Ciné+ Premier : Programme TV de la chaîne Ciné+ Premier

En ce moment sur Ciné+ Premier :

12h26 Cinéma par... Cédric Klapisch

Documentaire cinéma 1h4 Tout public
Cinéma par... Cédric Klapisch

Pour ce sixième numéro, Yvan Attal et Sandrine Kiberlain donnent carte blanche à Cédric Klapisch, réalisateur de "L'Auberge espagnole" et ses suites, et dernièrement "Deux moi", des œuvres qui ont en commun d'illustrer, avec esthétisme et profondeur, les relations humaines et leurs complexité. A l'occasion de la diffusion de son dernier film, le cinéaste lève le voile sur son processus de création, ses multiples sources d'inspiration et ses doutes.

23min

À suivre, dès 13h30 : Mr Nobody (Rediffusion)

Ce soir sur Ciné+ Premier :

20h50 G.I. Joe : conspiration

Rediffusion Film d'action 1h46 Tout public

Les hommes du G.I. Joe sont accusés à tort d'avoir volé des têtes nucléaires au Pakistan. L'accusation, très grave, est émise par le président des Etats-Unis lui-même, qui démantèle aussitôt l'équipe au cours d'une opération militaire meurtrière. Mais le gouvernement a été infiltré : sous l'apparence du président se cache en fait l'infâme Zartan, qui a enfin pu se débarrasser de ses pires ennemis. La planète est au bord d'un cataclysme. Mais trois membres des G.I. Joe ont survécu, Roadblock, lady Jaye et Flint. Sans l'aide de personne, ils montent une riposte clandestine et font alors appel au colonel Joe Colton, celui qui a donné son nom à la troupe d'élite...

« G.I. Joe : conspiration » sur Ciné+ Premier

22h36 G.I. Joe : le réveil du cobra

Rediffusion Film d'action 1h54 Tout public

Au Kazakhstan, le capitaine Duke Hauser et son ami Ripcord, chargés de transporter une arme de haute technologie de la société Mars, sont attaqués par la baronne Anastasia DeCobray et ses acolytes de l'organisation terroriste Cobra, lourdement armés. Les deux hommes sont sauvés in extremis par une unité d'élite, les G.I. Joe, qu'ils intègrent après un entraînement intensif. Sous les ordres du général Hawk, Hauser et Ripcord sont affectés à un commando qui doit retrouver la dangereuse arme avant que les hommes de Cobra ne s'en servent pour mener une attaque terroriste. Hauser, Ripcord et leurs acolytes des G.I. Joe, Scarlett, Breaker et Storme Shadow, se retrouvent à Paris sur les traces de la baronne Anastasia et des hommes de Cobra...

« G.I. Joe : le réveil du cobra » sur Ciné+ Premier

Programme Ciné+ Premier de la journée d'aujourd'hui

Lundi 02 Octobre 2023

De 08h29 à 10h23 En corps

Rediffusion Film : comédie dramatique 1h54 Tout public

Danseuse professionnelle, Elise subit une grave blessure à l'occasion d'une représentation. A seulement 26 ans, elle apprend par les médecins que les dégâts sont irréversibles et qu'elle doit mettre un terme à sa prometteuse carrière. Alors qu'elle voit son monde s'effondrer, Elise se consacre à une longue convalescence passée entre Paris et la Bretagne. Pour ne pas décrocher complètement de son univers de prédilection, la jeune femme se rapproche très vite d'une troupe rencontrée par pur hasard, et ayant une approche et une pratique aux antipodes de ce qu'elle a connu jusque là, loin du stress et des entraînements intensifs... - Critique : Élise, jeune étoile de l’Opéra de Paris, découvre que son petit ami, autre danseur de la troupe, la trompe. Quelques minutes plus tard, la ballerine chute en pleine représentation, lâchée par son propre corps. Le verdict tombe : une grave déchirure. À 26 ans à peine, la jeune femme ne pourra peut-être jamais plus danser. Prête à renoncer à sa passion, elle suit alors, en tant que commis, une amie et son compagnon, cuisinier passionné, pour tenir la cantine d’une maison d’artistes en Bretagne… Où débarque la troupe de Hofesh Shechter, le chorégraphe israélien, venu répéter un ballet contemporain… Reconstruction et possibilité d’une autre vie : le sujet comportait des risques de mièvrerie, mais, décidément, Cédric Klapisch sait offrir de la fraîcheur et de la fantaisie aux élans de la jeunesse. Si la danse a toujours été son jardin secret, le cinéaste trouve l’occasion de déployer ici ce qui reste son grand sujet de film en film : le besoin vital de faire corps avec soi-même et avec le monde. Chaque scène ajoute à la célébration des sens. Peler des légumes, composer un plat ou s’agglomérer en un ballet sur la rage de survivre, tout concourt à redonner le goût des autres. À l’image de la troupe de comédiens, mélange de générations et de personnalités fortes autour de la talentueuse danseuse Marion Barbeau, qui s’impose en actrice naturelle et frémissante. Denis Podalydès excelle en père pudique, et Muriel Robin en bonne fée boiteuse, ivre du talent des autres. Avec cette comédie sensible sur la fragilité érigée en force, Cédric Klapisch, toujours à l’écoute du rythme du monde, signe peut-être son meilleur film.

