Warner TV : Programme TV de la chaîne Warner TV
En ce moment sur Warner TV :
02h20 Riverdale : Chapitre quatre-vingt-quatre : Soirée trousseaux
Série sentimentale 50mn -10À suivre, dès 03h10 : Riverdale
En ce moment sur Warner TV :
02h20 Riverdale : Chapitre quatre-vingt-quatre : Soirée trousseaux
Série sentimentale 50mn -10À suivre, dès 03h10 : Riverdale
En ce moment sur Warner TV :
02h20 Riverdale : Chapitre quatre-vingt-quatre : Soirée trousseaux
Série sentimentale 50mn -10À suivre, dès 03h10 : Riverdale
Ce soir sur Warner TV :
20h55 Mrs. Davis : PC 220
Série de science-fiction 1h10 -10Saison : 1 - Épisode : 7 - Ayant réussi à obtenir le Suaire de Lazare auprès de Céleste, Simone se lance dans un périlleux voyage pour aller récupérer le Saint-Graal. Mais une féroce créature se dresse sur sa route. De son côté, Wiley reçoit la part de Mme Davis une proposition inattendue qui pourrait remettre en cause tout son avenir. - Critique : Mrs Davis commence comme une blague : « C’est l’histoire d’une nonne… » Celle de sœur Simone (l’excellente Betty Gilpin, découverte dans GLOW), entrée dans les ordres après être tombée amoureuse de Jésus… dans un monde qui lui préfère Mrs Davis, une IA surpuissante qui murmure dans les oreillettes de toute l’humanité – pour mieux l’assujettir ? Cette appli hors norme lui propose un marché : si la religieuse met la main sur le Graal, elle se taira à jamais. Du désert du Nevada à l’Écosse, du Vatican à l’Espagne, Simone entame une longue quête, aidée par Preston Wiley (le survolté Jake McDorman), un militant anti-IA – et accessoirement son ex. Cette série folle, sorte de série B au sous-texte existentiel, ressemble à ses deux créateurs, issus de deux mondes sériels a priori incompatibles. Tara Hernandez, scénariste de plus d’une centaine d’épisodes de The Big Bang Theory, fait ici équipe avec Damon Lindelof, le très intense créateur de The Leftovers et Watchmen. Mrs Davis est au parfait croisement de leurs univers. C’est une comédie très contemporaine à l’héroïne badass, qui dégomme les nouvelles technologies et se moque des masculinistes. Mais aussi une aventure trépidante, truffée de rebondissements. C’est également un drame métaphysique complexe, qui se dévoile au fil d’épisodes débordants d’idées renversantes et / ou absurdes, où il est question de la place de la foi dans un monde ultra connecté, de maternité – Mrs Davis est appelée « Mama » en Espagne… – et, comme toujours chez Lindelof, d’un indispensable lâcher-prise. On se lance dans Mrs Davis comme on monte dans un manège. On lève les bras, on crie, on rit. Mais on en sort le cœur remué, avec la certitude d’avoir traversé une aventure fictionnelle inédite.
22h05 Mrs. Davis : Et voici, parut un cheval blanc
Série de science-fiction 1h5 -10Saison : 1 - Épisode : 8 - Simone rencontre la personne qui a créé Mrs Davis. Pendant ce temps, au centre Pyramidal, Wiley est confronté à une ultime épreuve. - Critique : Mrs Davis commence comme une blague : « C’est l’histoire d’une nonne… » Celle de sœur Simone (l’excellente Betty Gilpin, découverte dans GLOW), entrée dans les ordres après être tombée amoureuse de Jésus… dans un monde qui lui préfère Mrs Davis, une IA surpuissante qui murmure dans les oreillettes de toute l’humanité – pour mieux l’assujettir ? Cette appli hors norme lui propose un marché : si la religieuse met la main sur le Graal, elle se taira à jamais. Du désert du Nevada à l’Écosse, du Vatican à l’Espagne, Simone entame une longue quête, aidée par Preston Wiley (le survolté Jake McDorman), un militant anti-IA – et accessoirement son ex. Cette série folle, sorte de série B au sous-texte existentiel, ressemble à ses deux créateurs, issus de deux mondes sériels a priori incompatibles. Tara Hernandez, scénariste de plus d’une centaine d’épisodes de The Big Bang Theory, fait ici équipe avec Damon Lindelof, le très intense créateur de The Leftovers et Watchmen. Mrs Davis est au parfait croisement de leurs univers. C’est une comédie très contemporaine à l’héroïne badass, qui dégomme les nouvelles technologies et se moque des masculinistes. Mais aussi une aventure trépidante, truffée de rebondissements. C’est également un drame métaphysique complexe, qui se dévoile au fil d’épisodes débordants d’idées renversantes et / ou absurdes, où il est question de la place de la foi dans un monde ultra connecté, de maternité – Mrs Davis est appelée « Mama » en Espagne… – et, comme toujours chez Lindelof, d’un indispensable lâcher-prise. On se lance dans Mrs Davis comme on monte dans un manège. On lève les bras, on crie, on rit. Mais on en sort le cœur remué, avec la certitude d’avoir traversé une aventure fictionnelle inédite.
