apprend de la bouche de cette dernière que le but de la Vague est de renverser le gouvernement. La première cible du groupe terroriste est le ministre de l'Intérieur. Après avoir expliqué à la démineuse que la maison de ses parents a été truffée d'explosifs, Hope est persuadée que Lana n'aura pas d'autre choix que de prendre part à l'attentat... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal+ Séries dès 22h31 : Trigger Point

De 23h17 à 23h39 Money Shot

Rediffusion Série humoristique 22mn -12

Saison : 1 - Épisode : 1 - Ancienne vedette de porno, Sari tombe des nues lorsqu'elle est licencié sans préavis. Son chemin croise celui de Linnea, une jeune féministe. Les deux femmes ont une idée révolutionnaire : produire des films érotiques à destination du public féminin... - Critique : C’est probablement la meilleure scène des premiers épisodes de cette série finlandaise : lors d’un stage de recherche d’emploi, Sari, ex-actrice porno, et Linnea, aspirante réalisatrice, dénoncent l’un de leurs congénères qui vient de coller une main aux fesses à la première. Loin de les soutenir, la responsable du stage les sermonne : « Tenez-vous tranquilles toutes les deux. » Injonction que celles-ci s’appliqueront, comme de bien entendu, à ne pas suivre. Histoire d’une émancipation commune rendue possible par l’amitié, cette dramédie au ton résolument optimiste vaut pour son attachant duo d’héroïnes. Ensemble, Sari et Linnea s’affranchissent d’une société qui les assigne à un rôle déterminé comme de leurs propres empêchements, en se lançant dans la production de films X féministes. Leur ambition ? Faire toute sa place au désir et au plaisir féminins. Et quand le chef-opérateur râle de ne pas mettre en boîte l’incontournable scène d’éjaculation masculine censée être l’aboutissement de tout script pornographique — ce « money shot » qui donne son titre à la série —, Linnea lui rappelle la colonisation des imaginaires par le patriarcat et lui enjoint de s’en libérer à son tour. Entièrement tournée vers la mise en scène de l’« empowerment » féminin, la série voit son élan malheureusement ralenti par une narration trop linéaire et un humour dont le burlesque affirmé confine à la gaucherie.

Sur Canal+ Séries dès 23h17 : Money Shot

De 23h39 à 00h03 Money Shot

Rediffusion Série humoristique 24mn -12

Saison : 1 - Épisode : 2 - Le duo cherche à composer une équipe. A cet effet, Sari embauche Keke comme directeur de la photo. Cela tombe bien, car le personnage est un photographe spécialisé dans le porno. De son côté, Linnea subit une petite baisse de motivation avant de découvrir, grâce à son petit copain Ville, la perle rare. - Critique : C’est probablement la meilleure scène des premiers épisodes de cette série finlandaise : lors d’un stage de recherche d’emploi, Sari, ex-actrice porno, et Linnea, aspirante réalisatrice, dénoncent l’un de leurs congénères qui vient de coller une main aux fesses à la première. Loin de les soutenir, la responsable du stage les sermonne : « Tenez-vous tranquilles toutes les deux. » Injonction que celles-ci s’appliqueront, comme de bien entendu, à ne pas suivre. Histoire d’une émancipation commune rendue possible par l’amitié, cette dramédie au ton résolument optimiste vaut pour son attachant duo d’héroïnes. Ensemble, Sari et Linnea s’affranchissent d’une société qui les assigne à un rôle déterminé comme de leurs propres empêchements, en se lançant dans la production de films X féministes. Leur ambition ? Faire toute sa place au désir et au plaisir féminins. Et quand le chef-opérateur râle de ne pas mettre en boîte l’incontournable scène d’éjaculation masculine censée être l’aboutissement de tout script pornographique — ce « money shot » qui donne son titre à la série —, Linnea lui rappelle la colonisation des imaginaires par le patriarcat et lui enjoint de s’en libérer à son tour. Entièrement tournée vers la mise en scène de l’« empowerment » féminin, la série voit son élan malheureusement ralenti par une narration trop linéaire et un humour dont le burlesque affirmé confine à la gaucherie.

Sur Canal+ Séries dès 23h39 : Money Shot

De 06h15 à 07h08 Profession : musicien.ne

Rediffusion Magazine de société 53mn Tout public

Antoine de Caunes accueille des musiciens et musiciennes pour les écouter alors qu'ils parlent de leur parcours, de leurs inspirations et de leur métier.