Sur Cine Plus Premier dès 08h29 : En corps

De 10h23 à 12h26 Paris

Inédit Film : comédie dramatique 2h3 Tout public

Pierre, un jeune Parisien, est malade et se demande s'il est condamné. Tandis qu'il sombre dans la mélancolie, malgré le soutien de sa soeur Elise, son état lui donne un regard neuf et différent sur les personnes qu'il croise au quotidien. Peu à peu, le fait d'envisager sa propre fin met en valeur sa vie, la vie des autres et celle de la ville de Paris tout entière. Des maraîchers, une boulangère revêche, une assistante sociale, un danseur, un architecte, un SDF, un prof de fac amoureux, un mannequin et un clandestin camerounais croisent leurs destins et les mêlent à celui de Pierre... - Critique : | Genre : Paris tenu. Au centre d’un récit éclaté où se croisent les destins de Parisiens, il y a Romain Duris, acteur fétiche de Cédric Klapisch. En lui confiant le rôle d’un danseur malade du cœur, il le place au-dessus de la mêlée, quelque part entre le quotidien et la contemplation. A ses pieds, par-dessus les toits, Pierre regarde la ville comme pour la première fois… A la croisée du réalisme et de la rêverie, Klapisch ose tout, et notamment les clichés du Paname folklorique, qu’il déboulonne ensuite. Mais le meilleur est ailleurs : dans ce voisinage de la mort qui pousse les personnages à se sentir en vie. En parfaite symbiose, Romain Duris et Juliette Binoche forment un couple de frère et sœur touchant, que la maladie rapproche et décomplexe. En soumettant ces Parisiens ordinaires à l’épreuve de la disparition, Klapisch leur offre une vitalité nouvelle, une cure de jouvence inespérée. Inoxydable cinéaste de la jeunesse, il réaffirme haut et fort ce que Le Péril jeune avait si bien montré. Même vaincue, la jeunesse ne capitule jamais.

Sur Cine Plus Premier dès 10h23 : Paris

De 12h26 à 13h30 Cinéma par... Cédric Klapisch

Documentaire cinéma 1h4 Tout public

Pour ce sixième numéro, Yvan Attal et Sandrine Kiberlain donnent carte blanche à Cédric Klapisch, réalisateur de "L'Auberge espagnole" et ses suites, et dernièrement "Deux moi", des œuvres qui ont en commun d'illustrer, avec esthétisme et profondeur, les relations humaines et leurs complexité. A l'occasion de la diffusion de son dernier film, le cinéaste lève le voile sur son processus de création, ses multiples sources d'inspiration et ses doutes.

Sur Cine Plus Premier dès 12h26 : Cinéma par... Cédric Klapisch

De 13h30 à 15h44 Mr Nobody

Rediffusion Film : drame 2h14 Tout public

En 2092, à 118 ans, Nemo Nobody est le dernier mortel dans un monde où les hommes ont trouvé la clé de la vie éternelle. Aussi suscite-t-il l'intérêt des journalistes qui viennent l'interroger sur sa vie. Ses souvenirs affleurent peu à peu. Un enfant sur le quai d'une gare. Le train va partir. Doit-il monter avec sa mère ou rester avec son père ? Qu'a-t-il choisi ? Avec laquelle de ses trois compagnes de classe a-t-il bâti sa vie d'adulte ? La belle Anna, Elise la mélancolique, ou la délicate Jeanne ? Monsieur Nobody ne sait plus vraiment...