Ce soir sur Warner TV :
20h55 Mrs. Davis : PC 220
Série de science-fiction 1h10 -10Saison : 1 - Épisode : 7 - Ayant réussi à obtenir le Suaire de Lazare auprès de Céleste, Simone se lance dans un périlleux voyage pour aller récupérer le Saint-Graal. Mais une féroce créature se dresse sur sa route. De son côté, Wiley reçoit la part de Mme Davis une proposition inattendue qui pourrait remettre en cause tout son avenir. - Critique : Mrs Davis commence comme une blague : « C’est l’histoire d’une nonne… » Celle de sœur Simone (l’excellente Betty Gilpin, découverte dans GLOW), entrée dans les ordres après être tombée amoureuse de Jésus… dans un monde qui lui préfère Mrs Davis, une IA surpuissante qui murmure dans les oreillettes de toute l’humanité – pour mieux l’assujettir ? Cette appli hors norme lui propose un marché : si la religieuse met la main sur le Graal, elle se taira à jamais. Du désert du Nevada à l’Écosse, du Vatican à l’Espagne, Simone entame une longue quête, aidée par Preston Wiley (le survolté Jake McDorman), un militant anti-IA – et accessoirement son ex. Cette série folle, sorte de série B au sous-texte existentiel, ressemble à ses deux créateurs, issus de deux mondes sériels a priori incompatibles. Tara Hernandez, scénariste de plus d’une centaine d’épisodes de The Big Bang Theory, fait ici équipe avec Damon Lindelof, le très intense créateur de The Leftovers et Watchmen. Mrs Davis est au parfait croisement de leurs univers. C’est une comédie très contemporaine à l’héroïne badass, qui dégomme les nouvelles technologies et se moque des masculinistes. Mais aussi une aventure trépidante, truffée de rebondissements. C’est également un drame métaphysique complexe, qui se dévoile au fil d’épisodes débordants d’idées renversantes et / ou absurdes, où il est question de la place de la foi dans un monde ultra connecté, de maternité – Mrs Davis est appelée « Mama » en Espagne… – et, comme toujours chez Lindelof, d’un indispensable lâcher-prise. On se lance dans Mrs Davis comme on monte dans un manège. On lève les bras, on crie, on rit. Mais on en sort le cœur remué, avec la certitude d’avoir traversé une aventure fictionnelle inédite.
22h05 Mrs. Davis : Et voici, parut un cheval blanc
Série de science-fiction 1h5 -10Saison : 1 - Épisode : 8 - Simone rencontre la personne qui a créé Mrs Davis. Pendant ce temps, au centre Pyramidal, Wiley est confronté à une ultime épreuve. - Critique : Mrs Davis commence comme une blague : « C’est l’histoire d’une nonne… » Celle de sœur Simone (l’excellente Betty Gilpin, découverte dans GLOW), entrée dans les ordres après être tombée amoureuse de Jésus… dans un monde qui lui préfère Mrs Davis, une IA surpuissante qui murmure dans les oreillettes de toute l’humanité – pour mieux l’assujettir ? Cette appli hors norme lui propose un marché : si la religieuse met la main sur le Graal, elle se taira à jamais. Du désert du Nevada à l’Écosse, du Vatican à l’Espagne, Simone entame une longue quête, aidée par Preston Wiley (le survolté Jake McDorman), un militant anti-IA – et accessoirement son ex. Cette série folle, sorte de série B au sous-texte existentiel, ressemble à ses deux créateurs, issus de deux mondes sériels a priori incompatibles. Tara Hernandez, scénariste de plus d’une centaine d’épisodes de The Big Bang Theory, fait ici équipe avec Damon Lindelof, le très intense créateur de The Leftovers et Watchmen. Mrs Davis est au parfait croisement de leurs univers. C’est une comédie très contemporaine à l’héroïne badass, qui dégomme les nouvelles technologies et se moque des masculinistes. Mais aussi une aventure trépidante, truffée de rebondissements. C’est également un drame métaphysique complexe, qui se dévoile au fil d’épisodes débordants d’idées renversantes et / ou absurdes, où il est question de la place de la foi dans un monde ultra connecté, de maternité – Mrs Davis est appelée « Mama » en Espagne… – et, comme toujours chez Lindelof, d’un indispensable lâcher-prise. On se lance dans Mrs Davis comme on monte dans un manège. On lève les bras, on crie, on rit. Mais on en sort le cœur remué, avec la certitude d’avoir traversé une aventure fictionnelle inédite.