Sur Canal+ Séries dès 06h15 : Profession : musicien.ne

De 07h08 à 08h00 Profession : cavalier.e

Rediffusion Magazine de société 52mn Tout public

Entouré de certains des plus éminents représentants d'une profession, Antoine de Caunes les écoute raconter leur passion, comment ils ont découvert leur vocation et envisagent leur métier. Après les acteurs, les photographes et les pâtissiers, des cavaliers et cavalières sont les invités de l'émission.

Sur Canal+ Séries dès 07h08 : Profession : cavalier.e

De 08h00 à 08h59 Fin des programmes

Fin 59mn Tout public

Nos programmes se terminent pour cette journée, en attendant ceux de demain.

Sur Canal+ Séries dès 08h00 : Fin des programmes

De 08h59 à 10h30 Les aventures de Guirec & Monique : 130 jours dans les glaces

Rediffusion Documentaire aventures 1h31 Tout public

Guirec, la vingtaine, a grandi en Bretagne. Avide d'aventures, il décide de faire le tour du monde en voilier, bien qu'il n'y connaisse rien à la navigation. Mais le jeune homme ne part pas seul, il a embarqué avec lui son coup de foudre, Monique, une poule pondeuse. Depuis le départ, il filme son expédition. Son périple a bien sûr été semé de mille dangers, notamment lors des mois d'hivernage au Groenland, coincé sur la banquise.

Sur Canal+ Séries dès 08h59 : Les aventures de Guirec & Monique

De 10h30 à 11h26 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 56mn -12

Saison : 1 - Épisode : 1 - 1941, la Seconde Guerre mondiale fait rage. Les armées du Commonwealth, engagées en Afrique du Nord, affrontent des forces de l'Axe dominatrices. Coincé au Caire au lieu de combattre à Tobrouk, le lieutenant David Stirling s'impatiente et dénonce la piètre gestion de la guerre de ses supérieurs. Insubordination, insolence, beuveries : il faut dire que le jeune officier britannique n'a rien du simple soldat, c'est un commando, entraîné pour tuer l'ennemi. A Tobrouk, le lieutenant John "Jock" Lewes perd lui aussi patience en attendant les renforts. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal+ Séries dès 10h30 : Rogue Heroes

De 11h26 à 12h24 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Blessé, Stirling doit être opéré d'urgence. Sur son lit d'hôpital, il peaufine le plan de Lewes et veut recruter une poignée de soldats pour les seconder, au premier rang desquels le lieutenant Robert Blair ''Paddy'' Mayne du 11e Commando, une vraie tête brûlée. Il va aussi falloir convaincre le commandement général de la pertinence de monter cette escouade. De son côté, le colonel Dudley Clarke, agent secret de sa majesté au Moyen-Orient, reçoit une proposition de la Résistance française. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal+ Séries dès 11h26 : Rogue Heroes

De 12h24 à 13h22 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 58mn -12

Saison : 1 - Épisode : 3 - Les membres nouvellement recrutés des SAS effectuent une première mission désastreuse et dévastatrice. Déterminés à prouver que leur stratégie fonctionnera, ils se préparent à réessayer. Le lieutenant David Stirling et son commando ne veulent pas baisser les bras et souhaitent repartir au combat mais cette fois-ci avec une meilleure stratégie afin d'infliger aux forces de l'Axe des dégâts ciblés, et le tout sans prendre de risques pour la vie de l'escouade. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal+ Séries dès 12h24 : Rogue Heroes

De 13h22 à 14h20 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 58mn -12

Saison : 1 - Épisode : 4 - Installés sur leur camp de base en plein désert, les hommes du SAS préparent leur prochain assaut. Stirling compte bien prendre sa revanche sur Paddy Mayne revenu vainqueur de Tamet. Les deux hommes rivalisent sur le terrain, au grand dam du lieutenant "Jock" Lewes qui parle d'enfantillages. Pour Stirling, seuls les cibles ennemies comptent, mais cette fois, ils vont devoir se frotter à une sécurité accrue. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal+ Séries dès 13h22 : Rogue Heroes