Sur Cine Plus Premier dès 13h30 : Mr Nobody

De 15h44 à 17h44 L'Affaire Collini

Rediffusion Film : thriller 2h -10

Fabrizio Collini, ouvrier retraité sans casier judiciaire, a assassiné Hans Meyer, un grand industriel octogénaire très respecté de la haute société allemande, dans un hôtel. Commis d'office pour le défendre, Caspar Leinen, avocat depuis trois mois, se heurte au mutisme de son client. Johanna Meyer, la fille de Hans, lui demande de ne pas s'occuper de cette affaire. En fait Caspar connaissait bien Meyer qui était le grand-père de son meilleur ami. L'avocat était presque un membre de la famille. Leinen mène son enquête pour découvrir que l'homme qu'il respectait tellement était en fait un SS, qui a tué le père de Collini en 1944... - Critique : À Berlin, en 2001, un jeune avocat d’origine turque se retrouve chargé de la défense d’un vieil homme mutique, qui vient de massacrer un puissant industriel… Derrière ce surgissement de violence, le passé est en embuscade. Celui de l’avocat, qui reconnaît en la victime l’homme protecteur auprès duquel il avait trouvé, lui, l’exclu, un appui. Le meurtrier, lui aussi, a connu sa cible, dans d’autres circonstances, dont son arme fournit un indice : c’est un pistolet d’officier de la Wehrmacht, utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale. Derrière le fait divers sanglant, l’histoire de l’Allemagne resurgit. Adapté d’un roman de Ferdinand von Schirach, ce film mené comme un thriller donne une impression de vérité qui va crescendo, jusqu’au procès du tueur muré dans son silence. Plusieurs éléments réalistes se mêlent bel et bien à l’intrigue, qui puise, par exemple, dans le parcours meurtrier d’un officier SS qui fut jugé en 2002 à Hambourg, Friedrich Engel. Mais aussi dans un article de loi promulgué en 1968 par un haut magistrat nommé Dreher, qui avait été bon serviteur du IIIe Reich… En montrant des hommes qui font face au noyautage de leur pays par l’héritage nazi, le réalisateur n’évite pas certains clichés. Mais Franco Nero est admirable en vieil homme ­perdu dans une guerre sans fin. Comme lui, le film garde, jusque dans le procès orchestré à l’américaine, une belle intensité.

Sur Cine Plus Premier dès 15h44 : L'Affaire Collini

De 17h44 à 19h10 Mes stars et moi

Rediffusion Film : comédie 1h26 Tout public

Robert, passionné de cinéma, admire les actrices. Grâce à son travail nocturne dans une agence artistique, il accède à toutes sortes d'informations sur ses vedettes préférées, en particulier Solange Duvivier, Isabelle Séréna et Violette Duval. Il passe son temps à les traquer et à s'immiscer dans leur vie, rendant leur quotidien impossible. Un jour, les trois femmes se retrouvent sur le même tournage et réalisent qu'elles ont toutes le même problème avec Robert. Elles décident de réagir. Unissant leurs forces, elles vont tout faire pour prendre leur revanche. Pour commencer, elles préviennent la police, puis passent à l'offensive... - Critique : | Genre : leur flop sans nous. Un agent d'entretien adule trois actrices au point de chercher à interférer dans leurs carrières. En version américaine, ce fan éperdu serait joué par Ben Stiller ou Steve Carell, ravagé de TOC et de tics bizarres. En France, c'est Kad Merad, éclatant de santé et de normalité, juste un blaireau sympa : on n'y croit pas une seconde. L'imagination manque à tous les postes dans cette comédie : le cinéaste Patrice Leconte joue le cinéaste Patrice Leduc, l'agent des stars Dominique Besnehard joue l'agent des stars Dominique Bhé, et Catherine Deneuve joue la « patronne » des actrices françaises. Tous sont piégés par l'indigence des rebondissements, la mollesse du rythme, la tristesse de l'image. D'ailleurs, la réalisatrice préfère souvent filmer un gros chat roux à l'air renfrogné que « ses » stars, vraiment pas gâtées. Au moins, on ne pourra pas la taxer, elle, de « fan attitude ».