Ce soir sur Warner TV :
20h55 Mrs. Davis : PC 220
Série de science-fiction 1h10 -10Saison : 1 - Épisode : 7 - Ayant réussi à obtenir le Suaire de Lazare auprès de Céleste, Simone se lance dans un périlleux voyage pour aller récupérer le Saint-Graal. Mais une féroce créature se dresse sur sa route. De son côté, Wiley reçoit la part de Mme Davis une proposition inattendue qui pourrait remettre en cause tout son avenir. - Critique : Mrs Davis commence comme une blague : « C’est l’histoire d’une nonne… » Celle de sœur Simone (l’excellente Betty Gilpin, découverte dans GLOW), entrée dans les ordres après être tombée amoureuse de Jésus… dans un monde qui lui préfère Mrs Davis, une IA surpuissante qui murmure dans les oreillettes de toute l’humanité – pour mieux l’assujettir ? Cette appli hors norme lui propose un marché : si la religieuse met la main sur le Graal, elle se taira à jamais. Du désert du Nevada à l’Écosse, du Vatican à l’Espagne, Simone entame une longue quête, aidée par Preston Wiley (le survolté Jake McDorman), un militant anti-IA – et accessoirement son ex. Cette série folle, sorte de série B au sous-texte existentiel, ressemble à ses deux créateurs, issus de deux mondes sériels a priori incompatibles. Tara Hernandez, scénariste de plus d’une centaine d’épisodes de The Big Bang Theory, fait ici équipe avec Damon Lindelof, le très intense créateur de The Leftovers et Watchmen. Mrs Davis est au parfait croisement de leurs univers. C’est une comédie très contemporaine à l’héroïne badass, qui dégomme les nouvelles technologies et se moque des masculinistes. Mais aussi une aventure trépidante, truffée de rebondissements. C’est également un drame métaphysique complexe, qui se dévoile au fil d’épisodes débordants d’idées renversantes et / ou absurdes, où il est question de la place de la foi dans un monde ultra connecté, de maternité – Mrs Davis est appelée « Mama » en Espagne… – et, comme toujours chez Lindelof, d’un indispensable lâcher-prise. On se lance dans Mrs Davis comme on monte dans un manège. On lève les bras, on crie, on rit. Mais on en sort le cœur remué, avec la certitude d’avoir traversé une aventure fictionnelle inédite.
22h05 Mrs. Davis : Et voici, parut un cheval blanc
Série de science-fiction 1h5 -10Saison : 1 - Épisode : 8 - Simone rencontre la personne qui a créé Mrs Davis. Pendant ce temps, au centre Pyramidal, Wiley est confronté à une ultime épreuve. - Critique : Mrs Davis commence comme une blague : « C’est l’histoire d’une nonne… » Celle de sœur Simone (l’excellente Betty Gilpin, découverte dans GLOW), entrée dans les ordres après être tombée amoureuse de Jésus… dans un monde qui lui préfère Mrs Davis, une IA surpuissante qui murmure dans les oreillettes de toute l’humanité – pour mieux l’assujettir ? Cette appli hors norme lui propose un marché : si la religieuse met la main sur le Graal, elle se taira à jamais. Du désert du Nevada à l’Écosse, du Vatican à l’Espagne, Simone entame une longue quête, aidée par Preston Wiley (le survolté Jake McDorman), un militant anti-IA – et accessoirement son ex. Cette série folle, sorte de série B au sous-texte existentiel, ressemble à ses deux créateurs, issus de deux mondes sériels a priori incompatibles. Tara Hernandez, scénariste de plus d’une centaine d’épisodes de The Big Bang Theory, fait ici équipe avec Damon Lindelof, le très intense créateur de The Leftovers et Watchmen. Mrs Davis est au parfait croisement de leurs univers. C’est une comédie très contemporaine à l’héroïne badass, qui dégomme les nouvelles technologies et se moque des masculinistes. Mais aussi une aventure trépidante, truffée de rebondissements. C’est également un drame métaphysique complexe, qui se dévoile au fil d’épisodes débordants d’idées renversantes et / ou absurdes, où il est question de la place de la foi dans un monde ultra connecté, de maternité – Mrs Davis est appelée « Mama » en Espagne… – et, comme toujours chez Lindelof, d’un indispensable lâcher-prise. On se lance dans Mrs Davis comme on monte dans un manège. On lève les bras, on crie, on rit. Mais on en sort le cœur remué, avec la certitude d’avoir traversé une aventure fictionnelle inédite.