De 14h20 à 15h18 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 58mn -10

Saison : 1 - Épisode : 5 - Dans le cadre des opérations que mènent les forces spéciales britanniques en Afrique, Paddy Mayne initie des soldats français libres à des méthodes d'entraînement peu orthodoxes. Cette méthodologie va-t-elle produire des résultats ? Pendant ce temps, David Stirling dirige un raid sur Benghazi en compagnie du fils du Premier ministre anglais, Randolph Churchill. Cette mission sera-t-elle un succès pour les hommes de l'escouade de Stirling ? - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal+ Séries dès 14h20 : Rogue Heroes

De 15h18 à 16h17 Rogue Heroes

Rediffusion Série dramatique 59mn -12

Saison : 1 - Épisode : 6 - Tobrouk est tombé, et Rommel approche dangereusement d'Alexandrie. Après une rencontre avec le Premier ministre anglais Winston Churchill, les SAS se lancent dans leur opération la plus audacieuse à ce jour. Alors que le succès leur permet d'obtenir enfin un statut officiel au sein des forces alliées, David Stirling reçoit une terrible nouvelle qui va le bouleverser. - Critique : Mai 1941. Un convoi militaire en route pour Tobrouk, port stratégique pour les forces alliées, s’immobilise dans le désert égyptien, en panne de carburant. Le trajet a été calculé en kilomètres et non en miles… Rendu fou par l’absurdité de la situation, le lieutenant David Stirling hurle une insulte à portée d’oreille de son supérieur. Frustré par les échecs de l’armée traditionnelle, il deviendra l’un des initiateurs des Rogue Heroes, une troupe de têtes brûlées hétéroclite, ancêtres des forces spéciales britanniques. Et dont les missions inédites derrière les lignes ennemies ont inspiré à Steven Knight sa dernière création pour la BBC. Série après série, le scénariste britannique multiplie les hommages au passé. Hommage historique, d’abord. Dans Rogue Heroes, comme précedemment avec Peaky Blinders, il s’empare de personnages et/ou de faits ayant existés. Hommage familial, ensuite. Cette fois encore, il puise dans son histoire personnelle. Descendant de bookmakers de Birmingham, il est aussi le fils d’un vétéran de l’armée britannique engagé en Afrique du Nord. Une connexion intime qui rejaillit dans la tendresse et l’humanité avec lesquelles il donne chair à ses héros improbables. Hommage artistique, enfin. Steven Knight sait ce qu’il doit à ses classiques. De la mythologie du film d’espionnage à celle de la fiction de guerre, il orchestre ici un réjouissant ballet de clins d’œil aux œuvres qui l’ont marqué. Une réussite !

Sur Canal+ Séries dès 15h18 : Rogue Heroes

De 16h17 à 16h39 VTC

Rediffusion Série dramatique 22mn Tout public

Saison : 1 - Épisode : 1 - Chauffeuse de VTC, Nora est dans une situation ultra précaire : accro aux amphétamines, elle dort dans sa voiture en attendant d'avoir réuni assez d'argent pour se payer un petit appartement et obtenir la garde alternée de sa fille. Quand son frère Ben, lui-même chauffeur, a un accident, Nora propose de livrer un colis à sa place. Sans le savoir, elle vient de se mettre au service d'un dangereux réseau… et elle va vivre la nuit la plus intense de sa vie.

Sur Canal+ Séries dès 16h17 : VTC

De 16h39 à 16h59 VTC

Rediffusion Série dramatique 20mn -10

Saison : 1 - Épisode : 2 - Nora, qui a besoin d'argent, accepte d'effectuer une autre livraison. Mais la situation tourne au cauchemar. Echange de tirs, course-poursuite. Nora se retrouve avec le cadavre d'un inconnu sur sa banquette arrière.

Sur Canal+ Séries dès 16h39 : VTC

De 16h59 à 17h14 VTC

Rediffusion Série dramatique 15mn -10

Saison : 1 - Épisode : 3 - Avec l'aide de son frère, Nora va se débarrasser du cadavre qu'elle a sur les bras. Elle questionne Ben sur le réseau, et il l'avertit : elle doit impérativement livrer son colis, sinon...

Sur Canal+ Séries dès 16h59 : VTC

De 17h14 à 17h29 VTC

Rediffusion Série dramatique 15mn -10

Saison : 1 - Épisode : 4 - Nora livre ce qu'elle pense être son dernier colis et annonce clairement qu'elle arrête. Mais quelques heures plus tard un étrange client monte dans sa voiture et lui fait comprendre que ce n'est pas elle qui décide...

