« Tidelands ». C’est le titre de la série Australienne que Netflix nous montre à voir depuis le 14 décembre.
« Tidelands », c’est beau, ça fait rêver, ça claque ! Alors allez comprendre pourquoi on nous a infligé un titre en français aussi fadasse que « Terre de marées »… En tout cas, ne vous y trompez pas « Terre de marées » c’est bien la même chose que « Tidelands ». Même si ça sonne comme le titre d’un documentaire sur les crabes.
Si vous voulez de la beauté dénudée, masculine comme féminine c’est LA série à regarder. En effet, sans vous dévoiler quoique ce soit de trop secret (en fait c’est dans la bande annonce) les « tidelanders » sont un peuple à mi chemin entre les sirènes et les humains… Les sirènes c’est beau et ça nage bien, et c’est réputé drôlement sexy, ce qui nous donne droit à quelques scènes bien sensuelles entre acteurs… musclés. Rajoutez-y les magnifiques et chaudes plages australiennes où l’action se situe et vous avez une idée du degré de chaleur de la série…
L’histoire ne s’arrête quand même pas là. Elle débute sur le retour d’une jeune femme, Cal Mc Teer dans son village natal après dix ans passés en centre de détention pour mineurs. Elle se rend vite compte que loin de la tranquille bourgade à laquelle elle peut s’attendre. Le lieu cache bien des secrets. À commencer par l’existence des Tidelanders… L’intrigue fantastique autour des sirènes se mélange à d’autres : trahisons, secrets familiaux, trafics… Ce qui nous perd un peu parfois.
Pourtant, avec une efficacité certaine, les auteurs arrivent à nous maintenir en haleine durant les 8 épisodes qui composent la saison 1 et nous laisse en suspends et en espérant… la saison 2 !
Distribution : Charlotte Best, Elsa Pataky, Marco Pigossi
La rédaction,