Ciné+ Classic : Programme TV de la chaîne Ciné+ Classic
En ce moment sur Ciné+ Classic :
19h48 Romy Schneider
Rediffusion Documentaire cinéma 1h2 Tout publicNée à Vienne en 1938, Romy Schneider n'a que 17 ans quand elle interprète l'impératrice Elisabeth d'Autriche dans "Sissi", un film qui, avec ses suites, lui vaut une reconnaissance instantanée. Elle s'installe alors en France, où elle tourne avec René Clément, Claude Sautet ou Claude Chabrol. C'est à Jacques Deray, avec "La Piscine", qu'elle doit son plus grand succès en 1969. Actrice au charme magnétique mais à la sensibilité à fleur de peau, elle peine à se remettre d'un terrible drame familial survenu en 1981, et succombe l'année suivante. Centré sur sa personnalité, ce documentaire explore en parallèle sa vie et sa filmographie.
À suivre, dès 20h50 : Fantôme d'amour (Rediffusion)
En ce moment sur Ciné+ Classic :
19h48 Romy Schneider
Rediffusion Documentaire cinéma 1h2 Tout publicNée à Vienne en 1938, Romy Schneider n'a que 17 ans quand elle interprète l'impératrice Elisabeth d'Autriche dans "Sissi", un film qui, avec ses suites, lui vaut une reconnaissance instantanée. Elle s'installe alors en France, où elle tourne avec René Clément, Claude Sautet ou Claude Chabrol. C'est à Jacques Deray, avec "La Piscine", qu'elle doit son plus grand succès en 1969. Actrice au charme magnétique mais à la sensibilité à fleur de peau, elle peine à se remettre d'un terrible drame familial survenu en 1981, et succombe l'année suivante. Centré sur sa personnalité, ce documentaire explore en parallèle sa vie et sa filmographie.
À suivre, dès 20h50 : Fantôme d'amour (Rediffusion)
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19h48 Romy Schneider
Rediffusion Documentaire cinéma 1h2 Tout publicNée à Vienne en 1938, Romy Schneider n'a que 17 ans quand elle interprète l'impératrice Elisabeth d'Autriche dans "Sissi", un film qui, avec ses suites, lui vaut une reconnaissance instantanée. Elle s'installe alors en France, où elle tourne avec René Clément, Claude Sautet ou Claude Chabrol. C'est à Jacques Deray, avec "La Piscine", qu'elle doit son plus grand succès en 1969. Actrice au charme magnétique mais à la sensibilité à fleur de peau, elle peine à se remettre d'un terrible drame familial survenu en 1981, et succombe l'année suivante. Centré sur sa personnalité, ce documentaire explore en parallèle sa vie et sa filmographie.
À suivre, dès 20h50 : Fantôme d'amour (Rediffusion)
Ce soir sur Ciné+ Classic :
20h50 Fantôme d'amour
Rediffusion Film : comédie dramatique 1h34 Tout publicDans un bus de Pavie, Nino Monti, un paisible juriste marié et rangé, rencontre par hasard un amour de jeunesse, Anna Brigatti, aujourd'hui vieille et malade. Il ne la reconnaît pas, elle, si. Elle lui téléphone et désire le revoir. Il se souvient du passé. Les images de son bonheur perdu défilent d'autant plus facilement que sa femme est particulièrement revêche. Par un ami médecin, il apprend qu'Anna est morte trois ans plus tôt, après avoir épousé le comte Zighi. Les deux anciens amants se retrouvent néanmoins. Elle est redevenue la jeune fille qu'elle était, fraîche, jolie, pleine de vie et de santé. Mais elle lui parle au passé...
22h24 La mort en direct
Rediffusion Film de science-fiction 2h6 -10Vincent Ferriman, directeur d'une chaîne de télévision, est fier de son émission "La Mort en direct" qui connaît un franc succès. Roddy, le réalisateur, lui prête main-forte en filmant tout ce qu'il voit grâce à la caméra miniaturisée implantée dans son cerveau. L'émission se centre bientôt sur Katherine Mortenhoe, une femme à qui la maladie ne laisse plus que quelques semaines à vivre et qui a accepté d'être la vedette de l'émission de Ferriman. Elle devient vite célèbre mais ne le supporte pas et se dérobe. Roddy parvient à retrouver sa trace et ne tarde pas à s'attacher profondément à elle... - Critique : | Genre : sf dépassée par la réalité. Une femme malade apprend qu’elle n’a plus que deux mois à vivre. Une chaîne de télévision en quête de sensationnel lui propose de filmer en direct le travail de la mort. La moribonde fuit pour échapper aux médias. Elle ne se méfie pas d’un homme qui a suscité sa confiance, un reporter auquel on a greffé des caméras dans la rétine et qui sert d’instrument au cynisme de ses patrons, nouveaux docteurs Mabuse des pourcentages d’écoute… Bertrand Tavernier avait situé son histoire « dans un avenir très proche, vers 1990 ». Il est troublant de revoir le film aujourd’hui, alors que le voyeurisme a fait des progrès terrifiants. Tavernier, lui, l’évite soigneusement, hésitant à entrer dans la pièce où son héroïne s’en est allée pleurer dans l’obscurité, préférant prendre de mouvantes distances avec sa caméra pour l’empêcher de se planter fixement devant la femme aux abois, décidant de la laisser en paix lorsque cette dernière tourne définitivement le dos à la vie. La mise en scène de ce film musical qui parle au cœur, comme dans les opéras de Verdi, est tout entière au service de la pudeur de Romy Schneider et parvient, sublime paradoxe, lors de la scène finale, à distiller le goût du bonheur.