Sur Canal+ Séries dès 17h14 : VTC

De 17h29 à 17h54 VTC

Rediffusion Série dramatique 25mn -10

Saison : 1 - Épisode : 5 - Nora va comprendre que son frère Ben, qu'elle récupère à moitié mort, a tenté d'escroquer le réseau. Pour s'en sortir, elle n'a pas d'autre choix : elle doit affronter sa tête pensante, la Pieuvre...

Sur Canal+ Séries dès 17h29 : VTC

De 17h54 à 19h26 L'amour sans

Rediffusion Série sentimentale 1h32 -10

Épisode : 9 - Un homme, une femme, une rencontre. Eternelle formule de la surprise et du désordre. Viviane et Libero vont la dynamiter en y ajoutant un élément très expérimental : ils vont vivre une relation sans jamais se voir. Mais les lois de la chimie amoureuse, elles, n'ont rien d'un jeu. Quand l'érotique de l'évitement devient insoutenable qui joue encore ? Qui triche ? Qui est le plus aveugle des deux amants et à qui profite vraiment la nuit ? La scénariste Maria Pourchet signe une audio-fiction captivante sur le potentiel érotique des mots et de la distance.

Sur Canal+ Séries dès 17h54 : L'amour sans

De 19h26 à 19h41 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 15mn -10

Saison : 2 - Épisode : 1 - Romain n'est pas satisfait par le résultat de son film "Amour sexuel". Il faut dire que le tournage n'a pas été des plus simples, et que son jeune âge interroge ses partenaires comme les producteurs. Romain a dû composer avec un assistant pas très futé, un acteur qui se défile, et une équipe de tournage de l'émission "Chacun ses secrets" qui débarque au beau milieu d'une scène... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 19h26 : Des gens bien ordinaires

De 19h41 à 19h50 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 9mn -10

Saison : 2 - Épisode : 2 - Invité dans l'émission "Face à face", Romain répond aux questions de Marise mais s'impatiente en découvrant les propos caricaturaux de la journaliste. Isaure et Andrée l'encouragent à s'affranchir des techniciens et à filmer lui-même... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 19h41 : Des gens bien ordinaires

De 19h50 à 20h01 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 11mn -10

Saison : 2 - Épisode : 3 - Grâce à Andrée, Romain a trouvé un lieu de tournage dans la propriété de Melissa. Avant de commencer, il fait le point avec son équipe sur les limites de chacun. Le jeune réalisateur n'est pas convaincu par les premières images... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 19h50 : Des gens bien ordinaires

De 20h01 à 20h10 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 9mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Romain est convoqué par la banque, qui compte clôturer non seulement le compte de l'association mais également son compte personnel. Des affiches du jeune acteur sont placardés sur les murs de son domicile. Il se voit proposer l'opportunité d'une carte blanche... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 20h01 : Des gens bien ordinaires

De 20h10 à 20h19 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 9mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Sur les conseils de Henriette, Romain rencontre Sharon, une cheffe opératrice avec qui il envisage de tourner. Avant d'entamer les castings, il lit le projet de son scénario à Isaure et Andrée, qui ne cachent pas leur scepticisme... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 20h10 : Des gens bien ordinaires

De 20h19 à 20h30 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 11mn -10

Saison : 2 - Épisode : 6 - Après avoir passé la nuit avec Sharon, Romain est mal à l'aise devant Isaure. Il a rendez-vous avec Thérèse, une photographe de mode qui prépare une exposition d'ampleur avec des modèles venus du milieu pornographique... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 20h19 : Des gens bien ordinaires

De 20h30 à 20h39 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 9mn -10

Saison : 2 - Épisode : 7 - Romain organise son troisième et dernier tournage. Andrée n'est pas indifférente à son partenaire de jeu, Falco. Un début de relation semble naître entre eux. Intimidés, ils se révèlent soudainement pudiques et incapables de tourner ensemble. Très vite la tension monte entre Sharon et Isaure qui n'approuve pas la relation qu'elle entretient avec Romain. Dans un moment d'énervement, Isaure finit par quitter le tournage en claquant la porte... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 20h30 : Des gens bien ordinaires