Sur Cine Plus Premier dès 17h44 : Mes stars et moi

De 19h10 à 20h50 The Artist

Rediffusion Film : comédie dramatique 1h40 Tout public

A Hollywood, en 1927, George Valentin compte parmi les plus grandes vedettes du cinéma, et sa célébrité n'a d'égal que son orgueil. Son producteur, Al Zimmer, l'invite à la projection de son dernier film, à la sortie duquel il croise Peppy Miller, une comédienne débutante. La jeune femme devient figurante dans un long métrage en tournage aux côtés de George. Les deux acteurs se plaisent aussitôt, mais George refuse de s'engager. C'est alors que le parlant fait son apparition. George, persuadé que cette technologie est sans avenir, va jusqu'à se séparer d'Al pour produire un film muet. Parallèlement, Peppy devient la nouvelle égérie du studio... - Critique : Un prix d'interprétation à Cannes, une brassée d'oscars (dont le tiercé gagnant film-réalisateur-acteur) : depuis sa sortie, The Artist a peu à peu acquis un véritable statut d'événement historique. Qu'est-ce qui, dans ce pari artistique — un film muet en noir et blanc —, a tant soulevé les foules ? C'est d'abord, et avant tout, un personnage : Jean Dujardin, alias George Valentin, star adulée des Années folles. On l'attendait bouffon, forçant sur la grimace et les oeillades. C'est tout le contraire. A peine décalé, juste un rien désuet, il apporte une candeur facétieuse, un charme fragile. La star, donc, fait des pirouettes comme Fred Astaire ou Errol Flynn, porte une moustache à la Douglas Fairbanks. Il ne lui manque que le son. En 1929, c'est pourtant l'essentiel. Malheur à ceux qui rateront le rendez-vous du parlant. Déchus, balayés... C'est à cette espèce disparue, cohorte de fantômes tremblants, les Mary Pickford, les John Gilbert, les Fatty Arbuckle, que The Artist rend hommage. L'âge d'or de Hollywood comme si vous y étiez. Un drôle d'objet anachronique, rêve de cinéphile, une mosaïque de références, assemblée avec une tendresse érudite, de Chaplin à Welles ou à Lubitsch, du burlesque au mélo. Cette déclaration d'amour au grand cinéma hollywoodien raconte aussi un irréversible bouleversement technologique et artistique... Comme aujourd'hui le passage à la 3D relief et au tout-numérique. D'une révolution à l'autre, Hazanavicius interroge la notion de modernité. Une scène de cauchemar, peut-être la plus belle, en dit long : le son y fait une irruption brève et brutale. Le héros, lui, reste... muet. Désormais exclu, obsolète, réduit au véritable silence : l'oubli. L'angoisse de l'artiste par excellence. — Cécile Mury Suivi, à 22h35, d'un documentaire du frère de Michel Hazanavicius, le comédien Serge Hazanavicius, qui retrace le mois précédant le succès du film aux Oscars, en février 2012 (lire ci-contre).

Sur Cine Plus Premier dès 19h10 : The Artist

De 20h50 à 22h36 G.I. Joe : conspiration

Rediffusion Film d'action 1h46 Tout public

Les hommes du G.I. Joe sont accusés à tort d'avoir volé des têtes nucléaires au Pakistan. L'accusation, très grave, est émise par le président des Etats-Unis lui-même, qui démantèle aussitôt l'équipe au cours d'une opération militaire meurtrière. Mais le gouvernement a été infiltré : sous l'apparence du président se cache en fait l'infâme Zartan, qui a enfin pu se débarrasser de ses pires ennemis. La planète est au bord d'un cataclysme. Mais trois membres des G.I. Joe ont survécu, Roadblock, lady Jaye et Flint. Sans l'aide de personne, ils montent une riposte clandestine et font alors appel au colonel Joe Colton, celui qui a donné son nom à la troupe d'élite...

Sur Cine Plus Premier dès 20h50 : G.I. Joe : conspiration

De 22h36 à 00h30 G.I. Joe : le réveil du cobra

Rediffusion Film d'action 1h54 Tout public

Au Kazakhstan, le capitaine Duke Hauser et son ami Ripcord, chargés de transporter une arme de haute technologie de la société Mars, sont attaqués par la baronne Anastasia DeCobray et ses acolytes de l'organisation terroriste Cobra, lourdement armés. Les deux hommes sont sauvés in extremis par une unité d'élite, les G.I. Joe, qu'ils intègrent après un entraînement intensif. Sous les ordres du général Hawk, Hauser et Ripcord sont affectés à un commando qui doit retrouver la dangereuse arme avant que les hommes de Cobra ne s'en servent pour mener une attaque terroriste. Hauser, Ripcord et leurs acolytes des G.I. Joe, Scarlett, Breaker et Storme Shadow, se retrouvent à Paris sur les traces de la baronne Anastasia et des hommes de Cobra...

Sur Cine Plus Premier dès 22h36 : G.I. Joe : le réveil du cobra