Ce soir sur Ciné+ Classic :
20h50 Fantôme d'amour
Rediffusion Film : comédie dramatique 1h34 Tout publicDans un bus de Pavie, Nino Monti, un paisible juriste marié et rangé, rencontre par hasard un amour de jeunesse, Anna Brigatti, aujourd'hui vieille et malade. Il ne la reconnaît pas, elle, si. Elle lui téléphone et désire le revoir. Il se souvient du passé. Les images de son bonheur perdu défilent d'autant plus facilement que sa femme est particulièrement revêche. Par un ami médecin, il apprend qu'Anna est morte trois ans plus tôt, après avoir épousé le comte Zighi. Les deux anciens amants se retrouvent néanmoins. Elle est redevenue la jeune fille qu'elle était, fraîche, jolie, pleine de vie et de santé. Mais elle lui parle au passé...
22h24 La mort en direct
Rediffusion Film de science-fiction 2h6 -10Vincent Ferriman, directeur d'une chaîne de télévision, est fier de son émission "La Mort en direct" qui connaît un franc succès. Roddy, le réalisateur, lui prête main-forte en filmant tout ce qu'il voit grâce à la caméra miniaturisée implantée dans son cerveau. L'émission se centre bientôt sur Katherine Mortenhoe, une femme à qui la maladie ne laisse plus que quelques semaines à vivre et qui a accepté d'être la vedette de l'émission de Ferriman. Elle devient vite célèbre mais ne le supporte pas et se dérobe. Roddy parvient à retrouver sa trace et ne tarde pas à s'attacher profondément à elle... - Critique : | Genre : sf dépassée par la réalité. Une femme malade apprend qu’elle n’a plus que deux mois à vivre. Une chaîne de télévision en quête de sensationnel lui propose de filmer en direct le travail de la mort. La moribonde fuit pour échapper aux médias. Elle ne se méfie pas d’un homme qui a suscité sa confiance, un reporter auquel on a greffé des caméras dans la rétine et qui sert d’instrument au cynisme de ses patrons, nouveaux docteurs Mabuse des pourcentages d’écoute… Bertrand Tavernier avait situé son histoire « dans un avenir très proche, vers 1990 ». Il est troublant de revoir le film aujourd’hui, alors que le voyeurisme a fait des progrès terrifiants. Tavernier, lui, l’évite soigneusement, hésitant à entrer dans la pièce où son héroïne s’en est allée pleurer dans l’obscurité, préférant prendre de mouvantes distances avec sa caméra pour l’empêcher de se planter fixement devant la femme aux abois, décidant de la laisser en paix lorsque cette dernière tourne définitivement le dos à la vie. La mise en scène de ce film musical qui parle au cœur, comme dans les opéras de Verdi, est tout entière au service de la pudeur de Romy Schneider et parvient, sublime paradoxe, lors de la scène finale, à distiller le goût du bonheur.
Ce soir sur Ciné+ Classic :
20h50 Fantôme d'amour
Rediffusion Film : comédie dramatique 1h34 Tout publicDans un bus de Pavie, Nino Monti, un paisible juriste marié et rangé, rencontre par hasard un amour de jeunesse, Anna Brigatti, aujourd'hui vieille et malade. Il ne la reconnaît pas, elle, si. Elle lui téléphone et désire le revoir. Il se souvient du passé. Les images de son bonheur perdu défilent d'autant plus facilement que sa femme est particulièrement revêche. Par un ami médecin, il apprend qu'Anna est morte trois ans plus tôt, après avoir épousé le comte Zighi. Les deux anciens amants se retrouvent néanmoins. Elle est redevenue la jeune fille qu'elle était, fraîche, jolie, pleine de vie et de santé. Mais elle lui parle au passé...
22h24 La mort en direct
Rediffusion Film de science-fiction 2h6 -10Vincent Ferriman, directeur d'une chaîne de télévision, est fier de son émission "La Mort en direct" qui connaît un franc succès. Roddy, le réalisateur, lui prête main-forte en filmant tout ce qu'il voit grâce à la caméra miniaturisée implantée dans son cerveau. L'émission se centre bientôt sur Katherine Mortenhoe, une femme à qui la maladie ne laisse plus que quelques semaines à vivre et qui a accepté d'être la vedette de l'émission de Ferriman. Elle devient vite célèbre mais ne le supporte pas et se dérobe. Roddy parvient à retrouver sa trace et ne tarde pas à s'attacher profondément à elle... - Critique : | Genre : sf dépassée par la réalité. Une femme malade apprend qu’elle n’a plus que deux mois à vivre. Une chaîne de télévision en quête de sensationnel lui propose de filmer en direct le travail de la mort. La moribonde fuit pour échapper aux médias. Elle ne se méfie pas d’un homme qui a suscité sa confiance, un reporter auquel on a greffé des caméras dans la rétine et qui sert d’instrument au cynisme de ses patrons, nouveaux docteurs Mabuse des pourcentages d’écoute… Bertrand Tavernier avait situé son histoire « dans un avenir très proche, vers 1990 ». Il est troublant de revoir le film aujourd’hui, alors que le voyeurisme a fait des progrès terrifiants. Tavernier, lui, l’évite soigneusement, hésitant à entrer dans la pièce où son héroïne s’en est allée pleurer dans l’obscurité, préférant prendre de mouvantes distances avec sa caméra pour l’empêcher de se planter fixement devant la femme aux abois, décidant de la laisser en paix lorsque cette dernière tourne définitivement le dos à la vie. La mise en scène de ce film musical qui parle au cœur, comme dans les opéras de Verdi, est tout entière au service de la pudeur de Romy Schneider et parvient, sublime paradoxe, lors de la scène finale, à distiller le goût du bonheur.