De 20h39 à 21h03 Des gens bien ordinaires

Rediffusion Série dramatique 24mn -10

Saison : 2 - Épisode : 8 - Andrée se retrouve confrontée à un dilemme. Sharon et Romain se rendent chez Stéphan, qui leur fait écouter ce qu'il a composé pour le film. Le résultat déconcerte totalement le néo-réalisateur... - Critique : « Faire du porno affranchit du matriarcat. » Oui, vous avez bien lu. Telle est l’ambition de Romain (Jérémy Gillet), jeune étudiant en sociologie qui, après avoir choisi de jouer dans des films X, souhaite passer derrière la caméra. Sachant que cette fable naturaliste fait de l’inversion des rapports de force genrés son principe narratif, Romain évolue dans un monde dominé par les femmes, qui n’ont évidemment aucune intention de laisser le jouvenceau aux idées subversives révolutionner l’ordre établi. Cette nouvelle salve d’épisodes de la série imaginée par Ovidie (dont la première saison a été récompensée par un Emmy Award en 2023) continue d’avancer sur le chemin initiatique de son héros, mû par cette force candide des révolutionnaires. Avec un art enlevé de la chronique, la réalisatrice parvient à confronter les trajectoires de ses personnages — aux côtés de Romain, son éternelle meilleure amie Isaure (Raïka Hazanavicius) et Andrée (Sophie-Marie Larrouy), actrice établie dans l’industrie du X — au contexte socioculturel d’une époque. Soit le début des années 2000, qui s’approprie sans vergogne l’imagerie porno tout en frappant d’ostracisation celles et ceux — particulièrement ces derniers, dans ce système de valeurs renversé — qui ont travaillé avec leur corps. Au cœur de ce tableau sans fard, le rire surgit dans cette nouvelle saison, plus encore que dans la première, avec une insolence salvatrice. Un esprit frondeur qui authentifie l’oppression et offre, dans un même geste, une chance de s’en affranchir. On appelle cela le panache.

Sur Canal+ Séries dès 20h39 : Des gens bien ordinaires

De 21h03 à 21h45 Trigger Point

Rediffusion Série policière 42mn -10

Saison : 2 - Épisode : 4 - Alex prévient la police qu'un nouvel attentat va avoir lieu. Il pense que les bombes seront transportées par des drones. La police se rend dans le quartier des affaires de Londres, mais Lana comprend que les terroristes ont imaginé un tout autre scénario. Bientôt, il apparaît de manière de plus en plus évidente que c'est le royaume d'Angleterre que les terroristes menacent de détruire... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal+ Séries dès 21h03 : Trigger Point

De 21h45 à 22h31 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10

Saison : 2 - Épisode : 5 - Lana livre des informations sur les membres de la Vague à la section anti-terroriste. Le commandant Francis est hors de lui quand il apprend qu'elle n'a pas placé Alex en garde à vue lorsqu'il lui a rendu visite chez elle la veille. Le capitaine Batra, de son côté, a obtenu la photo de la femme qui aurait poussé Thom dans la cage d'ascenseur... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal+ Séries dès 21h45 : Trigger Point

De 22h31 à 23h17 Trigger Point

Rediffusion Série policière 46mn -10

Saison : 2 - Épisode : 6 - Kidnappée par Hope, Lana apprend de la bouche de cette dernière que le but de la Vague est de renverser le gouvernement. La première cible du groupe terroriste est le ministre de l'Intérieur. Après avoir expliqué à la démineuse que la maison de ses parents a été truffée d'explosifs, Hope est persuadée que Lana n'aura pas d'autre choix que de prendre part à l'attentat... - Critique : Lana Washington vient de passer six mois en Estonie pour former des démineurs. Était-ce bien nécessaire de la faire revenir à Londres, après une première saison correcte mais pas non plus inoubliable (merci le résumé, au début) ? La logique, comme souvent dans ce genre de saison 2, est celle de l’inflation : faire plus. Accentuer la pression et multiplier les situations tendues. Ce qui donne au moins trois bombes à déminer par épisode. Une garantie contre l’ennui ? Pas vraiment, tant le scénario recycle des motifs familiers : attaque terroriste (de dissidents anarchistes), conflits et sentiments dans la petite communauté de la police, nouveau chef autoritaire avec qui ce n’est pas facile-facile, papa dépressif qui s’est engueulé avec maman… Voilà pour la structure. Ce n’est pas beaucoup plus original à petite échelle, quand on met le nez dans les scènes : une musique angoissante dicte le montage pour créer du suspense par un effet de compte à rebours. Assez peu de raisons de rempiler, donc, à l’exception de l’héroïne, jouée par Vicky McClure, qu’on aime vraiment bien.

Sur Canal+ Séries dès 22h31 : Trigger Point

De 23h17 à 23h39 Money Shot

Rediffusion Série humoristique 22mn -12

Saison : 1 - Épisode : 1 - Ancienne vedette de porno, Sari tombe des nues lorsqu'elle est licencié sans préavis. Son chemin croise celui de Linnea, une jeune féministe. Les deux femmes ont une idée révolutionnaire : produire des films érotiques à destination du public féminin... - Critique : C’est probablement la meilleure scène des premiers épisodes de cette série finlandaise : lors d’un stage de recherche d’emploi, Sari, ex-actrice porno, et Linnea, aspirante réalisatrice, dénoncent l’un de leurs congénères qui vient de coller une main aux fesses à la première. Loin de les soutenir, la responsable du stage les sermonne : « Tenez-vous tranquilles toutes les deux. » Injonction que celles-ci s’appliqueront, comme de bien entendu, à ne pas suivre. Histoire d’une émancipation commune rendue possible par l’amitié, cette dramédie au ton résolument optimiste vaut pour son attachant duo d’héroïnes. Ensemble, Sari et Linnea s’affranchissent d’une société qui les assigne à un rôle déterminé comme de leurs propres empêchements, en se lançant dans la production de films X féministes. Leur ambition ? Faire toute sa place au désir et au plaisir féminins. Et quand le chef-opérateur râle de ne pas mettre en boîte l’incontournable scène d’éjaculation masculine censée être l’aboutissement de tout script pornographique — ce « money shot » qui donne son titre à la série —, Linnea lui rappelle la colonisation des imaginaires par le patriarcat et lui enjoint de s’en libérer à son tour. Entièrement tournée vers la mise en scène de l’« empowerment » féminin, la série voit son élan malheureusement ralenti par une narration trop linéaire et un humour dont le burlesque affirmé confine à la gaucherie.

Sur Canal+ Séries dès 23h17 : Money Shot

De 23h39 à 00h03 Money Shot

Rediffusion Série humoristique 24mn -12

Saison : 1 - Épisode : 2 - Le duo cherche à composer une équipe. A cet effet, Sari embauche Keke comme directeur de la photo. Cela tombe bien, car le personnage est un photographe spécialisé dans le porno. De son côté, Linnea subit une petite baisse de motivation avant de découvrir, grâce à son petit copain Ville, la perle rare. - Critique : C’est probablement la meilleure scène des premiers épisodes de cette série finlandaise : lors d’un stage de recherche d’emploi, Sari, ex-actrice porno, et Linnea, aspirante réalisatrice, dénoncent l’un de leurs congénères qui vient de coller une main aux fesses à la première. Loin de les soutenir, la responsable du stage les sermonne : « Tenez-vous tranquilles toutes les deux. » Injonction que celles-ci s’appliqueront, comme de bien entendu, à ne pas suivre. Histoire d’une émancipation commune rendue possible par l’amitié, cette dramédie au ton résolument optimiste vaut pour son attachant duo d’héroïnes. Ensemble, Sari et Linnea s’affranchissent d’une société qui les assigne à un rôle déterminé comme de leurs propres empêchements, en se lançant dans la production de films X féministes. Leur ambition ? Faire toute sa place au désir et au plaisir féminins. Et quand le chef-opérateur râle de ne pas mettre en boîte l’incontournable scène d’éjaculation masculine censée être l’aboutissement de tout script pornographique — ce « money shot » qui donne son titre à la série —, Linnea lui rappelle la colonisation des imaginaires par le patriarcat et lui enjoint de s’en libérer à son tour. Entièrement tournée vers la mise en scène de l’« empowerment » féminin, la série voit son élan malheureusement ralenti par une narration trop linéaire et un humour dont le burlesque affirmé confine à la gaucherie.

Sur Canal+ Séries dès 23h39 : Money Shot